Jean-Franç ois Colosimo ' Pour Poutine supprimer la vie à Kiev est la seule issue pour Moscou' Jean-François - Colosimo HEAD TOPICS
Jean-Franç ois Colosimo ' Pour Poutine supprimer la vie à Kiev est la seule issue pour Moscou'
10/10/2022 18:00:00 L' historien Jean-Franç ois Colosimo spé cialiste de l' orthodoxie analyse la guerre en Ukraine à la lumiè re du fait religieux
Jean-François Colosimo
La source L Express
L'historien Jean-François Colosimo , spécialiste de l'orthodoxie, analyse la guerre en Ukraine à la lumière du fait religieux L'historien Jean-François Colosimo , spécialiste de l'orthodoxie, analyse la guerre en Ukraine à la lumière du fait religieux. Nos gouvernants n'ont-ils pas été trop complaisants à l'égard de Vladimir Poutine ?l'invasion de l'Ukraine "Iegor Gran :"Il ne faut jamais oublier que Poutine est un trouillard"" Pourquoi, toutefois, l'Ukraine représente-t-elle un objet de choix pour ce nihilisme ?Vladimir Poutine n'a pas cessé, pourtant, de varier sur ses buts de guerre.Parodiant terme à terme le répertoire de la guerre juste, Vladimir Poutine a d'abord invoqué la légitime défense : libérer la Russie de l'encerclement éternel de ses ennemis, cette fois l'Otan. Puis il est passé à l'urgence humanitaire : sauver d'une extermination programmée les populations russophones du Donbass. Ensuite, il a agité la défense impérative de la civilisation : contrer la barbarie nazie résurgente à Kiev. Avant de brandir l'argument théologico-politique : sauver l'orthodoxie condamnée à l'annihilation par le reste de l'univers. Enfin, il est arrivé à son véritable but : la guerre frontale contre l'Occident, autrement dit le diable décadent, déloyal, destructeur - une guerre mondialisée, eschatologique. Lire la suite:
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Madame Figaro : toute l'actualité au féminin, les tendances mode, beauté, joaillerie, mariage, déco l'actu people, business et société, les meilleures recettes, et les tendances cuisine. Lire la suite >> Pénurie de carburants : «Un drame français absolument classique», constate Jean-Louis BourlangesDe nombreuses stations-service sont fermées, les files d'attente d'allongent et la France puise dans ses réserves stratégiques... Si le gouvernement tente d'être rassurant sur la pénurie des carburants, pour Jean-Louis Bourlanges, invité d'Europe Matin lundi, la France fait face à un "drame absolument classique." Il n y a pas de penurie mais un arret de ravitaillement ce qui nest pas la meme chose Le tacle du lundi – La maison OL brûle, Jean-Michel Aulas regarde ailleursCHRONIQUE. En crise de résultats, l’OL a décidé de changer d’entraîneur, mais le problème, dont fait partie son président, est plus profond. Tout doux bijoux sur Jean Mimi Jean Imbert, chef des stars : son cliché totalement dingue avec Jay Z et BeyoncéDimanche 9 octobre 2022, Jean Imbert a reçu du beau monde dans sa cuisine du Plaza Athénée en plein coeur de Paris. En effet, celui que l'on... Législative partielle dans les Yvelines : le ministre Jean-Noël Barrot rééluSon siège a été remis en jeu à la suite de la démission de sa suppléante Anne Grignon qui cumulait un remplacement au Sénat et une suppléance à l’Assemblée nationale. Et voilà que tous ces électeurs ne viennent pas pleurer...Après ENCORE UNE REMARQUE DÉBILE de CE DÉPUTÉ RÉÉLU N’A PAS À QUITTER LE GOUVERNEMENT… 😂 VU LE NOMBRE DE MINISTRES MIS EN EXAMEN POUR CONFLIT D’INTÉRÊTS - PROBLÈMES DE MŒURS… … … Bonjour le cumul. Ces gens là n'ont aucune honte bue. 😡 Auxerre « regrette le geste de son entraîneur » Jean-Marc Furlan à ClermontDans un communiqué, l'AJ Auxerre a assuré regretter les doigts d'honneur faits par son entraîneur Jean-Marc Furlan, dimanche, lors de la défaite à Clermont (1-2). Lui non Moi qui suis supporter de L'Estac depuis 14 ans, ARRÊTÉ DE LE FAIRE CHIER Furlan !!! Il a rien fait. C'était l'ancien entraîneur de L'Estac qui nous avait fait remonter en Ligue 1 donc laisser le tranquille ! Le ministre Jean-Noël Barrot largement réélu député des YvelinesLe ministre Modem Jean-Noël Barrot l'a emporté dimanche 9 octobre au second tour dans la deuxième circonscription des Yvelines avec près de 72 % des votants, face à la candidate Nupes, Maïté Carrive-Bédouani. Certains observateurs affirment néanmoins que nous aurions une part de responsabilité, nous autres Occidentaux, dans le déclenchement de ce conflit.08h52, le 10 octobre 2022 , modifié à 09h13, le 10 octobre 2022 De nombreuses stations-service sont fermées, les files d'attente d'allongent et la France puise dans ses réserves stratégiques.le 1er mois I l y a 15 ans, l'Olympique lyonnais roulait sur la Ligue 1 et était considéré comme un cador européen.Une publication partagée par Jean (@jeanimbert) Jean Imbert aime passer du temps avec Jay Z et Beyoncé Parmi elles, il y a notamment Beyoncé et son mari Jay Z. ... Il y a un seul responsable de cet abyssal désastre et c'est Vladimir Poutine en personne. C'est une réalité : l'OL ne fait plus peur et, encore plus grave, . La pression stratégique de l'Amérique, le suivisme laxiste de l'Europe ? Nous n'avons pas toujours été parfaits dans notre traitement de la Russie, mais la dissymétrie est complète avec l'ordalie qu'il a provoquée." Les files d'attente s'allongent et les automobilistes perdent parfois patience. Une maladie incurable, un accès de démence ? Poutine n'est jamais que le chef et arbitre d'une oligarchie qui a inventé un régime sans précédent : la première"espionnocratie" du monde où les services secrets, héritiers du grand mensonge de 1917, ont pris tous les pouvoirs, politique, économique, culturel, religieux, afin d'assurer leur règne illimité de répression, de corruption et de spoliation. C'était déjà fou quand j'ai cuisiné pour eux à leur premier concert ensemble, etc. Nos gouvernants n'ont-ils pas été trop complaisants à l'égard de Vladimir Poutine ? Nous nous sommes facilement arrangés des graves signaux qui nous venaient du meilleur de la société russe. Le gouvernement tente d'être rassurant et prend plusieurs mesures pour faire face à cette situation : l'ouverture de dépôts de carburant habituellement fermés le week-end et l'augmentation des importations. Les entraîneurs passent, les déceptions, restent, mais surtout la remise en question n'intervient pas. Nous avons pensé que les Russes méritaient un tyran de cette sorte le temps que se déroule leur transition forcément longue vers un peu plus de démocratie. Nous avons fermé les yeux sur le fait que, pour maintenir sa mainmise, ledit tyran a dû jeter en prison, en exil, et désormais sur les routes, les forces vives du pays dont il prétend incarner l'avenir. >> Retrouvez l'entretien de 8h13 en replay et en podcast ici C'est-à-dire face à"une entreprise qui a des ressources financières qui se sont considérablement accrues" et face à"des salariés qui prennent les méthodes traditionnelles en France pour parvenir à leurs fins et avoir une augmentation qu'ils considèrent comme légitime", a poursuivi le député MoDem au micro d'Europe 1 qui espère que la situation va se"calmer assez vite". Significativement, quelques jours avant l'invasion de l'Ukraine , le FSB a fermé Mémorial, la fondation qui travaillait à établir la vérité sur le Goulag. Vincent Ponsot, directeur du football, et Bruno Cheyrou, directeur du recrutement, n'arrivent pas à convaincre et font partie d'un état-major qui n'a cessé de faire reculer l'OL dans la hiérarchie du football français. L'opération visait à oblitérer les crimes d'hier pour absoudre ceux d'aujourd'hui. Un risque d'étincelles sociales ? Face à cette situation, et à un moment où la crise énergétique menace l'Europe, allons-nous vers un risque d'étincelles sociales ?"Je pense qu'il y a un décalage très profond entre l'agenda réformateur et les attentes du peuple français qui sont sur une autre logique", a indiqué le député MoDem.. Nous avons abandonné les Russes à l'amnésie du mal totalitaire dans laquelle les a emprisonnés un despote néo-totalitaire. Nous y avions notre intérêt. On a besoin d'une certaine rigueur. C'était aussi une façon de nous exonérer de nos propres complicités passées, au moins passives, avec le communisme. Cette complaisance a aussi eu une forte résonance dans l'opinion, particulièrement en France. Cazeneuve, le rapporteur général du budget, rappelait qu'on a voté en commission des finances sept milliards de plus d'amendements [et] on ne sait pas comment les financer. Pour quel motif ? A cause d'un net déplacement idéologique. Il fait en sorte de toujours bien cuisiner, avec des produits de saison, pour le bien-être de ses clients mais aussi parce que ça fait partie de ses valeurs. Au temps de l'URSS, une certaine gauche marxisante niait l'existence du Goulag.. Le discours pro-poutinien qui se retrouve aujourd'hui dans les rangs de l'extrême gauche en représente la queue de comète. La nouveauté, c'est qu'à l'inverse de son passé anticommuniste, une certaine droite, elle aussi ultra, a professé une poutinolâtrie aveugle. Intoxiquée par la propagande du Kremlin, elle a endossé la fiction que se serait levé à Moscou un défenseur de l'Occident blanc, conservateur, chrétien. Et de surcroît opposé à l'hégémonie de Washington. LIRE AUSSI >> "Iegor Gran :"Il ne faut jamais oublier que Poutine est un trouillard"" Autrement dit, l'homme providentiel, fort, martial, défiant les artifices supposés du droit et restaurant les valeurs présumées de la tradition qui lui faisait défaut à domicile. Cette vision fantasmatique participait d'une ignorance crasse. Elle omettait que Poutine pouvait aussi bien se faire passer, avec la même apparente conviction, pour le protecteur des muftis, des bonzes ou des bikers de Russie. Ses thuriféraires parisiens ont ainsi été les idiots utiles d'un absolutisme impérial qui les aurait pareillement et violemment asservis à la première occasion. Aucun de ces arguments, selon vous, ne tient. .. Aucun. Les complotistes qui forment le dernier carré du camp pro-poutinien devraient aller au bout de leur aberration : puisque aujourd'hui l'Ukraine existe plus que jamais en tant que nation, que Zelensky paraît un émule de Churchill, que l'Alliance atlantique enregistre de nouvelles candidatures, que l'Allemagne réarme et que l'Amérique est de retour de plain-pied en Europe, ne leur faudrait-il pas déduire que le fauteur de guerre du Kremlin est.. . un agent de la CIA ? Vous voyez pour votre part en Poutine une sorte de mystique nihiliste. Comment en arrivez-vous, au regard de l'histoire des idées, à ce constat ? Pour saisir le vrai pourquoi de sa guerre, il faut chercher, à mon sens, dans son logiciel symbolique. Poutine utilise tout un attirail de références puisé dans les courants spiritualistes qui ont émaillé la quête identitaire de la Russie. Se moquant des contradictions inhérentes à ce bric-à-brac, il cite aussi bien les Slavophiles que les Eurasiens, les libertaires que les réactionnaires, les orthodoxes que les païens. Mais, en nostalgique de l'URSS, il continue ainsi la gnose dont le marxisme a été un avatar moderne. C'est celle du manichéisme, cette structuration religieuse de type dualiste qui repose sur l'opposition absolue entre le bien et le mal. Cette gnose réclame le combat permanent des armées angéliques de la lumière contre les légions sataniques de l'obscurité. Elle appelle la lutte finale, l'apocalypse qui permettra d'anéantir l'autre qui est par essence maléfique. Le moteur de la cruauté de Poutine, c'est la négation de l'altérité. Comme Lénine, il a pour véritables ancêtres les nihilistes russes dont le culte était la Terreur. LIRE AUSSI >> Pourquoi, toutefois, l'Ukraine représente-t-elle un objet de choix pour ce nihilisme ? Kiev, la capitale de la Rus' médiévale, est le lieu du baptême des Slaves orientaux, la source de leur communauté de destin dont la Russie tsariste puis l'Union soviétique se sont arrogé la domination. L'Ukraine, si proche par la langue, l'ethnie, la culture, incarne le double maléfique par excellence. Pire encore, à se vouloir indépendante, elle constitue, par sa superficie et sa population, un rival potentiel. Son péché impardonnable est d'oser penser qu'elle peut exister par elle-même. L'éradication de la vie à Kiev devient alors la condition de la survie de Moscou. Les récits bibliques et les mythes antiques abondent en histoires qui dépeignent des jumeaux dont l'un des deux s'avère de trop et doit être sacrifié. Là encore, le nihilisme gnostique de Poutine fonctionne à plein. Il aboutit à vouloir supprimer l'origine dont il se revendique. Vladimir Poutine n'a pas cessé, pourtant, de varier sur ses buts de guerre. Ses diverses justifications se ramènent-elles à un seul principe ? Parodiant terme à terme le répertoire de la guerre juste, Vladimir Poutine a d'abord invoqué la légitime défense : libérer la Russie de l'encerclement éternel de ses ennemis, cette fois l'Otan. Puis il est passé à l'urgence humanitaire : sauver d'une extermination programmée les populations russophones du Donbass. Ensuite, il a agité la défense impérative de la civilisation : contrer la barbarie nazie résurgente à Kiev. Avant de brandir l'argument théologico-politique : sauver l'orthodoxie condamnée à l'annihilation par le reste de l'univers. Enfin, il est arrivé à son véritable but : la guerre frontale contre l'Occident, autrement dit le diable décadent, déloyal, destructeur - une guerre mondialisée, eschatologique. En quoi, selon le sous-titre de votre ouvrage, le conflit actuel en Ukraine reconduit-il la"guerre millénaire des religions" qu'a connue le continent européen ? L'Ukraine, dont le nom signifie"bordure", se situe sur la ligne de fracture qui court de Riga à Split et sur laquelle, à partir du IXe siècle, les missions carolingiennes et byzantines se sont disputé l'évangélisation des Slaves. Cette ligne a divisé l'Europe de l'Ouest et l'Europe l'Est, antagonisé autour d'elle les Polonais et les Biélorusses, les Croates et les Serbes, unis puis séparé les Tchèques et les Slovaques. Or elle traverse l'Ukraine en son mitan et fait coexister en elle ces deux pôles frontaliers que sont la Galicie, occidentale et catholique, et le Donbass, oriental et orthodoxe. Avec l'apparition du protestantisme, ce sont les trois christianismes qui se sont confrontés sur son territoire. Mais, aussi, en raison de notables présences juives et musulmanes, les trois monothéismes. Enfin, les deux totalitarismes, les deux messianismes séculiers rouge et brun, le stalinisme et le nazisme, s'y sont affrontés et en ont fait une terre de sang, avec l'Holodomor dans les années 1930 et la Shoah dans les années 1940. Si l'histoire politique de l'Ukraine, écartelée entre les empires, ressort en pointillé, son histoire religieuse en tisse l'unité. Vous avez intitulé votre livre La Crucifixion de l'Ukraine . N'assiste-t-on pas plutôt en ce moment à sa résurrection ? Ce conflit inique est porteur de plusieurs révisions importantes. D'abord que le temps des nations n'est pas révolu. Nous voyons au contraire l'une d'entre elles, longtemps minorée, s'affirmer, se construire, se solidifier. Avec un immense héroïsme. Et avec le danger qu'un patriotisme trempé dans l'irruption de la guerre ne se transforme en chauvinisme exacerbé par temps de paix. L'Ukraine a été au XXe siècle une terre de martyrs. Mais aussi de bourreaux. Ce sont des divisions SS galiciennes qui y ont exterminé les Juifs. La place accordée à ce trou noir sera déterminante pour l'avenir du pays. Et pour celui de l'Europe tout entière, dont l'esprit est fondé sur la capacité à se repentir. A court terme, qu'une amélioration des libertés suive mécaniquement l'épreuve des dominations peut se révéler douloureusement illusoire. De même que le successeur de Poutine pourrait être plus asiate que lui, le successeur de Zelensky pourrait être moins européiste que lui. LIRE AUSSI >> Quels autres basculements discernez-vous ? Erdogan refuse aux Arméniens la reconnaissance du génocide. Xi Jinping dissimule aux Chinois son entreprise de destruction des Ouïghoures. Modi entretient les Indiens dans une furie purificatrice de tout ce qui n'est pas hindou. Et Poutine maintient les Russes dans la négation du Goulag. Tous ces autocrates ont en commun de réarmer leur projet néo-impérial en recourant au fait religieux. Mais la faillite spirituelle du patriarche Kirill de Moscou, qui bénit cette sale guerre où des orthodoxes slaves tuent d'autres orthodoxes slaves, montre la limite de cette instrumentalisation. En revanche, l'Occident ressort isolé tant l'universalisme qu'il professe apparaît partout ailleurs contesté. Au Moyen-Orient, en Afrique, en Asie, en Amérique latine, on ne désire pas la guerre, on n'a pas de bons souvenirs de l'URSS, on n'aime pas Poutine, mais il ne déplaît pas, à bas bruit, que le Kremlin heurte de plein fouet l'hégémonie occidentale jugée arrogante. L'enjeu ultime n'est-il pas la réconciliation entre un Orient et un Occident qui peinent à se comprendre ? D'ailleurs, peut-on encore être russophile aujourd'hui ? Oui. Si l'on comprend un point essentiel. Que Poutine est le premier ennemi de la Russie. Et si l'on observe un phénomène édifiant. Que les Russes qui n'ont pas été lobotomisés par le régime risquent tout pour désespérément démontrer qu'ils résistent à son emprise. A l'issue de cette guerre terrible, il faudra aider l'Ukraine à se reconstruire. La Russie, à se réparer. Et l'Europe à se réformer. Il y a eu un malentendu majeur en 1989 : l'Ouest a interprété l'élan des peuples de l'Est quittant le giron soviétique comme une volonté d'entrer dans la sphère de la globalisation libérale. Pour eux, il s'agissait avant tout de recouvrer leur identité nationale niée par le communisme. Poutine a voulu porter ce hiatus à son paroxysme. Il nous reste à le détromper. Sur le même sujet .