Il n y a pas de superprofits pour les banques

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« Il n' y a pas de superprofits pour les banques »

13/10/2022 09:10:00

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Les Echos

« Il n'y a pas de superprofits pour les banques » Pour Laurent Mignon, le président du directoire de BPCE qui préside cette année la Fédération bancaire française, on change de paradigme après 30 ans de baisse des taux. Mais si cette nouvelle ère va soutenir l'activité des banques, elle comporte aussi son lot de défis. s'adresse à l'ensemble des banques européennes. Ce que nous constatons en France, c'est que le risque avéré reste faible, et même historiquement bas depuis la crise Covid. Tout le monde s'attend à une baisse de l'activité économique et à ce que le risque devienne plus élevé compte tenu de l'inflation et de ses effets sur les entreprises. Les banques françaises sont prudentes et ont les moyens de faire face à un ralentissement de la croissance. Elles l'ont anticipé notamment par le biais des provisions prospectives. Lire la suite:
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Alexandre Counis Publié le 13 oct.m.Je profite de l’offre Au lieu d’encombrer votre domicile (et la planète) avec un chargeur supplémentaire pour chaque nouvel appareil que vous achetez, le chargeur rapide Anker Nano II a à lui seul la puissance requise pour charger la majorité de vos appareils personnels que ce soit votre smartphone, votre smartwatch, vos écouteurs ou même votre laptop ! En remplaçant le silicium par du nitrure de gallium (GaN), Anker a réduit la taille de ses chargeurs rapide sans compromettre la puissance.Pénurie de carburant : vers une sortie de crise grâce à l'ouverture d'un pipeline ? Deux dispositions accompagnées d'une hausse considérable du volume des importations françaises de carburants raffinés. 2022 à 8:00 Le superviseur bancaire de la zone euro, Andrea Enria, estime que les banques sont trop optimistes. Que lui répondez-vous ? Le message du superviseur s'adresse à l'ensemble des banques européennes. La cité émergée sous les eaux attirent chaque années des millions de visiteurs et les couples sont souvent légions à venir visiter les plus beaux monuments de la ville, à commencer par la place Saint-Marc et deux stars françaises ont la chance d'y être en ce moment,. Ce que nous constatons en France, c'est que le risque avéré reste faible, et même historiquement bas depuis la crise Covid. Compatibilité universelle Ordinateurs portables et tablettes : MacBook Air 2020, MacBook Pro 13″, Dell XPS 13 9360/9380, ThinkPad E490, HP Spectre Folio, ThinkPad X390, Google Pixelbook, Microsoft Surface Book 2, et iPad 2018 et versions ultérieures. Tout le monde s'attend à une baisse de l'activité économique et à ce que le risque devienne plus élevé compte tenu de l'inflation et de ses effets sur les entreprises. Les banques françaises sont prudentes et ont les moyens de faire face à un ralentissement de la croissance. :"Actuellement en France plus de 50% de la consommation provient des importations", explique l'économiste Philippe Crevel. Elles l'ont anticipé notamment par le biais des provisions prospectives. Profitez du chargeur Anker Nano II. Quel serait le plus grand risque à vos yeux ? Beaucoup de phénomènes se mêlent. Certains sont sous-jacents et structurels, et sont générateurs d'inflation à long terme comme la nécessaire décarbonation de l'économie. Ce phénomène-là était préexistant même si son acuité est beaucoup plus forte aujourd'hui. Plus récemment sont apparues des tensions entre blocs économiques et politiques. C'est d'ailleurs un peu paradoxal : dans cette phase où l'on connaît des phénomènes qui touchent toute la planète, le multilatéralisme est en train de se déchirer. Dans ce contexte, la hausse des taux marque aussi une rupture forte… Après 30 ans de baisse des taux, on change de paradigme . On revient dans un contexte de taux positifs sur le long terme. C'est positif pour les métiers de la finance, car cela rétablit une hiérarchie du risque. En revanche, ce qui est dangereux, ce sont les périodes de ruptures. Or la hausse des taux est brutale et provoque des déséquilibres. Une économie peut très bien vivre avec des taux d'intérêt à 2 % ou 3 %, une fois que les acteurs économiques se seront adaptés au nouveau contexte. Après 30 ans de baisse des taux, on change de paradigme. On revient dans un contexte de taux positifs sur le long terme. La hausse est trop brutale pour les banques ? Cette hausse rapide se traduit par des tensions, car certains actifs - les obligations, les actions - valent moins cher, mais ils sont finalement assez peu portés au bilan des banques. Elles font surtout du crédit aux entreprises et aux ménages. Le principal danger serait l'augmentation du coût du risque, mais les établissements ont anticipé en provisionnant, et ils ont des niveaux de fonds propres et de liquidités très élevés. Les banques françaises sont solides. Bien sûr, notre système bancaire peut subir l'impact d'une crise économique, mais il ne peut pas aujourd'hui être à l'origine d'une crise économique. D'autres services financiers peuvent-ils être plus en danger ? La gestion d'actifs est un métier difficile parce que la base de facturation baisse mécaniquement avec la baisse des marchés et des actifs sous gestion, que ce soient les actions ou les obligations. Il faut adapter son modèle à cela. Mais dans la gestion d'actifs, implicitement, le risque est surtout que les clients voient leurs performances baisser à court terme. Les gestionnaires d'actifs vont voir leur rentabilité diminuer, mais ils ne sont pas en risque eux-mêmes, sauf ceux dont les stratégies d'investissement portent sur des effets de levier élevés. Dans ce contexte tendu, certains comparent Credit Suisse à Lehman Brothers… On aime bien refaire les guerres du passé, mais la situation n'est pas la même . L'ensemble des acteurs bancaires européens ont des niveaux de fonds propres et de liquidités élevés. Je crois que Credit Suisse, en rachetant une partie de sa dette, l'a démontré. Il peut y avoir des risques liés au modèle de l'un ou l'autre, mais je ne pense pas qu'il s'agisse de risques systémiques tels qu'observés en 2008-2009. Il y avait alors une diffusion d'actifs à risque dans l'ensemble du système financier. Les emprunteurs considèrent parfois le crédit comme un droit. Ont-ils raison ? Le fait d'avoir accès au crédit, quand on en a la capacité, c'est très important. En France, on a un système bancaire qui est très présent dans l'accompagnement des ménages et dans l'accès à la propriété. Le crédit immobilier est distribué de façon fluide, essentiellement à taux fixe, ce qui est très protecteur dans la phase de hausse des taux. Il est fondé à la fois sur la capacité de remboursement par les revenus et sur un dispositif de cautions qui fonctionne bien. Les taux ont certes augmenté mais restent les plus bas d'Europe. La qualité de ce crédit est donc très bonne et l'engagement des banques reste fort. Cela étant, il peut y avoir un débat sur le prix de l'immobilier, qui va s'adapter à la capacité d'emprunt des ménages. Cela devrait prendre 6 à 12 mois pour que l'offre et la demande s'adaptent. Faut-il changer la méthode de calcul du taux d'usure ? Le taux d'usure a une double vocation. Il vient tout d'abord éviter que des acteurs économiques chargent aux clients un taux trop élevé. Mais il doit aussi se traduire par le fait de donner accès au crédit au plus grand nombre. Son mécanisme fonctionne relativement bien, mais on est dans une phase de rupture avec des évolutions rapides. Donc, il ne faut pas que le calcul soit trop décalé dans le temps. Il faut que le taux d'usure reflète la réalité du marché . Est-ce pour cela que le secteur demande à baser ce calcul sur les offres de crédit et non sur les signatures de prêts ? Nous ne demandons rien. On pose la question : « y a-t-il ou non un phénomène d'exclusion ? ». Il y a eu des tensions à un moment, mais je pense qu'avec la récente hausse du taux, elles se sont apaisées. Dans les mois à venir, le mécanisme classique va continuer à fonctionner. L'enjeu est de se rapprocher le plus possible de la réalité du terrain. Le dialogue avec la Banque de France est clair car tout le monde est conscient des enjeux. La hausse récente , et celle qu'on peut attendre en janvier, font que le phénomène de retard devrait s'atténuer. La hausse récente du taux d'usure, et celle qu'on peut attendre en janvier, font que le phénomène de retard devrait s'atténuer. Les pouvoirs publics envisagent de rendre les intérêts d'emprunt déductibles si des travaux énergétiques sont menés. Est-ce une bonne idée ? La question qui se pose c'est comment faire pour accélérer sur la transition énergétique en préservant le pouvoir d'achat des Français. De ce point de vue, une mesure qui permet de déduire les intérêts , si elle est finançable par l'Etat, est bienvenue. Quant à l'efficacité énergétique, on parle probablement de l'enjeu numéro 1 des années à venir. Il s'agit d'accompagner la décarbonisation de l'économie. Les banques françaises sont parmi les plus allantes en cela : elles ont pris l'engagement de sortir du charbon dès 2015. Il ne représente plus que 2 milliards d'euros de financements dans le bilan des banques, à peine 0,16 % de leurs engagements. Dans le même temps, les engagements en faveur des énergies renouvelables, c'est 44 milliards d'euros. Désormais, le rôle du secteur est aussi d'accompagner ses clients particuliers et les TPE et PME qui ont moins de moyens que les grandes entreprises pour réaliser leur bilan carbone et engager leur transition énergétique. Le Livret A devrait voir son taux de rémunération passer de 2 % à plus de 3 % l'an prochain. Quel sera l'impact sur les banques ? Cela pèse sur le coût de refinancement des banques. Mais il faut là aussi regarder ce sujet sous l'angle du pouvoir d'achat. En année pleine, nous estimons que le passage de 0,5 % à 2 %, qui a eu lieu cette année, représente 8,4 milliards d'euros redistribués aux particuliers. Ce coût repose en majorité sur le logement social, via la Caisse des Dépôts, mais aussi entre 40 % et 50 % sur les banques. Retrouver une économie avec des taux d'intérêt positifs, sur le long terme c'est une bonne chose. Ce qui est compliqué, c'est le passage de l'un à l'autre. Au départ, c'est plus une charge qu'un gain, car deux phénomènes interviennent : d'un côté, le stock de prêts à taux fixe ne change pas, seuls les prêts nouveaux sont à taux plus élevés. De l'autre, le coût de la ressource augmente. Et dans le cas du Livret A, l'effet est immédiat pour tout l'encours. En fonction de la structure de bilan des banques, la hausse des taux sera ainsi plus ou moins favorable dans un premier temps. En année pleine, nous estimons que le passage du taux du Livret A de 0,5 % à 2 %, qui a eu lieu cette année, représente 8,4 milliards d'euros redistribués aux particuliers. Il n'y a donc pas de « superprofits » pour les banques ? Non. En premier lieu, la hausse des taux ne se traduit pas par une hausse mécanique des revenus. Ensuite, elle ne va pas non plus se traduire par une baisse du coût du risque. Donc, il n'y a pas de superprofits. En avez-vous fini avec l'alimentation du filet de sauvetage des banques européennes, le fonds de résolution unique (FRU) ? Les banques françaises ont contribué à hauteur d'un tiers à ce fonds, censé couvrir 1 % des dépôts bancaires en Europe. C'est très élevé par rapport à leur poids relatif. Le fonds devait initialement représenter 55 milliards d'euros, il dépassera finalement 80 milliards . Ce qui est prévu, c'est qu'il soit totalement alimenté l'an prochain. La question, c'est de savoir ce qu'il pourrait arriver en cas de hausse des dépôts. Pour nous, le calcul doit s'arrêter sur le montant des dépôts en 2023. A ce stade, nous avons besoin de clarifications sur ce thème, mais c'est plutôt un sujet pour l'an prochain. En France, les pouvoirs publics ont décidé d'une hausse du « coussin contracyclique ». Est-ce une bonne idée ? Le moment n'est probablement pas le bon. Ce coussin doit normalement aider à faire face à un retournement de l'économie. Or, c'est au moment où l'économie ralentit que cette décision est prise. Aujourd'hui, on a un système bancaire qui doit permettre de continuer à accompagner l'économie française dans la période qui s'annonce. Ce n'est pas en lui demandant de renforcer ses fonds propres que cela permettra de le faire. Outre-Manche, il existe des tentations de déréguler la finance, notamment en supprimant le plafond des bonus. L'Europe doit-elle réagir ? Le Royaume-Uni est conscient du poids de la City dans son économie, c'est logique. Depuis le Brexit, les banques basées à Londres souhaitant couvrir le marché européen se sont déplacées sur le Continent, et les projets de dérégulation n'y changent rien. En revanche, à l'échelle mondiale, ces mesures visent à permettre à Londres de rester une place attractive. Le débat sur les bonus n'est pas le débat du moment. Les enjeux sont ailleurs, en particulier dans la transposition de Bâle : des mesures prévoient une période transitoire qui nous paraît bienvenue. En revanche, le sujet de la prolongation de ces dispositifs nous paraît plus importante que celle des bonus. Que pensez-vous du projet de monnaie numérique de banque centrale de la BCE ? Que la banque centrale ait envie de creuser un sujet innovant, je le comprends, c'est son rôle. Mais il faut se demander quelle serait l'utilité d'une monnaie digitale de banque centrale pour les clients. C'est vrai que le cash est moins utilisé qu'auparavant, donc l'idée d'une monnaie digitale peut se comprendre. Mais quand on y réfléchit, on ne voit pas de cas d'usage évident. C'est d'ailleurs la réponse qu'a donnée cet été la Banque du Japon, qui a elle-même jeté l'éponge. Aujourd'hui, les acteurs économiques trouvent dans la monnaie des banques commerciales tout ce qu'il leur faut pour répondre à leurs besoins. Dans le même temps, le développement des cryptomonnaies comme moyen de paiement reste extrêmement marginal. Lancer une telle monnaie pourrait-il déstabiliser le système bancaire ? En tout cas le faire, c'est en prendre le risque. Car vous créez potentiellement une monnaie concurrente à la monnaie commerciale qui est sûre, fonctionne bien, et apporte le service. Si ce n'est pas pour un service supérieur, à quoi cela sert-il ? Un des risques serait que la monnaie actuellement en dépôt chez nous passe à la BCE : cet argent disponible pour être réinjecté dans l'économie pourrait ne plus l'être, en tout cas pas par le système bancaire. Lancer une monnaie numérique de banque centrale, c'est prendre le risque de déstabiliser le système bancaire. N'est-ce pas aussi un sujet de souveraineté ? D'autant que les banques n'ont pas réussi à s'accorder autour du projet de système de paiement européen (EPI)… EPI continue sur des bases différentes : pas sur la carte, mais sur le virement instantané. Le sujet que l'on a rencontré sur le périmètre initial d'EPI - autour de la carte - ce sont des schémas historiques complexes, nationaux et internationaux, qui font que la convergence des intérêts était difficile à organiser. A présent, nous parlons d'un nouveau schéma fondé sur le virement instantané. Il y a une forme de consensus qui peut se faire, et monter en puissance en 2024. Cette initiative est plus restreinte que le projet initial, mais nous avons une vraie base pour créer quelque chose. Les effectifs dans la banque continuent de diminuer chaque année. Y a-t-il un problème d'attractivité dans le secteur ? Le secteur bancaire emploie environ 350.000 personnes en France, c'est considérable. Et nous embauchons 40.000 personnes chaque année, dont la moitié ont moins de 30 ans. Les recrutements restent donc dynamiques. Mais c'est vrai que le turnover demeure important. Nous avons besoin de mieux faire connaître nos très nombreux métiers, qui ont beaucoup évolué au fil des ans. La technologie est devenue très importante : un recrutement sur sept se fait sur des profils numériques. Les Français ont une bonne image de leur banque et de leur conseiller, mais moins des banques en général, et encore moins de la finance. Les banques sont très en phase avec l'évolution de la société et dans le contexte actuel, comme durant la crise Covid, elles prouvent toute leur utilité. Et à l'avenir, elles seront essentielles pour réaliser la nécessaire transition écologique de l'économie. C'est un facteur d'attractivité, que l'on doit davantage développer pour des salariés de plus en plus en quête de sens. Alexandre Counis, Romain Gueugneau, Edouard Lederer, Thibaut Madelin Quelles clés pour s’adapter dans un environnement complexe ? Comment réagir face aux défis de la transition énergétique ? Comment se positionner dans un environnement économique et politique instable ? Comment exploiter au mieux les opportunités d’innovation dans chaque secteur ? Au quotidien, à travers nos décryptages, enquêtes, chroniques, revues de presses internationales et éditos, nous accompagnons nos abonnés en leur donnant les clés pour s’adapter à un environnement complexe. .
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