Clé opâ tre Darleux ' C est important pour moi de me servir de mon expé rience pour faire bouger les lignes' İnégalités - Sport HEAD TOPICS
Clé opâ tre Darleux ' C est important pour moi de me servir de mon expé rience pour faire bouger les lignes'
16/10/2022 10:09:00 ' Ç a me ré volte de voir qu il existe encore autant d #iné galité s de genre et ce que ce soit dans le #sport mais plus globalement dans la socié té ' s' exprime la gardienne des Bleues sur l' é galité femme homme
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La source Marie Claire
'Ça me révolte de voir qu’il existe encore autant d’ inégalités de genre, et ce, que ce soit dans le sport, mais plus globalement dans la société', s'exprime la gardienne des Bleues sur l'égalité femme/homme. Pilier de l’équipe de France féminine de handball et véritable rôle modèle, la gardienne des Bleues Cléopâtre Darleux se livre dans un ouvrage biographique. L’occasion de revenir avec elle sur ses débuts, ses exploits et ses engagements sur et hors du terrain. J’ai commencé le handball assez jeune, autour de 7 ans, parce qu’une de mes grandes soeurs avait commencé avant moi. J’avais très envie de faire comme elle. Mon autre soeur nous a d'ailleurs rejointes peu de temps après : on a ainsi joué ensemble toutes les trois pendant de longues années, 6 ans je crois. J’en garde de super souvenirs. sélections au pôle espoir à Strasbourg (elle est originaire de Mulhouse, ndlr) et qu'il fallait choisir un poste. C'est aussi un poste où on peut faire la différence en match. Bon, c'est vrai qu'àLe handball, et notamment le hand féminin, a beaucoup changé ces dernières années. Quel est votre regard sur votre discipline et sa mise en lumière ? Lire la suite:
Marie Claire » Le football amateur au bord de la panne sèche La France pourrait fournir à l'Ukraine 3 ou 4 systèmes anti-aériens Crotale France: le niveau des nappes phréatiques reste très bas Exxelia : le dossier balance entre les concepts de souveraineté et d'attractivité de la France VIDEO Fos-sur-Mer plus de 100 pompiers mobilisés sur un incendie dans la zone industrielle
Les pompiers des Bouches-du-Rhône luttent contre un feu de copeaux de bois au terminal minéralier de Fos-sur-Mer, dans les Bouches-du-Rhône. Lire la suite >> Le football amateur au bord de la panne sècheLe football amateur au bord de la panne sèche La pénurie de carburant en France touche particulièrement les compétitions départementales en France, ce week-end. Non mais de toute façon y'avait besoin de ça et c pas comme le problème des grandes régions où a partir de R1 tu peut faire 150Km Aller c'est juste une goutte d'eau de trop on est habitué déjà . Et pas que le foot ! Prenez le train avant qu'ils se mettent en grève. Sinon y a toujours l'avion 😏 La France pourrait fournir à l'Ukraine 3 ou 4 systèmes anti-aériens CrotaleAprès les Etats-Unis, l'Allemagne et l'Espagne, la France devrait envoyer des systèmes anti-aérien. Il s'agirait des Crotale de Thales, un dispositif efficace contre les missiles, les avions, les hélicoptères ou les drones. Scandaleux, Macron dépouille consciencieusement notre armée qui est déjà sous dotée!!! Ce titre aurait été plus judicieux: 'Macron fragilise la défense Française en puisant dans le stock de l'armée Française, en fournissant au régime Nazi Ukrainien 3 ou 4 systèmes anti-aeriens Crotale' Croyez vous que face au missile hypersonique Avangarde ce système soit efficace? Ben voyons !!! Pour soutenir un fou et faire plaisir à papy Biden ...... France: le niveau des nappes phréatiques reste très basEn France, l'été 2022 est terminé mais la sécheresse perdure. La majorité des nappes phréatiques reste à des niveaux très inférieurs à ceux de l'année dernière pour un mois d’octobre. Et il n'y a aucune… Exxelia : le dossier balance entre les concepts de souveraineté et d'attractivité de la FranceLa vente d'Exxelia à l'américain Heico devient très politique. Les ministres des Armées et de l’Économie Sébastien Lecornu et Bruno Le Maire vont devoir trancher entre attractivité et souveraineté de la France. Mais l'hôtel de Brienne devra d'abord trouver un chevalier blanc pour la reprise d'Exxelia s'il veut un actionnariat français dans le capital de cette société, en passe d'être vendue par le fonds britannique IK Partners. Équipe de France : très bonne nouvelle en vue pour Deschamps avec un cadre ?Didier Deschamps, le sélectionneur de l'équipe de France, aurait reçu une bonne nouvelle concernant un cadre. Elle collectionne les récompenses collectives et individuelles, les trophées et les exploits : à 33 ans, Cléopâtre Darleux est une athlète émérite et une femme engagée.Benjamin Henry et Laurent Grandcolas 14 octobre 2022 à 21h25 ma liste commenter partager Difficile de comparer la crise sanitaire qui a mis le sport à l'arrêt, ou presque, pendant près de deux ans, et la pénurie de carburant qui touche une majeure partie de la France ces derniers jours..Suivre 1 mn En France, l'été 2022 est terminé mais la sécheresse perdure. Rare sportive en activité à être revenue au plus au niveau après être devenue maman (en 2019, ndlr), elle a accepté de se livrer sur son parcours et sa vie dans l’ouvrage Vivre selon ses valeurs comme Cléopâtre Darleux (Ed. Leduc, collection ABlock). Bon nombre de districts ont décidé de reporter les compétitions prévues aujourd'hui et demain « en raison de la situation très compliquée rencontrée [. À cette occasion et à quelques semaines de l’Euro Féminin de handball 2022, nous sommes revenues avec elle sur sa carrière, sa place en équipe nationale et ses combats. En matière de défense anti-aérienne, le Crotale, produit par Thales et armé par MBDA, est en première position devant les Mistral moins puissant ou les Mamba en très longue portée. Marie Claire : Dès le début de votre ouvrage, vous parlez de votre enfance.. En quoi cette enfance à forger la femme et l’athlète que vous êtes aujourd’hui ? Cléopâtre Darleux : Je pense que pour tout le monde c’est un peu le cas, toutes les expériences qu’on vit nous définissent quelque part et forgent notre caractère et nos valeurs. Elles n'ont pas pu recharger les nappes phréatiques. Je suis issue d’une famille nombreuse et tout ce que j’ai vécu dans mon enfance m’a vraiment construite. L'actu du foot amateur Pas une consigne fédérale mais des décisions prises au cas par cas, en fonction de l'impact de la pénurie à l'échelle locale. Ils disposent de radar et d'un calculateur de tir pour atteindre la cible en infrarouge", nous explique le colonel Michel Goya. Par exemple, quand on était petits, on a fait beaucoup de sport, on multipliait les activités.. Ainsi, le panorama du football français promet d'être inédit ce week-end : certains Districts seront totalement à l'arrêt quand d'autres ne seront pas du tout touchés.. Il effectue des tirs à 9000 mètres d'altitude et 15 kilomètres de portée. La vie à la maison était rythmée par des moments de bagarre et en même temps on était hyper soudés entre frères et soeurs. Pas de souci pour la Coupe de France « C'est embêtant parce qu'en début de saison, on a besoin de jouer, et les enfants ne comprennent pas trop pourquoi ils sont privés de football , estimait hier un éducateur d'un club concerné par le report général dans son département. Niveau en baisse aussi sur toute la moitié nord, dans le Poitou, et la vallée du Rhône. Et je retrouve ces dynamiques aujourd'hui en tant que femme. Assez tôt, vous plongez dans le handball. » Du côté de la Fédération -dont le déploiement d'une aide au carburant à l'attention de 8595 clubs annoncée en juin est en cours-, on confirmait hier que les 120 déplacements prévus dans le cadre des compétitions nationales étaient maintenus, et que le sixième tour de Coupe de France, le dernier organisé par les Ligues avant l'entrée en lice des clubs de Ligue 2 (les 29 et 30 octobre), ne faisait l'objet d'aucune demande de report. Sur le nombre, le gouvernement ne dit rien non plus, mais les chiffres de 3 ou 4 systèmes sont avancés. Pouvez-vous nous en parler ? J’ai commencé le handball assez jeune, autour de 7 ans, parce qu’une de mes grandes soeurs avait commencé avant moi. J’avais très envie de faire comme elle. A condition qu'ils ne se multiplient pas. Mon autre soeur nous a d'ailleurs rejointes peu de temps après : on a ainsi joué ensemble toutes les trois pendant de longues années, 6 ans je crois. Un sujet sensible après les et dont le remplacement prendra de longs mois au minimum étant donné le carnet de commande de Nexter et sa capacité de production. J’en garde de super souvenirs. Vidéo du jour : Au départ, j’étais sur le terrain, j’allais que très rarement dans les buts. Et c’est autour de 12 ans que j’ai commencé à aller plus souvent dans les cages tout en continuant à jouer à d'autres postes. Le choix de devenir gardienne de but, c'est arrivé vers l'âge de 12 ans, quand j'ai voulu tenter les sélections au pôle espoir à Strasbourg (elle est originaire de Mulhouse, ndlr) et qu'il fallait choisir un poste. Qu’est-ce qui vous a attirée vers le poste de gardienne ? Bien que je n'aime pas spécialement la solitude et je préfère être dans un collectif, ce poste est particulier. J'aime l'idée d'être dans une bulle. C'est aussi un poste où on peut faire la différence en match. Bon, c'est vrai qu'à l’inverse, ça peut être un poste ingrat qui peut être dur parfois. Mais il est aussi gratifiant. Je ne suis pas sûre que j'avais toute cette vision à mes 13 ans, mais disons qu'il y avait quelque chose de spécial qui me plaisait. J’avais aussi beaucoup de caractère, j'étais très compétitrice avec de la hargne et c’est exactement ce qu’il fallait pour aller dans les cages. On est passé de 20% de joueuses syndiquées à plus de 50 %, et même si ce n’est toujours pas assez, on va dans la bonne direction. Le handball, et notamment le hand féminin, a beaucoup changé ces dernières années. Quel est votre regard sur votre discipline et sa mise en lumière ? Clairement, le handball féminin a ainsi beaucoup évolué et j’ai pu vivre ces changements de très près. À mes débuts, il n’y avait pas tout ce professionnalisme. Aujourd'hui on a un championnat et des clubs qui se professionnalisent, avec des centres de formations, des coachs qui sont de plus en plus compétents. Et puis il y a eu les beaux résultats de l’équipe nationale ces dernières années : ça fait aussi augmenter le nombre de jeunes qui s’intéressent à ce sport, qui peuvent trouver des modèles dans les joueuses. Au sein même du championnat en France, il y a aussi un syndicat qui prend de l'ampleur, car les joueuses se rendent compte de l’importance de cette structure. C’est passé de 20% de joueuses syndiquées à plus de 50 %, et même si ce n’est toujours pas assez, on va dans la bonne direction. Vous écrivez :"après les Jeux de Pékin en 2008, il y a eu un changement de génération. J’ai saisi ma chance”. Racontez-nous vos débuts en Bleues… Au départ, j’ai commencé par des stages - je n’avais pas joué de matchs - avant les jeux de Pékin (2008, ndlr), c’était des débuts impressionnants. C’était l’Equipe de France, j’étais admirative depuis toujours. Ma chance a été que dans la sélection à ce moment-là, j’avais au moins 6 de mes coéquipières de club. Ça m’a aidée à me sentir plus à l’aise même si j’étais encore sur la réserve. Après ces Jeux, je suis directement rentrée dans le bain de la sélection nationale, parce qu’il se trouve qu’on était que deux gardiennes. J’ai eu ma chance et l’opportunité de m’exprimer sur le terrain. J’avais un peu de temps de jeu mais ça m’a permis de me confronter assez jeune au très haut niveau, et donc de progresser plus vite. Que représente l’Équipe de France pour vous ? Tout simplement le Graal, l’élite. Après beaucoup de sélections, on s'habitue un peu et on est moins impressionnée. Mais jeune, c’était vraiment pour moi le plus important, j'avais vraiment pour objectif de pouvoir gagner un titre avec les Bleues. Le titre de Championnes du Monde en 2017, ça a été une vraie première consécration. À quelques semaines de l’Euro féminin 2022, comment vous sentez-vous ? Aujourd’hui, c’est vrai que mon rapport à ces rassemblements et ces compétitions est complètement différent. D’abord parce que je suis mère de famille et donc c’est toujours plus dur de partir pour moi, et je le ressens même en club d’ailleurs. Comme on a une compétition tous les ans, on s’habitue un peu, ce n’est pas comme une Coupe du Monde de Football ou des Jeux Olympiques qui ont lieu tous les quatre ans et qui ont vraiment une part d’exceptionnel. Mais je pense que quand la préparation va vraiment débuter, on va pouvoir se donner des objectifs clairs. Quand j’y serais, je donnerai tout pour faire le meilleur résultat possible. Quitte à partir, je ne veux pas que ce soit pour rien. Je sais ce que je laisse à la maison. Aujourd'hui, Paris 2024 c'est ce qui me fait avancer. Vous parlez des JO comme un événement exceptionnel et vous avez déjà participé à plusieurs Olympiades. Paris 2024, c’est un rendez-vous spécial à vos yeux ? Il faut savoir qu’à la base, j'aime beaucoup les compétitions qui nous permettent de voyager. Un championnat du monde au Danemark ou au Brésil, ce n’est vraiment pas la même ambiance. Paris 2024, ce ne sera pas aussi dépaysant, mais ce sera quand même hyper particulier. Déjà c’est en France, donc ça serait une vraie chance de pouvoir y participer, si je suis sélectionnée bien sûr et que je suis en forme. .. Comme en plus on a gagné à Tokyo (en 2021, ndlr), on a une chance énorme de pouvoir prétendre à une seconde victoire. On a l’équipe pour le faire. Ces Jeux de Paris, c’est vraiment un rendez-vous qui n'arrive qu’une fois dans une vie. Aujourd’hui, c’est mon objectif à moyen terme et ce qui me fait avancer. FloraMetayer-Adidas Outre votre statut de championne de handball, vous êtes aussi une femme engagée. C’est important de faire entendre votre voix ? De prendre position ? Oui complètement. Quand on est jeune, on a moins l'occasion de prendre la parole publiquement. Et il y a tellement de choses à faire, et ce dans de très nombreux domaines… C’est important pour moi de pouvoir me servir de mon expérience et de ma petite notoriété pour porter des causes et faire bouger les lignes. Déjà dans mon sport, dans le handball, j’ai envie d’aider les jeunes générations à évoluer dans de meilleures conditions. Et si en dehors du hand, je peux mettre ma pierre à l’édifice pour construire un monde meilleur, je le fais sans hésiter. Quelles sont les grandes causes qui vous tiennent à cœur ? L'égalité femme/homme, c’est vraiment un sujet qui me porte. Ça me révolte de voir qu’il existe encore autant d’inégalités de genre, et ce, que ce soit dans le sport, mais plus globalement dans la société. Je trouve ça fou que les choses avancent si lentement, alors que le sujet est connu de tous et qu’on en parle beaucoup. C’est vraiment un combat qui me tient à coeur. Sinon je suis également très engagée sur la question de la maternité chez les sportives. Et de manière plus générale, sur la question de l'écologie. C’est également un combat qui me tient à coeur même si j’ai du mal à faire beaucoup de choses aujourd’hui. Mais plus tard, après ma carrière, c’est tout à fait un secteur pour lequel j’aimerais travailler. En 2019, vous avez ajouté une nouvelle casquette à toutes celles que nous avons citées précédemment : celle de maman. Qu’est-ce que la maternité a changé dans votre vie de sportive, sur le terrain et en dehors ? Ce qui a changé, c’est avant tout mon équilibre personnel. Dans ma vie privée, j’ai une vraie stabilité, je me sens bien dans ma vie. Je me sens aussi comme quelqu’un de"normal", en comparaison avec la vision qu’on peut avoir d’une vie d’athlète de haut niveau dans leur bulle. Que je sorte d’un match qui s’est bien ou mal passé, quand je rentre à la maison je dois de toute façon penser à autre chose et c’est vraiment agréable. Et aussi, même comme je l’évoquais, c’est parfois difficile de partir en compétition, en même temps je sais aussi pourquoi je le fais. Je suis plus claire avec mes objectifs et ce que je veux aujourd’hui. Comment gérez-vous la pression et le stress en compétition et au quotidien ? .