R forme de la police judiciaire un Game of Thrones version police fran aise

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Ré forme de la police judiciaire un ' Game of Thrones version police franç aise' HEAD TOPICS

Ré forme de la police judiciaire un ' Game of Thrones version police franç aise'

11/10/2022 08:15:00

Ré forme de la police judiciaire un ' Game of Thrones version police franç aise' 👮 Gérald Darmanin s'est adressé à l'ensemble des fonctionnaires de la police judiciaire dans une lettre pour tenter de déminer le conflit qui entoure sa réforme de la PJ.

La source

France Inter

Réforme de la police judiciaire : un 'Game of Thrones version police française' Gérald Darmanin s'est adressé à l'ensemble des fonctionnaires de la police judiciaire dans une lettre pour tenter de déminer le conflit qui entoure sa réforme de la PJ. Gérald Darmanin s'est adressé à l'ensemble des fonctionnaires de la police judiciaire dans une lettre lundi pour tenter de déminer le conflit qui entoure sa réforme de la 'PJ'. Mais à l'inverse, la contestation prend une nouvelle tournure. Des reports d'opérations sont prévus dans plusieurs villes. © AFP"au deuxième semestre 2023","porte est ouverte""On gèle tout""On gèle tout jusqu'à la grande manifestation prévue lundi prochain."" de la réforme pour son volet police judiciaire. Ses responsables tiendront une conférence de presse en début de soirée. Ces cookies permettent de partager ou réagir directement sur les réseaux sociaux auxquels vous êtes connectés ou d'intégrer du contenu initialement posté sur ces réseaux sociaux. Ils permettent aussi aux réseaux sociaux d'utiliser vos visites sur nos sites et applications à des fins de personnalisation et de ciblage publicitaire. Lire la suite:
France Inter » Crise à la PJ : Gérald Darmanin remet 5 francs dans le nourrain La réforme de la police judiciaire est 'courageuse, indispensable et difficile', défend Gérald Darmanin Police judiciaire : Gérald Darmanin défend une réforme «courageuse, indispensable et difficile» Pénurie d'essence : Élisabeth Borne convoque une réunion d'urgence ce lundi soir avec plusieurs ministres

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Madame Figaro : toute l'actualité au féminin, les tendances mode, beauté, joaillerie, mariage, déco l'actu people, business et société, les meilleures recettes, et les tendances cuisine. Lire la suite >> Crise à la PJ : Gérald Darmanin remet 5 francs dans le nourrainCrise à la PJ : Gérald Darmanin remet 5 francs dans le nourrain 👉 La réforme de la police judiciaire est 'courageuse, indispensable et difficile', défend Gérald DarmaninLe ministre de l'Intérieur assume les sanctions prises en fin de semaine contre le directeur zonal à Marseille et appelle à l'apaisement, dans une interview au 'Parisien'. Elle est donc tout l’inverse. D’une rare lâcheté, facile et donc dispensable. Violeur ba écoutez la police judiciaire Police judiciaire : Gérald Darmanin défend une réforme «courageuse, indispensable et difficile»Dans un entretien publié ce dimanche, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a fait part de son soutien à la réforme de la police judiciaire. Ben Voyons !!!! Il vient de signer sa fin mais il ne le sait pas encore. Non mais de qui se moque t il celui-là 😡 Pénurie d'essence : Élisabeth Borne convoque une réunion d'urgence ce lundi soir avec plusieurs ministresGérald Darmanin, Agnès Pannier-Runacher, Clément Beaune et Olivier Véran sont convoqués, ce lundi 10 octobre à Matignon, pour parler des difficultés d'approvisionnement en carburant qui affecte une partie des stations... Il n'y a pas de pénurie, ze le dis tous les zours , on va qd même faire une réunion avec Babeth pour se foutre un peu plusss de la gueule des Français Face au tollé dans la PJ, Darmanin défend une réforme « courageuse »Les syndicats de police demandent à Gérald Darmanin des mesures « d’apaisement » face à la contestation suscitée par la réforme de la police judiciaire. FDO PJ gendarmerie Police armee : réveillez-vous, révoltez-vous contre ce GouvernementDeTromperie, ce simili-president Macron et la DICTATURE qu'ils ont instaurée ! Rejoignez le Peuple et la République que vous devrez protéger ! La police judiciaire n'en veux pas on n'a pas compris la raison. Mais on s'en fout de leur avis. Une preuve de bon management en tous cas fait par les plus grandes ecole Ahah faire un truc contesté, c'est faire preuve de courage... on connait le truc, hein😅. On ne se pose pas de questions, on reste en phase avec soi-même sans écouter celles et ceux qui connaissent le sujet et on continue. C'est pour ça qu'on est le chef, hein chef!😅😅 Angoulême : l'inexplicable calvaire de Gérald, mort après deux jours de torture, devant la justice Récit. Plus de trois ans après la mort de cet homme sans histoire, torturé dans une cave à Cognac, les accusés sont jugés à partir de ce lundi. Retour sur cet inexplicable calvaire. mardi 11 octobre 2022 à 06h20 4 min Partager Depuis vendredi, les fonctionnaires de la PJ affichent leur soutien au patron de la police judiciaire de Marseille démis de ses fonctions..Temps de lecture : 1 min.Dans un entretien publi\u00e9 ce dimanche, le ministre de l\u2019Int\u00e9rieur G\u00e9rald Darmanin a fait part de son soutien \u00e0 la r\u00e9forme de la police judiciaire. © AFP - Pascal GUYOT Gérald Darmanin s'est adressé à l'ensemble des fonctionnaires de la police judiciaire dans une lettre lundi pour tenter de déminer le conflit qui entoure sa réforme de la"PJ". Mais à l'inverse, la contestation prend une nouvelle tournure. Mais les concessions s’arrêtent là où les pirouettes commencent. Des reports d'opérations sont prévus dans plusieurs villes." Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin défend la réforme de la police judiciaire (PJ), qu'il présente comme "courageuse, indispensable et difficile". La fronde ne s'arrête pas au sein de la police judiciaire. Quant aux sources, multiples, qui assuraient vendredi que le directeur central de la PJ (DCPJ), Jérôme Bonet avait présenté sa démission… " C’est inexact ", évacue le ministre de l’Intérieur, en constatant simplement que le DCPJ "est à son poste"… Tout en réaffirmant sa volonté de réformer une police nationale " mal organisée. Dans un courrier adressé lundi aux fonctionnaires de la"PJ", le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a tenté d'apaiser la colère qui entoure sa réforme, visant à regrouper toutes les unités départementales de la police sous le commandement d'un seul chef.\n\n\t\u00abavoir le sens de l'apaisement\u00bb\n\u00abLe directeur g\u00e9n\u00e9ral a le choix de ses collaborateurs. Face à la contestation, le ministre évoque désormais l'objectif de finaliser la réforme "au deuxième semestre 2023", alors qu'il parlait jusqu'ici d'une mise en place "courant 2023". Le projet de réforme prévoit de placer tous les services de police à l'échelle du département - renseignement, sécurité publique, police aux frontières (PAF) et police judiciaire - sous l'autorité d'un seul Directeur départemental de la police nationale (DDPN), dépendant du préfet. Il indique également que sa "porte est ouverte" pour recevoir toutes les propositions. Ce report de la réforme n'a pas permis d'apaiser les tensions. La contestation prend de l'ampleur depuis le limogeage vendredi dernier d'Éric Arella, le patron de la PJ de Marseille, évincé au lendemain d'une"haie du déshonneur" réalisée par 200 agents marseillais à l'occasion de la visite de Frédéric Veaux, le directeur général de la police nationale (DGPN), venu présenter la réforme. Le lendemain, Eric Arella, patron respecté de la PJ du sud de la France, était limogé. Publicité "On gèle tout" Des membres de l'Association nationale de la police judiciaire, créée cet été, ne laissaient pas de doute ce week-end sur les réseaux sociaux de la poursuite des actions.\nIl n'y aura \u00abaucune suppression d'effectif, aucune suppression d'office central, aucune suppression de service ou d'antenne locale\u00bb, a ajout\u00e9 G\u00e9rald Darmanin, en assurant que cette d\u00e9cision est un \u00abamendement du projet de la DGPN\u00bb. Et effectivement, il va y avoir dès ce mardi matin des" reports " en cascade d'opérations judiciaires dans plusieurs capitales régionales, confie un enquêteur. Marseille mais aussi Angers, Limoges, Bordeaux ou encore Montpellier et Toulon devraient être touchées. Sur le fond de la réforme, le ministre n'amorce pas de changement, mais répète qu' "aucun policier de PJ ne fera autre chose que ce qu'il faisait aujourd'hui" . Selon cette source, des interpellations prévues dans la semaine sont d'ores et déjà annulées, sauf les urgences : "On gèle tout jusqu'à la grande manifestation prévue lundi prochain." Même le"36", le siège de la police judiciaire parisienne, qui n'est pourtant pas concerné par la réforme, va manifester dès ce mardi midi. Une première."Nous discuterons à partir de là avec les organisations syndicales pour amender la réforme en fonction des remarques pour une mise en place en 2023", ajoute Gérald Darmanin, sans donner de date plus précise. Enfin, la conférence nationale des procureurs généraux appelle pour sa part à une" suspension " de la réforme pour son volet police judiciaire. Ses responsables tiendront une conférence de presse en début de soirée. Pour afficher ce contenu Twitter, vous devez accepter les cookies Réseaux Sociaux . Ces cookies permettent de partager ou réagir directement sur les réseaux sociaux auxquels vous êtes connectés ou d'intégrer du contenu initialement posté sur ces réseaux sociaux. Ils permettent aussi aux réseaux sociaux d'utiliser vos visites sur nos sites et applications à des fins de personnalisation et de ciblage publicitaire. Gérer mes choix J'autorise Certains syndicats se félicitent tout de même d'avoir obtenu un moratoire. Alliance police, UNSA, Synergie officiers ou encore le Syndicat des commissaires de la Police nationale réclamaient depuis cet été d'appuyer fortement sur la "touche pause" en attendant les échéances électorales syndicales internes prévues à la fin de l'année. Ils avaient tous alerté des risques de tollé au sein de la PJ. Une guerre des chefs Plus critique, le syndicat des cadres de la sécurité intérieure, le SCSI, évoque dans un tract une fracture à résorber d'urgence et refuse une réforme "aux forceps ". Car si les discussions sont gelées, le fond du problème n'est pas réglé. Pour différentes sources policières, contactées par France Inter, cette crise ouverte est devenue au fil des semaines une sorte de" Game of Thrones, version police française ", en référence à la célèbre série américaine où de puissantes familles s'affrontent et se trahissent pour le pouvoir. L'objet de la bataille est de savoir qui aura le pouvoir sur la future filière investigation de la police nationale : pouvoirs hiérarchiques et budgétaires. Une guerre des chefs que seul le ministre de l'Intérieur peut trancher, ce qu'il a soigneusement évité de faire dans la lettre qu'il a adressée lundi aux agents concernés par sa réforme. Divorce consommé L'enjeu majeur du bras de fer actuel tourne donc autour du contrôle des troupes opérationnelles. "Dans notre institution, un chef sans troupes, ça fait un fantôme" , estime un commissaire pourtant favorable à la réforme dans son ensemble. Face à un début de contestation cet été, le ministre lui-même avait réuni le 1er septembre les chefs des zones concernés." Il nous avait demandé de lui faire des propositions, donc on était reparti assez contents ", confie l'un d'eux. Mais dans les jours qui ont suivi, les déclarations du directeur général de la police nationale, Frédéric Veaux, leur ont enlevé le sourire. Lors de ce qui a été baptisé en interne le"Veaux tour", c'est-à-dire une série de déplacements dans plusieurs capitales régionales, Frédéric Veaux a confirmé à quel point ils allaient perdre leurs principales prérogatives, les différents pouvoirs qui les rendent si efficaces dans les enquêtes sensibles, aux yeux des magistrats et même de Gérald Darmanin, d'après ses différentes déclarations depuis son arrivée Place Beauvau. Un commissaire qui a dirigé plusieurs grands services de PJ raconte comment, fin septembre, le directeur central de la police judiciaire Jérôme Bonet a malgré tout réuni des groupes de travail au Cercle des armées à Paris, pour tenter de sortir par le haut de l'impasse. Avec toujours l'idée de répondre à la demande expresse du ministre. L'un des groupes était piloté par Éric Arella. "On a tous estimé que les solutions que nous avons proposées ce jour-là permettaient de concilier la réforme que le ministre envisage au niveau des départements avec un pouvoir hiérarchique sur l'investigation laissé aux chefs régionaux de la PJ", raconte cette source. "Or, on nous a très vite fait comprendre que le DGPN n'en voulait pas, que ça remettait totalement en question les pouvoirs des futurs DDPN, les directeurs départementaux de la police nationale ", qui est la pierre angulaire de la réforme envisagée. Des affirmations qui ont surpris l'entourage du DGPN au sein de l'équipe projet en charge de la réforme globale de la police. " On attend justement la copie du directeur central de la police judiciaire" sur ces groupes de travail, confiait l'un des responsables de cette cellule spéciale." Et on sait désormais qu'on a, a priori, deux mois pour avancer en attendant les élections syndicales." Vous trouvez cet article intéressant ? Faites-le savoir et partagez-le. .
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