L' extraordinaire projet d' Airbus qui s' apprê te à concevoir une ferme solaire dans l' espace Haute-Garonne - Toulouse HEAD TOPICS
L' extraordinaire projet d' Airbus qui s' apprê te à concevoir une ferme solaire dans l' espace
16/10/2022 08:36:00 L' extraordinaire projet d' Airbus qui s' apprê te à concevoir une ferme solaire dans l' espace
Haute-Garonne Toulouse
La source La Dépêche 31
L'extraordinaire projet d'Airbus qui s'apprête à concevoir une ferme solaire dans l'espace Airbus, en partenariat avec l’agence spatiale européenne, pilote ce pharaonique projet de création d’une ferme solaire en orbite capable de fournir l’énergie d’une centrale nucléaire. Jean-Dominique Coste, ingénieur... l'essentielAirbus, en partenariat avec l’agence spatiale européenne, pilote ce pharaonique projet de création d’une ferme solaire en orbite capable de fournir l’énergie d’une centrale nucléaire. Jean-Dominique Coste, ingénieur responsable chez Airbus Blue Sky, un département chargé d’explorer des technologies futures à haut potentiel stratégique pour l’aérospatial, retrace la genèse du projet «Solar Power Beams ». Capter l’énergie du soleil depuis l’espace pour la renvoyer sous forme de micro-ondes et la transformer en électricité sur Terre. C’est le projet pharaonique, mais pas impossible à réaliser en l’état, lancé par Airbus qui, d’ici une vingtaine d’années, pense pouvoir déployer une ferme solaire en orbite (36 000 km au-dessus de la planète), un bouquet de panneaux photovoltaïques de 2 km2 capables de s’auto-déplier dans l’espace, aidés de robots pour l’entretien. Lire la suite:
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Zorro : Jean Dujardin devient le nouveau cavalier de la nuit dans une série pour France TélévisionsLe personnage masqué va de nouveau prendre vie, cette fois sous les traits du célèbre acteur français Ligue 1 - OM - Pablo Longoria veut recruter Jean-Pierre Papin comme conseiller stratégiqueLe président de l'Olympique de Marseille, Pablo Longoria voudrait recruter Jean-Pierre Papin comme conseiller stratégique du club, d'après l'Equipe. Top : PAP1 ! Reviens Jean Pierre on t'aime 🔵🙏 C’est bon ça Jean Dujardin va réaliser 'sa dernière envie de gosse' avec ce rôle mythiqueAprès « OSS 177 », « Lucky Luke » et « Brice de Nice », l’acteur français s’attaque au célèbre cavalier masqué créé en 1919 par l’auteur Johnston McCulley. J’avais lu « envie de grosse » et un poster copié sur Star Wars La Menace Fantôme avec Annakin , dos à sa maison, avec une ombre très Dark Vador !!! 😛 16/10/2022 à 07:01 l'essentiel Airbus, en partenariat avec l’agence spatiale européenne, pilote ce pharaonique projet de création d’une ferme solaire en orbite capable de fournir l’énergie d’une centrale nucléaire., Michel Blanc, ou encore Jacques Villeret.Au cinéma dès 1920 La nouvelle série est écrite par Benjamin Charbit, qui a participé au script de la série Les Sauvages et à ceux des films Bac Nord et Gagarine .October 14, 2022 Un héros « plus humain » Ainsi, le personnage imaginé par Johnston McCulley, en 1919, va de nouveau prendre vie. Jean-Dominique Coste, ingénieur responsable chez Airbus Blue Sky, un département chargé d’explorer des technologies futures à haut potentiel stratégique pour l’aérospatial, retrace la genèse du projet «Solar Power Beams ». Capter l’énergie du soleil depuis l’espace pour la renvoyer sous forme de micro-ondes et la transformer en électricité sur Terre. C'est Tatiana Vialle, la fille de cette dernière, qui raconte cette histoire dans son livre Belle-fille , paru en 2019. C’est le projet pharaonique, mais pas impossible à réaliser en l’état, lancé par Airbus qui, d’ici une vingtaine d’années, pense pouvoir déployer une ferme solaire en orbite (36 000 km au-dessus de la planète), un bouquet de panneaux photovoltaïques de 2 km2 capables de s’auto-déplier dans l’espace, aidés de robots pour l’entretien. Un"rêve de gosse" Alter ego de Don Diego de la Vega, issu de la petite noblesse espagnole, Zorro combat l’injustice en se dissimulant sous un masque, revêtu d'un costume et d'une cape noirs, dans la Haute-Californie du début du XIXe siècle, alors colonie espagnole. Alimenter ainsi des villes entières, l’industrie, voire les avions. Elle est aussi la mère de l'acteur Swann Arlaud. Pas une utopie sortie de l’imagination de Jules Verne, plutôt une sérieuse volonté de la part de l’avionneur européen, en partenariat avec l’agence spatiale européenne (Esa), de miser sur la transition écologique. Président du collectif 64, la société de production à l’origine de la photo dévoilée de Jean Dujardin, mais aussi frère de l’acteur, il dévoile « Ce sera très européen, très cape et épée. Et réduire la facture énergétique du consommateur. Un rôle qui a bouleversé la vie de Jean Carmet, comme Tatiana Vialle l'a raconté dans son ouvrage. Il est tout en noir, il a un masque. L’origine de Solar Power Beams « Chez Airbus, on est intéressé par la capabilité de transférer de l’énergie à longue distance, à travers l’air et l’espace. Il y a beaucoup d’applications de ce type, mais un en particulier qui permettra, à terme, d’obtenir de l’énergie verte 24 heures sur 24. Jean Carmet a été insulté et menacé . Contrairement à toutes les énergies renouvelables aujourd’hui, qui sont intermittentes, dépendantes du cycle de la météo, du jour et la nuit, etc.. C’est un concept qui existe depuis les années 1970, testé notamment par la Nasa, le ministère de la Défense américain, les Chinois. L'acteur a alors été gagné par la paranoïa. La plus connue, sans nul doute, étant celle de 1957 (terminée en 1961) avec Guy Williams comme acteur principal et le fameux générique « Un cavalier qui surgit hors de la nuit court vers l’aventure au galop ». Ce concept n’avait pas abouti car les coûts de développement et de déploiement étaient énormes. C’était lié au nombre de lanceurs.. Désormais, la dynamique a énormément changé, les coûts ont diminué avec les lanceurs réutilisables. Le sujet revient à la mode ». Transition énergétique « La production d’énergie dans l’espace revient à la mode. Il y a l’urgence climatique, l’urgence d’un accès indépendant à l’énergie. Avec Space X [créé par le milliardaire Elon Musk, NDLR], le coût des lanceurs est au plus bas et avec les avancées faites en matière de fabrication des structures dans l’espace. Sur les antennes, les systèmes de conversion d’énergie. Tout devient moins farfelu et beaucoup plus réaliste ». Un projet d’avenir pour Airbus « C’est une vision très intéressante développée chez Airbus. Mais avant d’y arriver, il faut trouver une voie commerciale et industrielle. Il y aura des retours à faire avant d’aboutir à cette grande vision. On étudie le transfert d’énergie par rayonnement pour alimenter des aéronefs, créer un réseau énergétique dans l’air. Depuis le sol ou l’espace, on pourra ainsi augmenter la portée d’un avion, réduire le poids des batteries, on travaille avec les acteurs majeurs de l’énergie pour éventuellement délocaliser ce réseau d’énergie dans l’espace, plutôt que d’avoir des câbles électriques, des pipelines, etc. L’idée serait d’envoyer les rayons du soleil sur des drones, des avions, là où on en a besoin. L’énergie à portée de main dans l’espace « Elle pourrait vendre de l’énergie aux satellites, car les panneaux solaires de satellite sont un gros boulet. Cela demande des tests très cher, c’est très fragile pour le déploiement. Juste fournir de l’énergie depuis l’espace, c’est génial. À terme, c’est d’arriver à fournir une énergie espace-sol, faire du giga watts comme les centrales nucléaires. La fabrication d’une ferme solaire « Les designs ne sont pas encore fixés, mais on cherche des structures souples, déployables facilement. La structure la plus connue, la station spatiale internationale (ISS), est faite de modules en dur. Les éléments principaux sont les panneaux solaires et l’antenne qui enverrait l’énergie par rayons. On imagine aussi faire de l’impression 3D dans l’espace avec de larges imprimantes. Une sorte de bras qui en tournant imprimerait l’antenne. Ce n’est pas de la science-fiction, mais bien des choses qui sont étudiées aujourd’hui. » Airbus et l'Agence spatiale européenne à la pointe dans le domaine L’agence spatiale européenne, partenaire du projet Solar Power Beam d’Airbus, proposera, lors d’une conférence ministérielle de novembre, « un programme de développement sur les fermes solaires spatiales », explique Jean-Dominique Coste. « Nous les aidons à développer ce programme sur le plan industriel chez Airbus, poursuit-il. D’autres industriels sont également sur le coup, mais pas au même niveau. Thalès propose des choses au niveau de l’assemblage dans l’espace, OHB (Allemand) a financé une étude. En toute honnêteté, Airbus est le plus avancé aujourd’hui. On a une vision générale : c’est utile pour l’espace, pour les avions et pour la planète ». Quels dangers d’un rayonnement qui traverserait l’atmosphère pour atteindre le sol, l’environnement ? « Dans notre démonstration, nous avons eu zéro pour cent d’absorption. Sur un système spatial, géostationnaire, on sait qu’on a 2 % d’absorption. Plusieurs paramètres sont à considérer : quelle puissance requise au sol, quelle est la longueur d’onde utilisée, la surface de l’antenne, en jouant sur tout cela on peut avoir un système plus ou moins dangereux. » Cet article est réservé aux abonnés Accédez immédiatement à cet article à partir de 1€/mois .