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Arctique le ré chauffement climatique pourrait libé rer des virus
19/10/2022 15:07:00 La fonte des glaces pourrait favoriser un « dé bordement viral » dans l environnement arctique selon des scientifiques canadiens
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La source Le Point
Le réchauffement climatique pourrait provoquer un « débordement viral » depuis l' Arctique , où des virus jusqu'ici préservés dans la glace pourraient entrer en contact avec de nouveaux hôtes dans d'autres environnements. La fonte des glaces pourrait favoriser un « débordement viral » dans l’environnement arctique, selon des scientifiques canadiens. , où des virus jusqu'ici préservés dans la glace pourraient entrer en contact avec de nouveaux hôtes dans d'autres environnements, selon une étude publiée mercredi. Les virus ont besoin d'un hôte (humain, animal, plante ou mousse) pour se répliquer et se diffuser, en utilisant au besoin un hôte dépourvu d'immunité, comme l'a montré la récente pandémie de Covid-19 avec l'homme. Des scientifiques canadiens ont cherché à savoir si le changement climatique pourrait favoriser un tel scénario dans l'environnement arctique du lac Hazen. À l'extrême nord duCanada, c'est le plus grand lac situé au-delà du cercle arctique. Les chercheurs ont prélevé des échantillons du lit d'une rivière qui l'alimente à la fonte des glaces pendant l'été, ainsi que du fond du lac. Ce qui a nécessité de forer deux mètres de glace avant d'atteindre le fond des eaux glacées, à presque 300 mètres. Lire la suite:
Le Point » Exploration en Arctique : «Cette mission est l'aventure de ma vie», se projette Alban Michon Le réchauffement climatique dans l’Arctique pourrait libérer de nouveaux virus Le réchauffement climatique pourrait provoquer un Climat : comment le réchauffement en Arctique pourrait provoquer l'arrivée de nouveaux virus Guerre en Ukraine plusieurs villes dont Kiev frappées par des attaques de drones « kamikazes »
Les habitants de la capitale ukrainienne ont été réveillés, ce lundi matin, par le bruit de plusieurs explosions. Au moins quatre drones « kamikazes » lancés par l'armée russe ont atteint des infrastructures et des immeubles de Kiev. Plusieurs autres régions d'Ukraine ont aussi été frappées par des tirs russes. Lire la suite >> Et voilà : un virus dangereux. L'explication aux prochaines épidémies est déjà trouvée... 😏 Serait-il possible de se faire vacciner (ho oui !) contre ces virus (lesquels car jamais découverts. D'ailleurs, on ne sait même pas si il y en a !) qui pourraient (supputation) croiser de nouveaux hôtes (lesquels ? mystère...) et qui vont croiser mon chemin... Le patron de Pfizer a approuvé cet article Des laboratoires P4? Exploration en Arctique : «Cette mission est l'aventure de ma vie», se projette Alban MichonAlban Michon, explorateur polaire de 45 ans, était l'invité de Virginie Phulpin dans "Europe 1 Sport". Pour l'occasion, "l'amoureux de la glace" a livré en exclusivité les premiers objectifs de la mission qui aura lieu en Arctique fin 2025. Alban Michon passera notamment six mois dans une capsule située sous la glace. Le réchauffement climatique dans l’Arctique pourrait libérer de nouveaux virus« La probabilité d’évènements dramatiques reste très faible », selon une des autrices de l’étude. Mais le risque pourrait s’accroître avec le réchauffement climatique car de nouveaux hôtes pourraient s’aventurer dans des régions auparavant inhospitalières. Et bien qu'ils se libèrent, nous le meritons 'fait plusieurs années qu'on en parle. Et tout le monde s'en fout 😂 Oui oui on sait qu on n est pas dans la mouise 😐 Le réchauffement climatique pourrait provoquer unLe réchauffement climatique pourrait provoquer un 'débordement viral' depuis l'Arcticque Climat : comment le réchauffement en Arctique pourrait provoquer l'arrivée de nouveaux virusUne étude publiée ce mercredi 19 octobre révèle que le réchauffement climatique pourrait provoquer un 'débordement immunitaire' Nul besoin du réchauffement, par exemple les universitaires de Boston ont créé une combinaison mortelle du covid récemment : Arctique , où des virus jusqu'ici préservés dans la glace pourraient entrer en contact avec de nouveaux hôtes dans d'autres environnements, selon une étude publiée mercredi.6:35 Jean-Baptiste Sarrazin 22h08, le 18 octobre 2022 Alban Michon, explorateur polaire de 45 ans, était l'invité de Virginie Phulpin dans "Europe 1 Sport".La suite après la publicité Virus et hôtes potentiels Des scientifiques canadiens ont cherché à savoir si le changement climatique pourrait favoriser un tel scénario dans l’environnement arctique du lac Hazen."débordement viral" depuis l'Arctique "débordement viral" depuis l'Arctique, où des virus jusqu'ici préservés dans la glace pourraient entrer en contact avec de nouveaux hôtes dans d'autres environnements, selon une étude publiée mercredi. Les virus ont besoin d'un hôte (humain, animal, plante ou mousse) pour se répliquer et se diffuser, en utilisant au besoin un hôte dépourvu d'immunité, comme l'a montré la récente pandémie de Covid-19 avec l'homme. Des scientifiques canadiens ont cherché à savoir si le changement climatique pourrait favoriser un tel scénario dans l'environnement arctique du lac Hazen. Alban Michon passera notamment six mois dans une capsule située sous la glace. À l'extrême nord du Canada , c'est le plus grand lac situé au-delà du cercle arctique. Ce qui a nécessité de forer deux mètres de glace avant d’atteindre le fond des eaux glacées du lac, à presque 300 mètres. Les chercheurs ont prélevé des échantillons du lit d'une rivière qui l'alimente à la fonte des glaces pendant l'été, ainsi que du fond du lac. Alban Michon, explorateur des zones polaires, se prépare à passer six mois en . Ce qui a nécessité de forer deux mètres de glace avant d'atteindre le fond des eaux glacées, à presque 300 mètres. Les chercheurs ont prélevé des échantillons du lit d'une rivière qui l'alimente à la fonte des glaces pendant l'été, ainsi que du fond du lac. Climat : ces microbes en embuscade À l'aide de cordes, une moto des neiges a ensuite hissé les sédiments, qui ont été séquencés pour leur ADN et ARN, le code génétique et l'outil de réplication du vivant... « Cela nous a permis de déterminer quels virus se trouvaient dans un environnement donné, et quels hôtes potentiels s'y trouvaient aussi », a expliqué à l' Stéphane Aris-Brosou, professeur associé au département de biologie de l'université d'Ottawa, qui a supervisé l'étude. L'équipe a ensuite cherché à savoir dans quelle mesure les virus étaient susceptibles de changer d'hôte, en examinant l'équivalent de leurs arbres généalogiques respectifs. C'est à l'intérieur d'une base de vie ressemblant à une navette spatiale que l'homme envisage de relever ce défi. Arrivée de nouveaux hôtes « Nous avons cherché à mesurer à quel point ces arbres [généalogiques] étaient similaires », a expliqué Audrée Lemieux, de l'université de Montréal, première autrice de l'étude. L’équipe a ensuite cherché à savoir dans quelle mesure les virus étaient susceptibles de changer d’hôte, en examinant l’équivalent de leurs arbres généalogiques respectifs. Des généalogies similaires suggèrent que le virus a évolué avec son hôte, alors que des différences indiquent qu'il a pu changer d'hôte." >> LIRE AUSSI Tara Polar Station : une présence française en Arctique face aux tensions géopolitiques du territoire "À l'âge de 22 ans, j'avais une école de plongée sous glace à Tignes. Arrivée de nouveaux hôtes "Nous avons cherché à mesurer à quel point ces arbres (généalogiques) étaient similaires", a expliqué Audrée Lemieux, de l'Université de Montréal, première autrice de l'étude. Et s'il l'a fait au moins une fois, il est susceptible de recommencer. Les analyses ont montré de grandes différences dans les arbres généalogiques des virus et de leurs hôtes dans les sédiments extraits du fond du lac. Un départ fin 2025 C'est donc à bord d'une capsule qui pourrait faire penser à celle de l'ISS dans l'espace, que l'explorateur prévoit de réaliser cette aventure extrême. Et s’il l’a fait au moins une fois, il est susceptible de recommencer. Ces différences étaient moins prononcées dans le lit de la rivière alimentant le lac. Les chercheurs supposent que l'eau de fonte des glaciers érode les sédiments du lit, limitant ainsi les interactions entre les virus et des hôtes potentiels. La capsule, déjà construite, mesure 24 mètres de long pour 2 mètres 30 de large. En revanche, l'accélération de la fonte des glaciers alimentant le lac a aussi accru la quantité de sédiments qui y est transportée. Les chercheurs supposent que l’eau de fonte des glaciers érode les sédiments du lit, limitant ainsi les interactions entre les virus et des hôtes potentiels. Les chercheurs supposent que l'eau de fonte des glaciers érode les sédiments du lit, limitant ainsi les interactions entre les virus et des hôtes potentiels. « Cela va mettre en contact des hôtes et des virus qui ne l'auraient pas été normalement », a dit Audrée Lemieux. "Ce sont des modules qui s'emboîtent, et qui peuvent évoluer un peu comme des Legos", a décrit l'instigateur de la mission. .