REPORTAGE Logement indigne 48 degr s l t des infiltrations l hiver le calvaire au quotidien d une famille pr s de Montpellier

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REPORTAGE Logement indigne 48 degré s l' é té des infiltrations l' hiver le calvaire au quotidien d' une famille prè s de Montpellier

15/10/2022 08:10:00

REPORTAGE Logement indigne 48 degré s l' é té des infiltrations l' hiver le calvaire au quotidien d' une famille…

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France 3 Occitanie

REPORTAGE. Logement indigne : 48 degrés l'été, des infiltrations l'hiver, le calvaire au quotidien d'une famille… Elisabeth vit à Saint-Aunès, près de Montpellier dans un logement social avec ses deux enfants, dont un handicapé. Un appartement sans isolation dans un immeuble à l'entretien douteux géré par Hérault Habitat. Impossible, malgré les six ventilateurs allumés en permanence dans les 63 m2 de leur appartement de de Saint-Aunès, près de Montpellier,  de faire baisser la température : 48 degrés au plus fort de la canicule.Pour tenter d'arrêter les rayons et la chaleur, elle a mis des rideaux occultants sur le balcon. Ce qui a déplu au maire qui a trouvé cela "inesthétique". "Il y a pire que vous madame"et donc dans une situation bien pire que la sienne."Mon fils et moi-même  avons du dormir tête bêche pour éviter les gouttes qui tombaient du plafond".Explosion de la note d'électricité Lire la suite:
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Les Vingt-Sept franchissent un pas vers le plafonnement des prix du gaz

Réunis à Bruxelles, les Vingt-Sept ont apporté leur soutien à l'ensemble des propositions de la Commission destinées à faire baisser la facture énergétique. Mais le mécanisme pour plafonner le prix du gaz destiné à produire de l'électricité divise toujours. Lire la suite >> Avis d'analystes du jour : Kering, Stellantis, Saint-Gobain, Hermès, ASML, Boohoo, Flatexdegiro, Rexel, Temenos...Chaque matin, retrouvez avant l'ouverture des marchés européens une sélection de recommandations d'analystes couvrant les principaux marchés du vieux continent. La liste comprend uniquement des... Saint-Merry : après la crise, une paroisse et une communauté qui s’ignorentDissous en février 2021 par Mgr Aupetit, le centre pastoral Saint-Merry poursuit ses activités « hors les murs », au risque de l’essoufflement. La paroisse, qui souhaite oublier la crise, a été confiée par le diocèse à la communauté de Sant’Egidio. Demandeurs d’asile : le squat Saint-Bazile devient résidenceUne convention d’occupation temporaire officialise l’occupation de l’immeuble appartenant à l’Établissement public foncier Paca. La quarantaine de demandeurs d’asile qui le gèrent y sera logée jusqu’au 31 mars 2023. À Saint-Denis, une marche féministe et antiraciste avec les « femmes des quartiers »Samedi 15 octobre, plusieurs collectifs se joindront à une marche dans les rues de Saint-Denis, pour montrer que les quartiers populaires ne sont pas « des déserts féministes ». Cette ini... CMurhula Hâte de voir le résultat... CMurhula Vous ne vivez pas dans ces quartiers .duperie CMurhula Arrêtez de faire semblant de vous interresser a des sujets différents: on sait que vous êtes une officine vous avez consacré 80% des vos moyens pour attaquer Sarkozy entre 2007 et 2016. Aujourdhui on sait que vous consacrez ces 80% a Wauquiez «Samy la Belette», l’escroc de l’affaire du Sentier, devenu marchand de sommeil à Saint-DenisSamy B. a été placé en garde à vue fin septembre pour avoir loué des appartements insalubres à des personnes vulnérables pendant près de qui Saint-Gaudens : 340 élèves évacués au lycée Casteret à la suite d'une odeur suspecteLes pompiers sont en intervention depuis 13h30 au lycée Élisabeth et Norbert-Casteret à Saint-Gaudens en Haute-Garonne. En cause, une odeur suspecte dans l'établissement, dont l'origine est, à ce stade, inconnue. "Maman, c'est quand les vacances ?" .Chaque matin, retrouvez avant l'ouverture des marchés européens une sélection de recommandations d'analystes couvrant les principaux marchés du vieux continent.De quel Saint-Merry parle-t-on ? Deux réalités ecclésiales portent le nom de ce moine abbé d’Autun venu à Paris au VIIe siècle.14/10/2022 07h22 Une expérience partenariale salutaire dans laquelle Just et l’AUP ont convaincu de s’embarquer la Fondation Abbé-Pierre, l’Habitat alternatif social, la Ville, la préfecture et l’EPF Paca. La question de Dylan, six ans, a fini de saper le moral de sa mère, Elisabeth Vinuales. Le petit garçon aux cheveux de jais et au regard perçant épuisé par des nuits sans sommeil à cause de la canicule, s'était endormi sur le canapé chez des amis, pendant l'été. Elle est susceptible d'être mise à jour au cours de la séance. Six ventilateurs Impossible, malgré les six ventilateurs allumés en permanence dans les 63 m2 de leur appartement de de Saint-Aunès, près de Montpellier,  de faire baisser la température : 48 degrés au plus fort de la canicule. À lire aussi La lettre de mission du cardinal Marty invitait le centre pastoral Saint-Merry à « inventer des modes nouveaux pour l’Église de demain » . "Mon fils est épuisé et moi aussi" , reconnaît la quadragénaire.. Pour tenter d'arrêter les rayons et la chaleur, elle a mis des rideaux occultants sur le balcon. Pour répondre au manque de places d’hébergement à Marseille, «  cette expérience très intéressante fait partie des solutions à soutenir. Ce qui a déplu au maire qui a trouvé cela "inesthétique". Ce qui a conduit l’archevêque de Paris à la dissolution du Centre pastoral des Halles-Beaubourg – intitulé officiel –, sans qu’il n’y ait eu de concertation. Pour tenter d'arrêter les rayons et la chaleur, elle a mis des rideaux occultants sur le balcon. Ce qui a déplu au maire qui a trouvé cela "inesthétique". • © J. Une charge paroissiale n’est pas une nouveauté pour Sant’Egidio , qui assure depuis plusieurs années l’animation de la paroisse Saint-Pierre de Charenton-le-Pont (Val-de-Marne). Sanna/ FTV "Il y a pire que vous madame" C'est à la même mairie, auprès de laquelle elle a adressé ses demandes pour changer de logement qu'on lui aurait répondu qu'il y avait des gens "qui dormaient dans leur voiture" et donc dans une situation bien pire que la sienne. À Marseille, quand on ouvre un lieu on n’en ferme pas un autre. Certes, la mère de famille qui élève seule ses deux enfants a un toit.  Mais il prend l'eau. « C’est ce que nous développons sur la paroisse maintenant, avec une action sociale auprès des sans-abri, et la prière en fin de journée, ouverte à tous », poursuit Valérie Régnier. Après  la chaleur étouffante en été, il y a les infiltrations à l'automne. Des traces et des auréoles s'étirent  sur le plafond de la salle de bains suite au dernières pluies. Elles ont fait gonfler le bois de la fenêtre. » À lire aussi À l’entendre, il n’y a plus guère de traces du conflit ecclésial : « Être au service des pauvres nous unit. Impossible de la fermer. Des auréoles sont apparues aussi au-dessus de son lit. "Mon fils et moi-même  avons du dormir tête bêche pour éviter les gouttes qui tombaient du plafond". Quelques-uns sont restés, tout comme une majorité de paroissiens, fidèles à leur clocher. Fille handicapée Elisabeth Vinuales habite ce logement social, un T3 avec deux chambres depuis huit ans. Elle y est entrée avec sa fille handicapée. Entre-temps, elle a eu un autre enfant qu'elle élève seule. À la recherche d’un lieu ouvert Chaque lundi, un petit groupe prépare le commentaire des textes du dimanche qui suit, comme avant, mais en visio. Depuis sa naissance, le petit garçon dort dans la chambre de sa mère. Et depuis quelques semaines, dans le même lit car que le sien est devenu trop petit. Explosion de la note d'électricité Début octobre, Elisabeth a rallumé le chauffage. « Ne pas pouvoir se rencontrer engendre un certain essoufflement, reconnaît Guy Aurenche. La secrétaire médicale, en plus des 150 euros prélevés chaque mois sur son compte a vu arriver deux nouvelles factures d'électricité. Plus de 500 et 800 euros à payer en plus. "Je ne sais pas comment je vais faire" , se désole Elisabeth, à bout de nerfs. L’absence de port d’attache n’a pas empêché de se saisir de la consultation pour le Synode sur la synodalité : « Nous sommes partis de notre expérience aussi bien sur la liturgie, la coresponsabilité, le dialogue avec la société, l’accueil des plus pauvres et des personnes blessées, confirme Guy Aurenche." Je n'en peux plus , soupire-t-elle.  Je redoute de rentrer chez moi le soir. Je ne peux inviter personne chez moi. » Des échanges seront possibles entre les divers groupes qui ont pu contribuer à la réflexion synodale. Ni mes amis, ni ceux de mes enfants. Elisabeth Vinuales   Je n'ai même plus envie d'entretenir" . Dans son garage qui prenait l'eau aussi, les agents d'Hérault habitat ont fini par venir colmater les brèches. " Les autres problèmes techniques sont en cours de règlement", assure-t-on du côté du bailleur social,  qui a répondu aux questions de France 3 Occitanie.  Avant de repartir de chez Elisabeth, près des plinthes, nous constatons que les prises électriques sortent du mur dans le couloir.   A côté, le vieux lino posé au sol a commencé à se détacher. "Tiens, ça c'est nouveau", .
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