Tara Oc an retracez l incroyable odyss e de la mission Microbiomes

Tara Oc an retracez l incroyable odyss e de la mission Microbiomes

Tara Océ an retracez l' incroyable odyssé e de la « mission Microbiomes» HEAD TOPICS

Tara Océ an retracez l' incroyable odyssé e de la « mission Microbiomes»

14/10/2022 18:03:00

Tara Océ an retracez l' incroyable odyssé e de la « mission Microbiomes» La goé lette scientifique atteint ce samedi son port d attache de Lorient aprè s deux ans de pé riple dans l hé misphè re sud

La source

Le Figaro

Tara Océan: retracez l'incroyable odyssée de la «mission Microbiomes» La goélette scientifique atteint ce samedi son port d’attache de Lorient, après deux ans de périple dans l’hémisphère sud. La goélette scientifique atteint samedi son port d’attache de Lorient, après deux ans de périple dans l’hémisphère sud. Dans le sillage des explorateurs des siècles derniers, retour sur un voyage au nom de la recherche scientifique auquel Le Figaro Magazine a pu participer lors d’une expédition en Antarctique. Cette eau douce va modifier localement la température et la salinitéDeuxième étape : les côtes brésiliennes.Après quatre mois au Chili, Tara a étudié les côtes brésiliennes entre septembre et novembre 2021 et réalisé cinq escales de sensibilisation. Entre septembre et novembre 2021, la goélette va réaliser plusieurs escales sur ces côtes brésiliennes particulièrement connues pour abriter de forts courants océaniques. Le cœur de cette mission ? Mieux comprendre comment l’Amazone, le plus grand fleuve de la planète qui déverse chaque seconde quelque 200 millions de litres d’eau douce dans l’Atlantique, influe sur les cycles biogéochimiques mondiaux. Lire la suite:
Le Figaro » Dans l'Indre, des agriculteurs se lancent dans la production de biogaz Moment rarissime dans l'histoire des naissances : un bébé né dans son sac amniotique Drame dans le Nord : un enfant de 9 ans tué dans un accident avec un tracteur Les internes en médecine dans la rue pour ne pas être envoyés dans les déserts médicaux

Gaël Giraud « Il y a urgence à quitter le monde du mâle blanc urbain et privilégié »

La théologie peut-elle sauver une planète mal en point et une humanité en sursis ? Éléments de réponse avec l’économiste et prêtre jésuite Gaël Giraud. Lire la suite >> Dans l'Indre, des agriculteurs se lancent dans la production de biogazINDRE. Grâce à la construction d'un mega-méthaniseur, la nouvelle société Alliance Berry Energie Verte (SAS) mise à la fois sur la diversification des revenus des agriculteurs grâce à la production de gaz, et sur un traitement des déchets plus vertueux pour l’environnement. Moment rarissime dans l'histoire des naissances : un bébé né dans son sac amniotiqueLe 10 octobre dernier au Brésil, une maman a donné naissance à des jumelles. L'une de ses filles est née dans son sac amniotique, un phénomène... Drame dans le Nord : un enfant de 9 ans tué dans un accident avec un tracteurTerrible drame à Hondeghem, petite commune située dans le Nord. Jeudi 13 octobre 2022, un enfant de 9 ans qui circulait à vélo a été tué dans un accident avec un tracteur. Les internes en médecine dans la rue pour ne pas être envoyés dans les déserts médicauxDes syndicats d’internes en médecine ont lancé un appel à la grève ce vendredi contre l’allongement d’un an des études des généralistes. Le gouvernement souhaite les orienter vers les déserts médicaux. Bonjour , non, c’est faux. Faux, biaisé et réducteur. Faudrait revoir votre copie bande de stagiaires. Mdr, alors c’est pas tout à fait ça mais bon c’est pas grave on a l’habitude des inexactitudes avec vous 😭 Ah donc le serment d'hippocrate deviendrait il celui d'hypocrite Seul un gros tiers des véhicules volés sont retrouvés, selon les assureursSeul un gros tiers des véhicules volés sont retrouvés, selon les assureurs Un véhicule sur cinq est volé dans les Bouches-du-Rhône, Paris ou dans le Nord. Sauf quand c'est Les assurances qui volent La phénoménale robe pieuvre de Lizzo, tentaculaire et sur-mesureLa chanteuse américaine s'est illustrée dans une robe tentacules signée Terrence Zhou, dans les pages du magazine Vanity Fair. » commence avec une expédition dans les canaux de Patagonie.Trois immenses cuves d'environ 50 mètres constitueront le point central du futur méthaniseur géant, dont la construction vient de démarrer sur une parcelle de huit hectares à Luçay-Le-Mâle, petite commune de l'Indre proche de Valençay.encore dans son sac amniotique .Selectionnez une région ou recherchez une ville fermer fermer Aïe vous avez refusé les cookies 🙁. Tara se rend alors au pied de la troisième plus grande calotte glaciaire de la planète (après l’Antarctique et le Groenland) : à Campo de Hielo Sur, qui recouvre de glace la partie méridionale de la cordillère des Andes. 3ème plus grande source naturelle d’eau douce de la planète, cette calotte n’est pas immunisée contre l’accélération du réchauffement climatique. Prévu pour durer 18 mois, le chantier doit être livré en principe en avril 2024. En fondant plus vite, elle augmente donc la quantité d’eau douce qui est déversée d’abord dans les canaux de Patagonie puis, par extension, dans l’océan Pacifique. En effet, la membrane remplie de liquide se rompt généralement lorsque la mère est sur le point d'accoucher, c'est ce que l'on appelle la . Les scientifiques prélèvent des échantillons d'eau des glaciers jusqu'à l'océan pacifique pour comprendre l'influence de la fonte de ces derniers sur l'écosystème marin. D'une part, le méthaniseur sera en capacité de produire du biogaz ainsi que du digestat, servant à fabriquer les engrais. Cette eau douce va modifier localement la température et la salinité de l’océan et va donc, de facto, modifier la vie du microbiome : ces micro-organismes qui sont à la base de toute la chaîne trophique du milieu marin.fr, vous pouvez 👍. Si l’équilibre fragile sur lequel repose ce peuple invisible à l’œil nu venait à être perturbé, c’est toute la faune marine qui serait mise en danger… Si le plancton disparaît, la base de l’échelle alimentaire sur laquelle on trouve les manchots et les baleines s’effondre. Signe que le dispositif constitue un projet structurant et stratégique pour la profession agricole dans l'Indre, l'ABEV a prévu d'investir au total 23 millions d'euros. Parce qu'avant que nous crevions le sac, le bébé dormait là, sans avoir besoin de respirer, recevant tout ce dont il avait besoin par le cordon ombilical. Et, par effet domino, l’une des principales réserves de nourriture de l’humanité serait en péril. Deuxième étape : les côtes brésiliennes. Il s'agit en premier lieu du bureau d'études nantais S3A qui a conçu et assurera la maîtrise d'ouvrage de la future unité de méthanisation. Près d’un an après son départ de Lorient, Tara arrive devant les côtes brésiliennes." Pour le personnel médical, ces accouchements sont d'autant plus à risques. Deux mois d’escales techniques en Martinique ont été nécessaires pour affiner les protocoles scientifiques afin de garantir le bon déroulé des missions à venir. Du côté des collectivités et des institutionnels, la communauté de communes Ecueillé-Valençay, mais aussi l'Agence de développement de la transition énergétique (ADEME) ainsi que la région Centre-Val de Loire, ont apporté leur soutien au projet. En cliquant sur « Consulter », vous acceptez le dépôt de cookies par des services de vidéos en ligne tel que YouTube, Dailymotion. Après quatre mois au Chili, Tara a étudié les côtes brésiliennes entre septembre et novembre 2021 et réalisé cinq escales de sensibilisation. Car à bord du bateau Tara , c’est un ballet permanent entre deux mondes diamétralement opposés qui se déroule chaque jour sur le pont. Diversification des revenus agricoles « Le méthaniseur devrait commencer à produire du biogaz et du digestat à partir de 2024, assure Daniel Rabier, président de l'ABEV Le premier sera injecté dans GRT Gaz, le réseau de transport du gaz naturel. Naiara Santos et ses filles sont restées à l'hôpital depuis leurs naissances mais devaient bientôt rentrer chez elles. Une danse permanente entre l’art subtil de la navigation et celui de la recherche scientifique; deux univers régis par des règles strictes et des processus méticuleux et assujettis aux caprices de l’environnement et de la météo. Entre septembre et novembre 2021, la goélette va réaliser plusieurs escales sur ces côtes brésiliennes particulièrement connues pour abriter de forts courants océaniques. Grâce au digestat, matière organique issue parallèlement de la méthanisation et entrant dans la composition des engrais, le groupement d'agriculteurs compte par ailleurs réaliser des économies substantielles. Le cœur de cette mission ? Mieux comprendre comment l’Amazone, le plus grand fleuve de la planète qui déverse chaque seconde quelque 200 millions de litres d’eau douce dans l’Atlantique, influe sur les cycles biogéochimiques mondiaux. "Pour faire court, je n'ai jamais perdu les eaux, a confié la jeune maman au Liverpool Echo. Consulter. Au Brésil, la goélette a fait escale à Belèm, avant Salvador de Bahia, Rio de Janeiro, Santos, et Itajaí, afin de comprendre l’impact que ces villes peuvent avoir sur la pollution plastique. L'aspect environnemental figure quant à lui à trois niveaux dans le projet. Troisième étape : l’Antarctique La mer de Weddell est un milieu unique au monde, aucun écosystème ne lui est analogue. De tous les segments de la mission « Microbiomes », c’est de loin le plus emblématique.000 et 100. C'était comme s'il était né dans un ballon d'eau. D’abord parce qu’il signe le grand retour de Tara en Antarctique, et puis parce que la mer de Weddell et la péninsule du continent blanc forment l’un des endroits les plus magiques de notre planète. « L’Antarctique, c’est la cime des Alpes en hiver posée sur l’océan », écrivait-on dans les pages du qui relatait le récit de ces cinq semaines à étudier l’effet des icebergs sur la mer de Weddell. Ces matières sont actuellement peu ou pas transformées. « Des éperons rocheux himalayens surgissant dans le creux de vagues féroces. C'est quelque chose de très singulier. Des cascades de sable volcanique noir de jais plongeant dans une mer saphir saupoudrée de neiges éternelles. La production de biogaz permettra en second lieu d'apporter au réseau l'équivalent de 15. Des paysages irréels baignés dans des lueurs chimériques envoutant l’âme de tous ceux ayant la chance de se frayer un chemin dans ces contrées inhabitées. » «Du sable volcanique noir de jais, une mer saphir et des neiges éternelles», écrit Vincent Jolly dans son reportage pour le Figaro Magazine. Une démarche de substitution largement encouragée par le gouvernement. Isabella est en effet née encore dans son sac amniotique © Pexel 4/6 - Un bébé rarissime Connu sous le nom de naissance en caul ou bébé coiffé (parfois sirène), ce phénomène se produit dans moins d'un accouchement sur 80. L’expédition commence à King George Island, que nous avions rejoint par les airs depuis Punta Arenas au Chili. À ce moment, le Covid-19 paralyse encore une majeure partie des pays du globe et un protocole sanitaire chilien empêche l’un des scientifiques d’embarquer sur son vol depuis Madrid. Enfin, l'équipement futur de panneaux photovoltaïques sur les bâtiments de stockage permettra à l'unité d'auto-consommer sa propre production électrique. Problème : il est le seul à savoir opérer l’un des instruments nécessaires à la bonne réalisation de la mission. Dans l’urgence, un autre scientifique est mobilisé depuis Montréal et parvient à nous rejoindre dans un délai assez court pour ne pas remettre en cause le programme scientifique des cinq semaines à venir. A terme, l'unité emploiera quatre salariés pour l'exploitation et l'entretien. Comme pour les glaciers de Patagonie, l’un des buts de l’expédition en mer de Weddell consiste à étudier l’effet de la fonte des icebergs – de l’eau douce – sur l’océan austral. Et de voir comment, et pourquoi, les capacités de séquestration en carbone de cette pompe naturelle à CO2 pourraient être affectées. Sa situation géographique sur l'axe Châteauroux dans l'Indre et Blois dans le Loire-et-Cher, à proximité des principaux nœuds routiers, a ainsi été volontairement choisie. Un premier iceberg, baptisé Ibeji, est d’abord repéré par satellite mais un autre sera finalement choisi par les scientifiques et les marins. Là encore, il s’agit de trouver un candidat assez intéressant pour la recherche mais également situé dans une zone qui ne présente pas, ou peu, de risques pour la navigation. « D'autres constructeurs suivront ce mouvement à plus ou moins brèves échéance ». Des manchots papous sur l'arête d'un iceberg. Quatrième étape : les côtes africaines Le 31 mai 1836, le HMS Beagle atteint le cap de Bonne Espérance. Guillaume Fischer, à Tours 13 Oct 2022, 7:41 Partager : Rédiger un commentaire. 185 ans plus tard, le 22 avril 2022, les deux mâts de la goélette Tara sont eux aussi surplombés par la montagne de la Table qui domine Cape Town. Durant 5 mois, Tara est passée par 7 pays africains où elle fera différentes escales dont Cape Town en Afrique du sud. Après 53.000 kilomètres parcourus depuis son départ de Lorient, le navire peut entamer la dernière grande étape de sa mission « Microbiomes » : l’étude des côtes occidentales du continent africain. Les différents programmes scientifiques embarqués emmèneront l’équipage de Tara dans sept pays côtiers dont l’Afrique du sud, la Namibie et le Sénégal. L’un des points d’étude de cette grande étape africaine : les « upwelling », à savoir le phénomène des courants d’eaux froides remontant des profondeurs vers la surface. L’un de ces « upwelling » étudiés sera celui du courant de Benguela, qui trouve son origine dans les eaux de l'Antarctique et remonte vers l’équateur par l’Afrique du sud, la Namibie et l’Angola. Le but ? Étudier et analyser le comportement des micro-organismes lorsque le taux d’oxygène décroit et vérifier si, en conséquence, les phytoplanctons meurent lors de cet « upwelling ». Des cachalots au large des côtes de la Namibie. Malgré une remontée du fleuve Congo prévue puis avortée à cause du manque de coopération des autorités congolaises, le reste du programme scientifique prévu sur cette quatrième étape est complété dans les temps. Les raisons de cet imprévu ? Selon Jeune Afrique, le gouvernement a exigé un permis de naviguer pour la modique somme de 30. 000 euros pour de simples prélèvements afin d’étudier, notamment, la pollution en microplastique. Mais rien d’étonnant venant d’un gouvernement dont l’un des membres a récemment déclaré « notre priorité n’est pas de sauver la planète. » Une déconvenue qui n’entache en rien le bilan exceptionnel de la mission « Microbiomes » qui a changé son fusil d’épaule en allant étudier le panache du fleuve au large des côtes, en dehors de la ZEE de la RDC. En arrivant ce 15 octobre à Lorient après quasiment deux ans de mission à travers le monde, la goélette Tara marque la fin de son douzième voyage scientifique. Des milliers d’échantillons sont à analyser et ne dévoileront leurs secrets que dans quelques années. Crédits .
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