Le climat facteur en puissance des extinctions d espè ces Planète - Biodiversité HEAD TOPICS
Le climat facteur en puissance des extinctions d espè ces
13/10/2022 03:16:00 Le climat facteur en puissance des extinctions d espè ces
Planète Biodiversité
La source 20 Minutes
Le climat, facteur en puissance des extinctions d’espèces Le WWF publie une nouvelle édition de son rapport Planète Vivante, qui suit l’abondance de milliers de populations d’animaux depuis 1970. La chute est drastique avec un déclin moyen de 69 %. Le changement climatique pourrait noircir le tableau encore ….Pas de quoi faire oublier que la tendance mondiale est alarmante. Très alarmante, même, dans les zones tropicales, où les plus forts déclins sont observés. Quand ce ne sont pas des régions, ce sont des écosystèmes qui inquiètent. L’IPV « eau douce », qui suit l’abondance de 6.617 populations, affiche ainsi une baisse moyenne de 83 % entre 1970 et 2018. « Les poissons migrateurs ont vu leurs populations totalement s’effondrer dans les rivières, pour des raisons de pollutions, d’obstacles… », détaille Arnaud Gauffier. Lire la suite:
20 Minutes » 'Alerte rouge pour la planète': selon WWF, près de 70% de la faune sauvage a disparu depuis 1970 Politique. À la télévision allemande, Greta Thunberg relance le débat sur le nucléaire La viande rouge est-elle mauvaise pour la santé ? La réponse en étoiles EN DIRECT - Scandale à la FFF: de nouvelles accusations de harcèlement sexuel contre Le Graët Mode Beauté Recettes Société Horoscope Célébrités
Madame Figaro : toute l'actualité au féminin, les tendances mode, beauté, joaillerie, mariage, déco l'actu people, business et société, les meilleures recettes, et les tendances cuisine. Lire la suite >> Non les hommes, les lobbies et l'argent 'Alerte rouge pour la planète': selon WWF, près de 70% de la faune sauvage a disparu depuis 1970La destruction des habitats naturels, en particulier pour développer l'agriculture, reste la cause principale de cette disparition, selon un rapport de WFF, suivi par la surexploitation et le braconnage. Comment son faîtes ces études ? 70% ? Pas 69 ? Pas 71 ? C'est impressionnant 😶 Après, j'espère que ceux qui la relaient... se sont un 'minimum' renseignés sur ces études... L humanité est le cancer de cette planète Et du coup, on doit faire des économies sur quelque chose ? Politique. À la télévision allemande, Greta Thunberg relance le débat sur le nucléaire🇩🇪 “Si les centrales nucléaires sont déjà en cours d’exploitation, je pense que ce serait une erreur que de les fermer pour revenir au charbon”. Les propos de la militante suédoise ont été compris comme une critique indirecte des des Verts Outre-Rhin Pourquoi indirecte? C'était une interview sur ARD. La viande rouge est-elle mauvaise pour la santé ? La réponse en étoilesDes chercheurs américains ont mis à plat les liens entre facteurs de risques et effets sur la santé, grâce à une nouvelle classification. EN DIRECT - Scandale à la FFF: de nouvelles accusations de harcèlement sexuel contre Le GraëtLa Fédération française de football (FFF) se retrouve sous le feu des critiques après la parution de nombreux témoignages dénonçant un climat de travail délétère et des accusations de harcèlement sexuel. Putin, mais qu’il dégage vite ce gars. Je suis persuadé qu’il y a des trous énormes dans les caisses de la. FFF FFFA_officiel GG_RMC EURO2024FRA Eurosport_FR Europe1 PascalPraud lachainelequipe lequipe hpenot_lequipe quel merdier dans ce bordel Avec sa gueule de pervers celui-là... il a la conscience tranquille ? le gypaette barbu ….La planète a perdu en moyenne près de 70% de ses populations d'animaux sauvages en une cinquantaine d'années, selon l'évaluation de référence du Fonds mondial pour la nature (WWF) publiée ce jeudi, Entre 1970 et 2018, 69% en moyenne des populations de cette faune sauvage a disparu, selon l'Indice Planète vivante, outil de référence publié tous les deux ans par le WWF.Crise énergétique : l’Allemagne “arrive à la limite” “Si [ces centrales] sont déjà en cours d’exploitation, je pense que ce serait une erreur que de les fermer pour revenir au charbon”, a-t-elle assuré, dans un extrait de vidéo dévoilé avant la diffusion de l’émission, ce mercredi 12 octobre au soir.(un défaut d'oxygénation d'un organe à cause d'un apport de sang insuffisant) ou le diabète, font à peine mieux, avec deux étoiles. Pas de quoi faire oublier que la tendance mondiale est alarmante. Très alarmante, même, dans les zones tropicales, où les plus forts déclins sont observés. Ce rapport est une"alerte rouge pour la planète et donc pour l'humanité", a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse internationale en ligne,"à un moment où nous commençons à comprendre réellement que des écosystèmes durables, une biodiversité riche et un climat stable sont nécessaires pour garantir un futur prospère, plus équitable et plus sûr pour nous, et particulièrement pour nos enfants et leurs enfants à leur tour". Quand ce ne sont pas des régions, ce sont des écosystèmes qui inquiètent. La défenseur du climat, longtemps montrée en exemple par une partie des Verts d’outre-Rhin, est ainsi devenue celle qui les met en difficulté. L’IPV « eau douce », qui suit l’abondance de 6. Des chiffres"vraiment effrayants" Les chiffres sont"vraiment effrayants" pour l'Amérique latine, a déclaré Mark Wright, directeur scientifique du WWF, avec 94% de disparition en moyenne dans cette région"réputée pour sa biodiversité" et"décisive pour la régulation du climat".617 populations, affiche ainsi une baisse moyenne de 83 % entre 1970 et 2018. Passer d’un à quatre légumes par jour réduirait de 23% le risque d'incident cardiaque ischémique, selon des études qui reçoivent trois étoiles, indique un épidémiologiste de l'IHME, Jeffrey Stanaway. « Les poissons migrateurs ont vu leurs populations totalement s’effondrer dans les rivières, pour des raisons de pollutions, d’obstacles… », détaille Arnaud Gauffier."Mais cela masque des pertes historiques très extrêmes de biodiversité", avant la période d'analyse, a déclaré Andrew Terry, directeur de la conservation à Société zoologique de Londres, partenaire du WWF pour établir l'indice. L'indice Planète vivante pour chaque région du globe, de 1970 à 2018. - Infographie WWF Le changement climatique, la menace qui monte… Dans son édition de 2020, « Planète Vivante » dressait cinq causes principales à ces chutes, toutes en lien avec les activités humaines."Un exemple flagrant est celui du parc national de Kahuzi Biega, en RDC, où le nombre de gorilles des plaines orientales a baissé de 80%", en premier lieu par la chasse, a expliqué Alice Ruhweza, directrice Afrique du WWF. Dans l’ordre d’importance : le changement d’usage des terres, [la déforestation typiquement], la surexploitation des ressources [la pêche essentiellement, mais aussi la chasse, le braconnage], la pollution, les espèces invasives et les maladies. Et le changement climatique. A. Et non pas sur des produits comme le bacon ou la saucisse « qui sont associés à des risques plus élevés de maladies », relève-t-il. Dans « Planète Vivante 2022 », les deux premières menaces restent inchangées. Mais, en troisième position, arrive désormais le changement climatique. « La revue de littérature faite pour ce rapport, basée sur l’état de la science, notamment le rapport commun du Giec et de l’Ipbes [son équivalent sur les enjeux biodiversité] publié en juin 2021, nous pousse à remonter fortement le changement climatique dans les causes de disparition », reprend le directeur de la conservation du WWF France. D’ores et déjà, la hausse des températures entraîne des phénomènes de mortalité massive et des extinctions d’espèces. Une sorte de deuxième lame de fond qui fragilise un peu plus les espèces sous pression. La lame de fond pour le dugong et la tortue luth ? Pour l’illustrer, l’ONG prend l’exemple de deux populations emblématiques de nos territoires ultramarins. D’abord le dugong , cette vache marine « dont la Nouvelle Calédonie a la chance d’héberger l’une des dernières populations jugées viables », précise Marc Oremus, directeur du bureau local de l’ONG. Ce qui ne veut pas dire qu’elle soit en bonne forme. « Sa population est estimée à quelques centaines d’individus, contre 1.500 au début des années 2000 », reprend Marc Oremus. La première pression qui pèse sur le dugong est le braconnage. Il faut y ajouter les prises accidentelles de la pêche ou les collisions avec les bateaux. « Mais c’est aussi, de plus en plus, le changement climatique qui dégrade les herbiers marins sur lesquels les dugongs se nourrissent, complète le biologiste marin. Cette menace peut paraître plus insidieuse mais aura sur le long terme un impact considérable sur les dugongs, qui ont besoin d’avoir un écosystème en bonne santé pour se reproduire. » L’histoire est quasi la même avec .