D c s au CHU de Cotonou quatre personnes poursuivies pour homicide involontaire Afrique B nin

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Dé cè s au CHU de Cotonou quatre personnes poursuivies pour homicide involontaire

15/10/2022 02:17:00

Dé cè s au CHU de Cotonou quatre personnes poursuivies pour homicide involontaire

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Décès au CHU de Cotonou: quatre personnes poursuivies pour homicide involontaire Au Bénin , le parquet a décidé de poursuivre quatre personnes pour homicide involontaire dans l'affaire des quatre patients décédés le 7 octobre dernier au centre national hospitalier universitaire de… Le centre national hospitalier universitaire (CNHU) de Cotonou, le 31 décembre 2020.© Flickr CC BY NC ND 2.0 Présidence de la République du BéninTexte par :Suivre1 mnAu Bénin, le parquet a décidé de poursuivre quatre personnes pour homicide involontaire dans l'affaire des quatre patients décédés le 7 octobre dernier au centre national hospitalier universitaire de Cotonou. L’audience est programmée pour le 25 octobre prochain. Les enquêteurs ont présenté au parquet ce vendredi une vingtaine de personnes dont les familles des victimes. Les conclusions sont tombées en début de soirée. Lire la suite:
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La loi a été introduite par le gouvernement… La justice au défi de l’engrenage infernal qui a mené à l’assassinat de Samuel PatyLa justice au défi de l’engrenage infernal qui a mené à l’assassinat de Samuel Paty Bientôt deux ans après l’assassinat de l’enseignant par un islamiste de 18 ans, quatorze personnes, dont six mineurs au moment des faits, sont poursuivies. je sais pas si t'es au courant mais pour tuer quelqu'un ya pas besoin d'un couteau, si t'es assez rapide un bon coup sec sur la jugulaire et hop hemoragie cerebrale Bougez vous bordel😎😎😎 Bénin: les morts de patients au CNHU sont dus à un «dysfonctionnement» pour le gouvernementSuite de l’affaire des quatre décès survenus au centre hospitalier universitaire de Cotonou vendredi. Première réaction du gouvernement après le conseil des ministres ce mercredi. Quatre personnes sont… Cancer du sein : avec l'onco-coiffure, Laetitia aide les femmes à s'accepterMarquée par le décès de sa belle-mère il y a dix ans, Laetitia Marie est devenue onco-coiffeuse depuis un an, afin d’accompagner les personnes touchées par un cancer. Publié le : Le centre national hospitalier universitaire (CNHU) de Cotonou, le 31 décembre 2020.Publié le : Le centre national hospitalier universitaire (CNHU) de Cotonou, le 31 décembre 2020.Suivre 1 mn Les députés ont voté ce mardi 11 octobre une loi qui retire totalement le droit de grève aux travailleurs des secteurs aéroportuaires et des hydrocarbures.Le 6 octobre 2020, Samuel Paty , 47 ans, donnait un cours sur la liberté d’expression à ses élèves de quatrième du collège du Bois d’Aulne, à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines). © Flickr CC BY NC ND 2.0 Présidence de la République du Bénin Texte par : Suivre 1 mn Au Bénin, le parquet a décidé de poursuivre quatre personnes pour homicide involontaire dans l'affaire des quatre patients décédés le 7 octobre dernier au centre national hospitalier universitaire de Cotonou.0 Présidence de la République du Bénin Texte par : Suivre 2 mn Suite de l’affaire des quatre décès survenus au centre hospitalier universitaire de Cotonou vendredi. L’audience est programmée pour le 25 octobre prochain. Publicité Avec notre correspondant à Cotonou, Jean-Luc Aplogan loi qui supprime le droit de grève aux travailleurs des secteurs aéroportuaires et des hydrocarbures. Les enquêteurs ont présenté au parquet ce vendredi une vingtaine de personnes dont les familles des victimes. Quatre personnes sont en garde à vue depuis lundi. Les conclusions sont tombées en début de soirée. Pour l’heure, quatorze personnes, dont six mineurs au moment des faits, sont poursuivies, et leur profil détaille l’engrenage infernal qui, en dix jours, a mené à l’assassinat d’un enseignant apprécié et respecté de tous par un islamiste de… Cet article est réservé aux abonnés. Publicité Avec notre correspondant à Cotonou, Jean-Luc Aplogan Les quatre personnes qui seront jugées sont les quatre gardés à vue dès les premiers jours de l’enquête. Publicité Avec notre correspondant à Cotonou, Jean-Luc Aplogan Les proches des victimes ont pointé du doigt une coupure d’électricité avant le décès des patients. Jean Assagbè, secrétaire de la Fédération des transports aériens, terrestres, maritimes et assimilés ne cache pas son « grand désarroi. Tous sont placés en détention provisoire à la prison civile de Cotonou. Il s’agit du chef de la division électricité du CNHU, l'un de ses collaborateurs et de deux électriciens de la société en charge bon fonctionnement du générateur d’oxygène du service de réanimation. Pour lui, il s’agit probablement d’un dysfonctionnement. L’infraction retenue est l’« homicide involontaire », le directeur général de l’hôpital n’est pas poursuivi, pas de charge non plus contre le corps médical. Ce sont les techniciens qui paient, relève un observateur après les orientations du parquet. Quatre morts, c’est beaucoup. Selon des indiscrétions, devant le procureur entouré de deux substituts, les avocats ont fait des observations et déclaré qu’il n’y a aucune faute pénale mais plutôt un « » . Le patron de la société qui s’occupe du générateur d’oxygène a défendu ses deux électriciens poursuivis. D’autant plus que le gouvernement a mis à la disposition du CNHU des groupes électrogènes de grande capacité, à l’état neuf , explique le porte-parole. Pour lui, ils nont pas commis de faute. L’audience s’ouvre dans une dizaine de jours, le 25 octobre prochain, et sera publique. Parmi ces groupes, il y en a un qui est dédié spécialement au service de réanimation. Newsletter .
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