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Congrè s du Parti communiste chinois « Dans la Chine de Xi Jinping personne n est à l abri »

16/10/2022 20:48:00

Congrè s du Parti communiste chinois « Dans la Chine de Xi Jinping personne n est à l abri »

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Congrès du Parti communiste chinois : « Dans la Chine de Xi Jinping , personne n’est à l’abri » Depuis son arrivée au pouvoir en 2012, Xi Jinping a transformé la Chine en un régime de plus en plus autoritaire où personne n’échappe au contrôle du Parti communiste, qui a ouvert son 20e congrès ce dimanche 16 octobre. Entre la politique oppressante du « zéro Covid » et la surveillance permanente, les Chinois vivent dans un climat d’inquiétude et de défiance vis-à-vis du pouvoir. déclare à l’Agence France-Presse Vivienne Shue, professeure émérite d’études sur la Chine contemporaine à Oxford.confie un expatrié de longue date qui a vécu le drame sur place en 2020.En Chine, la politique du « zéro Covid » reste en vigueur Elle s’inquiète pour ses deux enfants à qui elle ne peut offrir ni bonne école ni vacances.. Pour elle, il n’y a pas de doute,« économique et efficace »À lire aussirelève Diana Fu.Ce qui a progressé sous Xi Jinping Lire la suite:
» Chine : Xi Jinping en piste pour un troisième mandat de « Fils du ciel » Xi Jinping ouvre le congrès du PCC qui devrait le consacrer le plus puissant dirigeant chinois depuis Mao L'Inde tire avec succès un missile balistique depuis un sous-marin Carburant : quels sont les départements qui ont le plus souffert depuis le début de la pénurie ?

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La cathédrale de la Major fait l'objet d'une grande rénovation. Un chantier en plusieurs phases qui se poursuit aujourd'hui avec des travaux de restauratio Lire la suite >> Chine : Xi Jinping en piste pour un troisième mandat de « Fils du ciel »Le 20e Congrès du PC chinois, qui s’ouvre ce dimanche à Pékin, doit entériner le maintien au pouvoir de Xi Jinping , faisant de lui le plus puissant dirigeant depuis Mao. Retour sur le parcours de l’énigmatique chef qui pilote, depuis 2012, d’une main de fer, le formidable essor de la Chine Xi Jinping ouvre le congrès du PCC qui devrait le consacrer le plus puissant dirigeant chinois depuis MaoLe président chinois a défendu sa politique draconienne de lutte contre le Covid-19, son offensive contre la corruption et fustigé les « forces extérieures » se mêlant de Taïwan. Eh ben...le monde n'en a pas fini avec les conflits... Il n'y a pas de doute,ça fait envie..😱 Une chose est claire, après tout. IL y a une sorte de respect entre la Chine et les États Unis. Meme à propos de Taïwan, elle restera comme tel. IL n'y a aura pas d'invasion dans l'île. L'Inde tire avec succès un missile balistique depuis un sous-marinCet essai de missile balistique, depuis un sous-marin 'made in India', souligne en outre la progression de l'Inde vers la fabrication de son propre matériel militaire. Tous les pays qui adhérents à la nouvelle monnaie, montrent les dents.... Sauf erreur de ma par, ces pays, à une moindre échelle que les russes, ont des missiles hyper-soniques.. Il faudrait que les pays occidentaux se réveillent car la guerre des étoiles, c'est finie.... Mdr! Pour ? Distribuer des capotes, traiter les eaux usées, mettre fin au système de castes et aux rites barbares ce serait plus utiles aux Indiens. Carburant : quels sont les départements qui ont le plus souffert depuis le début de la pénurie ?FIG DATA - La grève chez Esso-ExxonMobil et TotalEnergies qui bloque les raffineries et les dépôts de carburants provoque d'importants défauts d'approvisionnement dans les stations-service. Avec d'importantes disparités selon les territoires. 2 à 3 heures pour faire le plein de son véhicule... ça y est, tout le monde est à l'électrique 🤔🤣🤣🤣 En Iran, la police des moeurs fait la loi depuis plus d'une décennieDepuis plus de dix ans, les Iraniennes qui s'aventurent hors de chez elles, même pour une simple course, le font avec la boule au ventre, de peur de croiser la tristement célèbre police des mœurs davidvujanovic AFP davidvujanovic C'est pas un scoop on commence à avoir la même en France davidvujanovic quelle horreur, combatons sans relache ces dictateurs sanguinaires religieux basta !!!! ADPCharb davidvujanovic On ne se rend pas compte à quel point dans certaines contrées the handmaid’s tale n’est pas une dystopie Chine de Xi Jinping », souligne Mathieu Duchâtel, (1) directeur du programme Asie à l’Institut Montaigne.D ans le pays le plus « fliqué » du monde, où des armées de caméras (une pour trois habitants) filment le moindre trottoir, il fallait un courage insensé pour suspendre sur un pont autoroutier de Pékin à trois jours de l’ouverture du 20 e Congrès du Parti communiste chinois (PCC).Temps de lecture 3 min Le président Xi Jinping a défendu sa politique draconienne de lutte contre le Covid-19 et son offensive contre la corruption en ouvrant dimanche le congrès du Parti communiste chinois (PCC), qui devrait lui confier dans une semaine un troisième mandat historique à la tête du pays.Illustration- Un missile Hoplite, de MBDA - - Cet essai de missile balistique, depuis un sous-marin"made in India", souligne en outre la progression de l'Inde vers la fabrication de son propre matériel militaire. Xi Jinping a remodelé toute la société de telle manière que le « parti dicte ce que “le peuple” doit savoir, ressentir, penser, dire et faire » déclare à l’Agence France-Presse Vivienne Shue, professeure émérite d’études sur la Chine contemporaine à Oxford. Le nombre de cas repart à la hausse Avec la tenue du congrès du Parti communiste à Pékin, les autorités sont plus que jamais sur les dents. Mais le message a largement circulé, témoignant de l’état d’esprit de certains Chinois alors que leur chef tout-puissant brigue, à 69 ans, un troisième mandat de « Fils du ciel » (un titre qui, dans la culture chinoise, désigne l’empereur, doté d’un « mandat du ciel »). « À Wuhan, elles ont déjà annoncé 150 cas de Covid asymptomatiques, confie un expatrié de longue date qui a vécu le drame sur place en 2020. Alors que l’une des principales interrogations tournait autour du maintien ou non de la stricte stratégie « zéro Covid » indissociable du président chinois, Xi Jinping a affirmé que la Chine avait, grâce à cette politique, privilégié les vies humaines avant tout. C’est la panique générale ! » Appels à rester chez soi, à ne pas voyager et à fermer les bars, tests quotidiens désormais alors qu’il fallait en faire un toutes les soixante-douze heures avant.. La ville d’où est partie l’épidémie de Covid-19 et qui avait vécu un confinement de soixante-dix-sept jours, du 23 janvier au 8 avril 2020, se doit d’être exemplaire. Un test pour"prouver la compétence de l'équipage" Le tir a été"important pour prouver la compétence de l'équipage" et"valider" le programme de sous-marin nucléaire lanceur d'engins (SNLE),"un élément clé de la capacité de dissuasion nucléaire de l'Inde", a déclaré le ministère de la Défense dans son communiqué. Il n’y a eu qu’un quartier et quelques immeubles confinés depuis la tragédie, mais la menace semble se préciser à nouveau. « Nous voulons de la nourriture, pas des tests Covid ; des réformes, pas la Révolution culturelle ; la liberté, pas la mise sous clé ; des élections, pas un chef suprême ; la dignité, pas le mensonge. Et la quasi-fermeture du pays et les confinements à répétition ont mis un coup d’arrêt à la croissance économique. Comme à Shanghaï, au Xinjiang ou en Mongolie-Intérieure. À lire aussi En Chine, la politique du « zéro Covid » reste en vigueur Commerciale dans une entreprise de spiritueux, Nathalie Wu ne décolère pas face aux contraintes des confinements à répétition, des tests à grande échelle et des quarantaines aléatoires. » Ce manifeste a été lancé à quelques encâblures de l et dont seuls les vieux se souviennent, puisque l’épisode a été effacé par la censure. Et s’angoisse à l’idée que l’entreprise s’effondre : « Cet été, notre usine a dû fermer à cause des coupures d’électricité à Chengdu et, après le confinement, nous ne sommes pas loin de la faillite. L’une appelait les citoyens à se mettre en grève et à chasser « le traître dictateur Xi Jinping » . » « J’ai peur de devenir pauvre » Elle s’inquiète pour ses deux enfants à qui elle ne peut offrir ni bonne école ni vacances. Fils d’un compagnon de Mao Sur cet empire du contrôle social règne depuis dix ans l’énigmatique Xi Jinping. Sur le même sujet L'INS Vikrant, entré en service après 17 ans de construction et d'essais, est avec 262 mètres l'un des plus grands navires de guerre au monde. « J’ai peur de devenir pauvre… », souffle-t-elle. Et de se révolter face à l’apathie générale des Chinois qui à ses yeux sont « des esclaves aveugles appliquant les ordres sans la moindre remise en question ni critique » . Si les milliers de délégués du PCC réunis au Palais du peuple y consentent, ce qui fait peu de doute, Xi s’affranchira de la règle des deux mandats et de la collégialité instaurée après Mao pour limiter le pouvoir personnel. La suite après la publicité Selon des chiffres officiels, au moins 1,5 million de personnes ont été sanctionnées lors de cette campagne, entamée par Xi Jinping dès son arrivée au pouvoir en 2012 pour faire tomber les « tigres » (hauts dirigeants) et les « mouches » (petits fonctionnaires) avides de pots-de-vins. Pour elle, il n’y a pas de doute, « l’économie s’effondre, mes amies perdent de l’argent et on ne peut compter sur le moindre mouvement de rébellion. Les vieux acceptent et tout le monde a peur de s’exprimer. Cet homme consensuel passe alors pour plutôt libéral. No future ! ». « Nous ne nous engagerons jamais à abandonner le recours à la force et nous nous réservons la possibilité de prendre toutes les mesures nécessaires » , a-t-il menacé. À lire aussi Mais aux yeux du régime, persister sur la voie du zéro Covid est pour le moment indiscutable. À lui qui, présidant la plus formidable décennie d’essor du pays, a aussi restauré le contrôle total du Parti sur l’économie et la société, après trente ans d’ouverture pilotés par ses prédécesseurs Deng Xiaoping, Jiang Zemin et Hu Jintao. Il assure que c’est le chemin le plus « économique et efficace » vers l’avenir, tandis que le Parti communiste au pouvoir refuse de préciser si les restrictions seront encore maintenues pendant des semaines, des mois ou des années. « L’héritage de Xi et la légitimité du parti sont liés au succès de la campagne zéro Covid », affirme Diana Fu, experte en politique intérieure chinoise à la Brookings Institution, centre de réflexion américain. Mais le jeune Xi, envoyé lui aussi en rééducation à la campagne, va choisir, contre son père, de devenir un bon petit soldat de l’idéologie maoïste. La suite après la publicité Tout en affirmant que la Chine est « résolument opposée à toute forme d’hégémonie » et « s’oppose à la mentalité de guerre froide » , Xi Jinping s’est abstenu de mentionner les tensions avec les Etats-Unis, ainsi que la guerre en Ukraine. À lire aussi Chine, ambiguïté des mythes Cette politique restrictive a permis de limiter les décès du Covid à officiellement 5 000 morts contre plus d’un million aux États-Unis. Les Chinois sont désabusés, mais ils espèrent que cette politique sera assouplie au lendemain du congrès. Un Janus, assurément : apparatchik mais affichant sa proximité avec le peuple acquise durant son parcours patient de cadre provincial. Un scénario très improbable à court terme. Un point crucial sera la composition du futur Comité permanent, ce groupe de sept ou neuf personnalités au plus haut sommet du pouvoir. « La campagne, quelles qu’en soient les conséquences sociales et économiques, restera saluée comme un succès du socialisme chinois », relève Diana Fu. Pour le meilleur, la lutte contre la pauvreté, et pour le pire : la répression impitoyable de toute dissidence, armé de l’arsenal dernier cri de la surveillance. Le rêve de Xi Jinping contrarié par le ralentissement de l’économie chinoise Comme pour la « victoire » contre le Covid, claironnée dès le printemps 2020, le parti ne peut pas se tromper. Il sera temps, peut-être au printemps prochain, au moment de l’Assemblée nationale populaire (ANP), de faire évoluer le discours politique pour justifier un assouplissement progressif des contraintes. En 2012, L’affaire Bo Xilai en dit long sur le parcours sinueux de Xi . Il sera annoncé que le parti a gagné et que la politique du zéro Covid n’est plus un impératif. Mais à ce stade, il s’agit encore d’une fiction loin d’être écrite. Comme Xi, Bo Xilai est un rejeton des fondateurs du régime. -------- Ce qui a progressé sous Xi Jinping Malgré le ralentissement provoqué par la pandémie du Covid, survenue depuis début 2020, la Chine de Xi Jinping a progressé dans certains domaines. Extrême pauvreté éradiquée. Le Waterloo des libertés civiles Arrêté, jugé, ses biens saisis, condamné à la détention à vie, Bo Xilai aurait reçu dans sa prison dorée la visite de Xi, venu lui signifier que s’il l’avait écarté du pouvoir, il comptait pourtant enfourcher sa ligne sociale d’un retour à Mao. En 1978, 770 millions de Chinois vivaient dans l’extrême pauvreté ; en 2013, ils n’étaient plus que 82 millions, puis 6 millions en 2019, note la Banque mondiale, saluant un rythme « sans précédent dans l’histoire » . Programme spatial. Un tournant assumé en 2015 lorsque Xi édicte son credo « d’harmonie sociale » qui implique de soumettre les « Rockefeller chinois » et de renforcer l’encadrement idéologique de la population. La Chine a comblé l’essentiel de son retard avec les Américains et les Russes. Elle a posé un robot sur la Lune en 2013, puis un autre en 2019 et un robot sur Mars en 2021. Liu est décédé le 13 juillet après une bataille contre le cancer, restant en détention jusqu’à la fin. Elle devrait terminer cette année sa station spatiale. Lutte anticorruption. Et cap vers un nationalisme autoritaire qui veut ramener le pays à la seule place qu’une histoire cinq fois millénaire lui destine : la première. Fonctionnaires, ministres, généraux, dirigeants d’entreprises… Entre 2012 et 2022, 11,3 millions de réprimandes ont été adressées (pour des cas mineurs) et 4,7 millions de Chinois, accusés de manquements graves, ont fait l’objet d’une enquête, selon la Commission nationale de discipline. Au moins 1,5 million a écopé d’une sanction pouvant aller jusqu’à la peine capitale. et que Xi n’a jamais laissé partir de Chine, a été le faire-part de décès d’une certaine société civile. (1) Le Dossier chinois. Portrait d’un pays au bord de l’abîme, collectif sous la direction de Pierre-Antoine Donnet, . Censée conserver, après sa rétrocession à la Chine en 1997, son héritage démocratique en vertu du slogan « un pays, deux systèmes », : une annexion qui faisait écho à celle de la Crimée par la Russie, l’alliée autocratique de Pékin dans le combat pour un nouvel ordre mondial dégagé de l’influence occidentale et des encombrants « droits de l’homme ». Éditions Le Cherche Midi, 286 p., 21,90 €. Tant pis si l’île nationaliste n’a jamais formellement fait partie de la Chine. À découvrir .