RDC le camp de Rumangabo dans le Rutshuru au bord de la crise humanitaire Afrique - Rdc HEAD TOPICS
RDC le camp de Rumangabo dans le Rutshuru au bord de la crise humanitaire
12/10/2022 06:59:00 RDC le camp de Rumangabo dans le Rutshuru au bord de la crise humanitaire
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RDC : le camp de Rumangabo, dans le Rutshuru, au bord de la crise humanitaire En RDC , au Nord-Kivu, le mouvement rebelle M23 occupe la ville frontalière de Bunagana depuis le mois de juin 2022. Un retour de cette rébellion, défaite en 2013, qui a provoqué de nombreux déplacements… PublicitéDepuis quatre mois, Rumangabo ne reconnaît plus le centre de son village. Entre l’école et la route, sont désormais entassées des dizaines de tentes de déplacés. Près de 4 000 ménages ont trouvé refuge dans cette localité qui d’habitude accueille tout juste 1 500 familles. . »Conditions de vie difficilesHier, on a reçu un peu de nourriture du gouvernement, mais c’est juste pour deux jours. On a très faim, maintenant, nous avons besoin de la paix pour pouvoir retourner chez nous, dans nos villages.«Ils ont alors rejoint le plus grand camp de déplacés de la région, celui de Rwasa. Lire la suite:
» RDC: la filière du carburant dénonce le non paiement des subventions par l’État Fuites des gazoducs Nord Stream : la Suède refuse de donner accès à Moscou à son enquête Dans le nord du Liban, «l’enfer c’est ici, ce n’est pas de prendre la mer» Affaire de l’imam Iquioussen : biens immobiliers et soupçons d’insalubrité dans le Nord Big five le podcast foot de L Équipe le Barça construit avec l inépuisable Gavi
L'atmosphère varie entre regain d'espoir et morosité, ces jours-ci au Barça, qui tente de sortir d'une crise depuis des mois grâce à Xavi et un effectif transformé. Au milieu, la formule n'est pas encore magique mais, aux côtés de Pedri, c'est un autre jeune Espagnol qui fait son trou. Gavi, récent vainqueur du trophée Kopa, est une attraction. Big five a tenté de comprendre son jeu, ses forces, ses failles, sa personnalité... et son futur. Lire la suite >> A cause de vous, vous aller le payer très cher d'ici là. Chaque chose a une fin. Restez en Ukraine SVP!!! La crise humanitaire ? Certains français et Macron sont auteurs de tout. Il fallait éviter de financer votre fils criminel Paul Kagame pour que la Rdc émerge. La communauté internationale et Macron en-tête est la base de cette crise humanitaire. C'est ça l'image que vous aimez accoler à la Rdc en continuant à soutenir les guerres.👁️ Les autorités doivent ouvrir l’oeil, et le bon. Les armements arrivent dans les sacs aux aides. RwandaIsKillingInDrc= NoNkundaNoJobRDC: la filière du carburant dénonce le non paiement des subventions par l’ÉtatLa sévère crise du carburant qui avait frappé la partie ouest du pays est passée. Cependant, le problème n’est qu’à moitié résolu. Les sociétés pétrolières attendent du gouvernement un plus grand effort… Il parait que meme en France, le carburant devient un cauchemar, mais prq RFI ne s’intéresse qu'a la RDC? Même la France a un sérieux problème de carburant ou il y a une carence totale. Malheureusement, vs vs intéressez à la RDC pendant que les citoyens français en souffrent autant. Le mécanisme des subventions des produits pétroliers en RDC occasionne le chantage des opérateurs pétroliers par son manque robustesse. Ce bras de fer avec le gouvernement devient insupportable moralement ! Laissons-le vendre au juste prix dans ce cas; les congolais ne mourront. Fuites des gazoducs Nord Stream : la Suède refuse de donner accès à Moscou à son enquêteLes gazoducs Nord Stream 1 et 2, situés en mer Baltique, ont connu des fuites importantes il y a deux semaines. L’hypothèse d’un sabotage a été plusieurs fois évoquée. tu m'étonnes ! 😅 ou seulement pour poser ses bombes bien-sûr On se demande bien pourquoi? Salopard Dans le nord du Liban, «l’enfer c’est ici, ce n’est pas de prendre la mer»🇱🇧 Poussés par l’effondrement économique du pays, de nombreux Libanais font le choix de l’exil «C’est incroyable le nombre de départs, les gens cherchent une vie avec un peu de dignité. Ici, il n’y a rien à faire...» Reportage bland_lvgn à Tripoli Liban bland_lvgn Affaire de l’imam Iquioussen : biens immobiliers et soupçons d’insalubrité dans le NordHassan Iquioussen possède plusieurs logements mis en location dans les Hauts-de-France. Deux d’entre eux ont été épinglés dans des rapports d’instances locales pour leur très mauvais état. Les autorités suspectent même un abus de faiblesse. La Corée du Nord affirme avoir mené des simulations « nucléaires tactiques »La Corée du Nord avoir simulé des frappes « nucléaires tactiques » ces deux dernières semaines en réponse à la « menace militaire » posée selon elle par les États-Unis et leurs alliés dans la région. Paris : à quoi ressemblera la Gare du Nord, rénovée d'ici aux JO 2024 ?Abandonnée fin 2021, l'importante rénovation de la Gare du Nord doit muer – comme présenté par Gares & Connexions en mars dernier – en un projet moins ambitieux sous le nom d'«Horizon 2024». Réunis en conseil d'administration, les élus qui siègent au sein d'Ile-de-France Mobilités doivent voter l'opération ce lundi 10 octobre. Que comprendra-t-elle ? A Bamako une fois rénovée? Hahahahahahahahaha 🤣🤣 JO 2024 !!!! Si Paris existe toujours !!!! A un hangar. Suivre 3 mn En RDC, au Nord-Kivu, le mouvement rebelle M23 occupe la ville frontalière de Bunagana depuis le mois de juin 2022.Suivre 1 mn La sévère crise du carburant qui avait frappé la partie ouest du pays est passée.Crise ukrainienne : Nord Stream 2, le gazoduc de toutes les discordes « En Suède, les enquêtes préliminaires sont confidentielles, et c’est évidemment le cas dans ce dossier » , a déclaré la Première ministre démissionnaire Magdalena Andersson, lors d’une conférence de presse ce lundi 10 octobre., envoyée spéciale à Tripoli (Liban) publié le 10 octobre 2022 à 17h09 Dans la lumière ocre de fin de journée, la tension ne redescend pas à Aarida, village le plus au nord du Liban, bordé par des champs d’un côté et la mer de l’autre. Un retour de cette rébellion, défaite en 2013, qui a provoqué de nombreux déplacements de population. Plusieurs dizaines de milliers de déplacés ont trouvé refuge dans les villages voisins, comme à Rumangabo. Les sociétés pétrolières attendent du gouvernement un plus grand effort dans le paiement de la subvention accordée au secteur de l’énergie. Un petit village où la situation humanitaire est aujourd’hui critique. Chaque nation y est libre de mener sa propre enquête, a souligné Magdalena Andersson, qui assure l’intérim avant la formation d’un gouvernement de droite. Publicité Lire la suite De notre envoyée spéciale à Rumangabo, Depuis quatre mois, Rumangabo ne reconnaît plus le centre de son village. L’enjeu est de maîtriser la situation avant la fin de l’année. Entre l’école et la route, sont désormais entassées des dizaines de tentes de déplacés. «Je voulais ne jamais revenir» Ce jour de fin septembre, six corps sont ramenés depuis Tartous, en Syrie, par les équipes de la Croix-Rouge à Aarida. Près de 4 000 ménages ont trouvé refuge dans cette localité qui d’habitude accueille tout juste 1 500 familles. Mais ce n’est pas suffisant, disent-ils, pour combler les pertes et manque à gagner qu’ils enregistrent en vendant le carburant, selon les prix négociés avec les autorités. Des pièces à conviction ont été prélevées lors des premières inspections des enquêteurs suédois et « sont actuellement analysées dans nos laboratoires » , a-t-elle dit. Pour Justin Koyomayombi, le chef du groupement de Kisigari, le village est saturé : « Rumangabo, c’est un petit village et la population a presque augmenté de cinq fois avec tous les problèmes qui en découlent, les problèmes de latrines, d’eau, à tous les niveaux . » Entrée de la ville de Rumangabo, dans le Rutshuru, RDC, le 10 octobre 2022. Aujourd’hui, l’autre problème, et c’est le plus urgent, soutiennent-ils, est l’apurement des dettes au titre des subventions accordées au secteur que le gouvernement a accumulées depuis plusieurs mois. © Paulina Zidi / RFI Conditions de vie difficiles Parmi ces déplacés, il y a Angèle. « Mais nous n’avons aucune envie de parler à la Russie. Elle a fui avec toute sa famille et depuis quatre mois, elle vit ici dans des conditions difficiles : « Hier, on a reçu un peu de nourriture du gouvernement, mais c’est juste pour deux jours. D’après ces dernières, ces fonds ne viennent pas à temps et cette situation les met en difficulté vis-à-vis des banques et de leurs fournisseurs. La file des véhicules prend la route de Tripoli, épicentre de cette nouvell…. On a très faim, maintenant, nous avons besoin de la paix pour pouvoir retourner chez nous, dans nos villages. » Il y a aussi Jane qui a rejoint les déplacés de Rumangabo dernièrement. Une réunion est d’ailleurs prévue ce mercredi entre les autorités et les pétroliers à ce sujet. L’Allemagne, le Danemark et la Suède avaient déjà annoncé début octobre leur intention de monter un groupe d’enquête conjoint au niveau de leurs polices respectives. Elle nous raconte son long parcours commencé lors de la fuite de son village près de Bunagana pendant des combats entre l’armée et le M23. Dans un premier temps, elle dit avoir fui avec sa famille en Ouganda : « Nous sommes restés dans un camp de fortune avant que les autorités ougandaises ne nous demandent de rejoindre un autre site de réfugiés. Newsletter. Mais nous avons préféré rentrer en RDC pour aller à Rutshuru-centre ». Ils ont alors rejoint le plus grand camp de déplacés de la région, celui de Rwasa. Mais Jane explique que les conditions de vie y étaient trop difficiles. Elle et deux de ses enfants sont tombés malades et quand son fils est mort, elle a décidé de venir vers Rumangabo pour essayer de faire soigner sa fille. Des déplacés dans l’école de Rumangabo, Rutshuru, RDC, le 11 octobre 2022. © Paulina Zidi / RFI « Cela nous désole » Désormais, elle vit seule avec sa fille et partage une tente avec une autre famille qui était déjà sur place quand elle est arrivée. Elle pense à son mari et ses autres enfants restés à Rutshuru et ne sait pas quand elle pourra les revoir. Cet afflux de personnes pèse forcément sur la population, même si Gentil Karabuka, de la société civile, l’assure : la solidarité est de mise. « Tous les déplacés n’ont pas forcément pu trouver refuge dans les écoles ou dans les églises. Une partie de ces déplacés est donc hébergée dans des familles d’accueil. » Une situation qui ne peut pas durer, pour Justin Koyomayombi : « La grande crainte que nous avons ici, c’est que si cette situation perdure, on se retrouve à enterrer des gens. Cela nous désole et fait vraiment pitié . » .