Pourquoi la voiture é lectrique n' est pas la solution miracle pour se dé placer sans polluer Transports - Climat HEAD TOPICS
Pourquoi la voiture é lectrique n' est pas la solution miracle pour se dé placer sans polluer
21/10/2022 07:28:00 Pourquoi la voiture é lectrique n' est pas la solution miracle pour se dé placer sans polluer
Transports Climat
La source franceinfo
Pourquoi la voiture électrique n'est pas la solution miracle pour se déplacer sans polluer A l'occasion du Mondial de l'automobile qui se tient à Paris, Emmanuel Macron et le gouvernement veulent promouvoir cette filière, pourtant pas si vertueuse. Pierre Leflaive, responsable transports au sein du Réseau action climat. Selon lui,, commente l'ingénieur.comme le remplacement de la voiture thermique par la voiture électrique."Tant que les consommateurs veulent acheter de l'autonomie, ma mission, c'est , remarque Pierre Leflaive, du Réseau action climat."un outil efficace et pertinent""rupture de comportement"Pour ces longs trajets, il conçoit la voiture électrique comme un maillon de la chaîne. Au lieu d'effectuer tout le trajet en voiture, il s'agirait par exemple de prendre un bus ou un car pour rejoindre une gare. De là, éventuellement, des transports en commun permettraient de prendre un train de grande ligne. Une fois sur place, la location d'une voiture électrique permettrait de se rendre sur son lieu de vacances et de circuler dans un rayon de 40-50 km. Lire la suite:
franceinfo » Grande mosquée de Paris : un centenaire fêté avec Emmanuel Macron mais sans grande pompe Islam : à la Grande Mosquée de Paris, Emmanuel Macron défend sa loi séparatisme Tensions franco-allemandes : Emmanuel Macron recevra Olaf Scholz mercredi à Paris Tensions franco-allemandes : Emmanuel Macron recevra Olaf Scholz mercredi à Paris Ne vous taisez pas Elkabbach
Le journaliste star publie ses Mémoires. Il y raconte plus d’un demi-siècle dans l’intimité des grands de ce monde. Crépitant. Lire la suite >> Grande mosquée de Paris : un centenaire fêté avec Emmanuel Macron mais sans grande pompeEmmanuel Macron, flanqué de Gérald Darmanin et de Nicolas Sarkozy, a rendu hommage ce mercredi à cette institution prestigieuse construite il y a un siècle. Il y a défendu pour l’occasion sa vision de la laïcité. Je me souviens du tweet du grand recteur lors de l’attentat contre Salman Rushdie. Une manière habile de s’en féliciter. C’est une honte. J’ai honte pour vous chemshafiz. La religion, par définition sectaire, dogmatique, exclusive, excluante, donc conflictuelle, est un fléau. La laïcité ne suffit plus. Il faut imposer la NeutralitéReligieuse dans tous les espaces publics, les médias et le débat public en général. SusAuxSectes ! Islam : à la Grande Mosquée de Paris, Emmanuel Macron défend sa loi séparatismeLe président de la République a célébré le centenaire de la Grande Mosquée de Paris, mercredi 19 octobre. Constatant que la loi séparatisme avait été « souvent reçue avec méfiance » dans les rangs musulmans, il a défendu un texte qui « offre des garde-fous » contre l’islam radical. MDR « Dans les rangs musulmans » …si ce sont ces termes, à qui s’adresse-t-il ? Il est le président des français, qui est le séparatiste ? Rappel ! La mosquée a été inaugurée le 16 juillet 1926 en présence du président Gaston Doumergue...Et c'était « Un hommage aux musulmans tombés pour la France » Voilà le pourquoi des choses ... Tensions franco-allemandes : Emmanuel Macron recevra Olaf Scholz mercredi à ParisLe président français et le chancelier allemand devaient se réunir pour le conseil des ministres franco-allemands mercredi, avant qu'il soit finalement reporté en raison notamment de divergences sur de nombreux dossiers. Tensions franco-allemandes : Emmanuel Macron recevra Olaf Scholz mercredi à ParisLe président français Emmanuel Macron recevra mercredi à l'Élysée le chancelier allemand Olaf Scholz, alors que la France et l'Allemagne traversent une période de tensions politiques liées notamment à la crise de l'énergie. Séance de en même temps et de cirage de pompe et le final : s’écraser comme une crêpe.... ou une m ..de au choix À la Grande Mosquée de Paris, Emmanuel Macron s'en prend aux séparatistes qui «nient la compatibilité entre la France et l'islam»À la Grande Mosquée de Paris, Emmanuel Macron s'en prend aux séparatistes qui «nient la compatibilité entre la France et l'islam» «Il n'y a pas d'un côté les Français et de l'autre côté les musulmans», a lancé le président de la République. Je nie la compatibilité entre la France et L'islam. L'islam est incompatible avec la démocratie, avec la vie, avec l'égalité et avec le bon sens. L'islam est nuisible. Il y a d'un côté la vie et de l'autre l'islam. Un parfait idiot Il devrait le dire à ses ministres «Un havre de paix» : Macron rend hommage à la Grande Mosquée de Paris qui fête ses 100 ansEmmanuel Macron a rendu hommage mercredi à la Grande Mosquée de Paris, construite il y a un siècle et aujourd’hui érigée en modèle d’un « is le_Parisien Eh oui ! N'en déplaise aux fachos qui fantasment sur l'insécurité causée par les islamistes, la paix est dans la Mosquée ! Un hâvre de paix uniquement pour les musulmans. Les Français ont droit au terrorisme islamique et à la délinquance maghrébine quotidienne. Quelle indécence après le meurtre atroce de Lola, notre fille à tous, fille d’un État Français qui l’a lâchement abandonnée. francocide C’était un propos oral… il a dit « un havre de pets »… trapu en guise de nouveau modèle électrique de la mythique 4L., au moins 70 000 pendant la Première Guerre mondiale.Twitter Le 19 octobre 1922, la France posait la première pierre de la Grande Mosquée de Paris (GMP), qui aspire depuis à être le phare d’un « islam de France » au cœur de la capitale., affichant sa volonté de travailler étroitement avec le chancelier allemand Olaf Scholz. "C'est un non-sens de faire un SUV électrique" , juge Marco Daturi. "En France, environ 40% des véhicules sont des SUV. Dans le patio couvert, les invités attendent toujours. Il faut absolument rééquilibrer ça, aller vers des véhicules nettement plus légers. À lire aussi Grande Mosquée de Paris, un siècle d’ambitions contrariées « La Grande Mosquée de Paris incarne l’harmonie des hommes et des religions, quand ils acceptent que la foi des uns ne doit pas contraindre celle des autres, a poursuivi le chef de l’État." Pierre Leflaive, responsable transports au sein du Réseau action climat à franceinfo Malgré cette nouveauté de la marque au losange à rebrousse-poil des recommandations de l'Ademe, Bertrand-Olivier Ducreux décèle des signaux positifs. Peu ou prou, l’institution a toujours penché à droite. "Jusqu'à l'année dernière, la voiture électrique la plus vendue en France était la Tesla Model 3, une voiture très haut de gamme, qui coûte très cher" . "Je ne dirais pas qu'il y a une panne en ce qui me concerne. Selon lui, "beaucoup de personnes avaient un a priori élitiste sur la voiture électrique" . Déjà évoqué par les orientalistes au XIXe siècle, le projet a été soutenu et porté par Lyautey, notamment pour rendre hommage aux combattants musulmans de la Grande Guerre. » « Il n’y a pas d’un côté les Français et de l’autre côté les musulmans » , a-t-il encore affirmé celui qui estime qu’ « on peut être l’un et l’autre harmonieusement, indissolublement. Ce regard tend à changer. Sur les huit premiers mois de l'année 2022, les cinq voitures électriques les plus vendues en France sont la Peugeot e208, la Fiat 500e, la Dacia Spring, la Renault Zoé et la Renault Twingo E-TECH. Au-delà des considérations historiques, la visite du Président est aussi un renvoi d’ascenseur. Il relève qu'il s'agit globalement de voitures qui ne sont pas des SUV, qui coûtent moins de 30 000 euros avant les aides publiques, et pèsent entre 1 200 et 1 250 kilos à vide. « Elle a souvent été reçue avec méfiance, a-t-il reconnu. "Ces voitures ont trouvé leur marché et montrent une réalité industrielle" , commente l'ingénieur. L’affaire avait fait beaucoup de vagues dans les milieux musulmans. Parce que la voiture électrique n'est vertueuse que sur de courtes distances A les écouter, des responsables politiques ou des dirigeants de constructeur automobile considèrent la "transition vers l'électrique" comme le remplacement de la voiture thermique par la voiture électrique. "Nous aurons bientôt des voitures qui vont dépasser les 600 km d'autonomie" , a déclaré mardi sur Carlos Tavares, PDG de Stellantis. Mais rien de nouveau : la feuille de route est toujours la même. Mentionnant également « la laïcité battue en brèche, notamment dans les écoles », il a fait allusion à la hausse des signalements pour atteintes à la laïcité dans l’enseignement secondaire, en ce début d’année scolaire. Et d'ajouter : "Tant que les consommateurs veulent acheter de l'autonomie, ma mission, c'est [d'y] répondre." "Si on remplace un véhicule thermique par un véhicule électrique, on ne parvient pas à nos objectifs climatiques" , remarque Pierre Leflaive, du Réseau action climat. «Comportements provocateurs» L’actualité pointe son nez dans le discours du Président, celle de la polémique sur le port des abayas dans les établissements scolaires et des atteintes à la laïcité. "La simple substitution du thermique par l'électrique n'est pas satisfaisante. Se situant dans la ligne de Jean-Pierre Chevènement et de Nicolas Sarkozy qui, alors ministres de l’intérieur, s’étaient attelés à cette tâche en œuvrant à la création du Conseil français du culte musulman (CFCM) il y a près de 20 ans, Emmanuel Macron a affirmé avoir voulu « aller plus loin ». " Bertrand-Olivier Ducreux L'Ademe, insiste l'ingénieur, met en avant la petite voiture électrique, "un outil efficace et pertinent" , pour les déplacements quotidiens dans un rayon de quelques dizaines de kilomètres. Le discours présidentiel tourne ensuite au panégyrique de Chems-Eddine Hafiz, le recteur de la GMP depuis janvier 2022, décoré dans la foulée des insignes d’officier de la Légion d’honneur. "Jusqu'à un passé récent, le véhicule thermique était le couteau-suisse de la mobilité, il pouvait tout faire. Nous ne pouvons pas rester dans ce modèle" , estime Bertrand-Olivier Ducreux. 2020 Inaugurée en 1926, la GMP est une institution prestigieuse, chargée d’histoire, notamment pour avoir protégé des juifs pendant la Seconde Guerre mondiale. » « Il n’y a qu’une République : celle de la liberté de croire ou de ne pas croire, celle où l’État est garant de la liberté religieuse », a-t-il insisté, affirmant qu’il ferait « tout » pour « garantir aux musulmans la possibilité de vivre leur foi sereinement, dans le cadre protecteur de la laïcité, par un dialogue constructif entre l’islam et l’État, entre les pays musulmans étrangers et la France. Il appelle à une "rupture de comportement" par rapport à une période où "nous choisissions en partie notre véhicule pour les quelques déplacements de l'année les plus contraignants" : partir en vacances à plusieurs centaines de kilomètres de son domicile, avec de nombreux bagages, un ou plusieurs enfants, et parfois des vélos sur le toit. Pour ces longs trajets, il conçoit la voiture électrique comme un maillon de la chaîne. Il a été construit sur un terrain offert par la municipalité de Paris. Au lieu d'effectuer tout le trajet en voiture, il s'agirait par exemple de prendre un bus ou un car pour rejoindre une gare. Parmi les invités réunis dans le patio de la grande mosquée figuraient aussi le premier adjoint de la ville de Paris, Emmanuel Grégoire, ou encore l’ancien ministre Arnaud Montebourg. De là, éventuellement, des transports en commun permettraient de prendre un train de grande ligne. En 2003, la création du Conseil français du culte musulman, enterré depuis deux ans, a donné une image plus diversifiée de l’islam de France. Une fois sur place, la location d'une voiture électrique permettrait de se rendre sur son lieu de vacances et de circuler dans un rayon de 40-50 km. Parce que c'est la place de la voiture (électrique ou non) qui doit être revue La voiture électrique n'est qu'une "brique parmi une offre de services de mobilité plus large et diversifiée" , écrit l'Ademe. De quoi satisfaire le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, avec qui il entretient de très bonnes relations. À découvrir. Cette projection se heurte à l'aménagement du territoire, qui a privilégié les routes et l'automobile, laissant le réseau ferroviaire s'éroder. Résultat : la voiture personnelle constitue l'un des modes de transport principaux au quotidien pour 72% des Français, alors que la moitié des trajets font moins de 5 km, rapporte l'Ademe . "En raison de choix de société, de choix politiques, une part de la population doit utiliser une voiture. Nous ne pouvons pas les culpabiliser." Marco Daturi Comme l'Ademe, le chercheur en chimie plaide non pas pour une unique solution, mais pour "des solutions qui seront insérées dans le tissu du territoire" . Le projet est aussi ambitieux que délicat. "Remettre en cause le tout voiture dans la société, investir massivement dans le ferroviaire, à longue distance, mais également à courte distance, réduire les distances entre le domicile et le travail, réduire l'étalement urbain... C'est une trajectoire plus difficile sur le plan politique que tout miser sur la voiture électrique" , analyse Julien Pillot, économiste, chercheur de l'Inseec, associé au CNRS. >> Ce profond changement est pourtant nécessaire, juge Pierre Leflaive. Il rappelle que 13 millions de personnes en France sont en "situation de précarité mobilité" selon la Fondation pour la nature et l'homme . Pour le responsable Transports du Réseau action climat, réduire le parc automobile ne signifie pas réduire les déplacements. D'après lui, il s'agit d'offrir davantage de possibilités aux personnes qui en ont besoin. Dans cette vision, "le ferroviaire va être le fer de lance de la transition du secteur des transports et cela signifie investir massivement" , relève-t-il. "L'enjeu, ce n'est pas de moins bien se déplacer. Au contraire, c'est de mieux s'adapter à nos besoins, et à la fin d'avoir une meilleure mobilité pour tous." Pierre Leflaive à franceinfo Encore faut-il, concède Pierre Leflaive, améliorer la qualité des alternatives : leur ponctualité, leur régularité, leur prix mais également leur confort. D'après le patron de la SNCF, Jean-Pierre Farandou, .