On a rencontré Daisy le robot recycleur d iPhone qui veut miner vos fonds de tiroirs pour sauver la planè te İphone HEAD TOPICS
On a rencontré Daisy le robot recycleur d iPhone qui veut miner vos fonds de tiroirs pour sauver la planè te
22/10/2022 15:10:00 Il est temps de miner vos fonds de tiroir pour la planè te #iPhone
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Il est temps de miner vos fonds de tiroir pour la planète. iPhone Apple porte bien sûr en son sein bien des péchés environnementaux du capitalisme exponentiel, celui qui mise sur la croissance infinie. Néanmoins, parmi les Big Tech, les fabricants de produits connectés, il est de ceux qui font le plus d’efforts pour tenter de préserver notre planète. Nous avons eu la possibilité de voir son robot démonteur d’iPhone, et d’entendre son troublant appel à vider nos tiroirs. Une question d’autant plus urgente que le monde du recyclage, constatait Apple à l’époque, n’avait quasiment pas évolué depuis sa mise en place pour l’électroménager ou l’électronique classique. Autrement dit, les chaînes des principaux acteurs du recyclage ne prenaient pas en compte le grand changement qu’est le smartphone. Car nos téléphones intelligents n’ont pas seulement changé nos vies, mais aussi les volumes et besoins en matière de recyclage… Lire la suite:
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Ça fait des années qu'apple se moque du monde....pourvu que ça dure 😜 Bréda est une petite ville des Pays-Bas, avec son parc parcouru mollement par des canards impavides, sa reddition immortalisée par Vélasquez, ses pistes cyclables où les vélos filent sans se soucier des voitures, et avec, aux matins d’automne, un fin manteau de brume qui monte de la Mark et de l’Aa.Apple Watch Ultra VS Apple Watch Series 8 en bref : meilleur design : Series 8 Ultra pour la plongée plus de capteurs sur Ultra fonctionnalités similaires Pour commencer, parlons de l’écran tactile.Jusqu’à 120 Gb par seconde : c’est la vitesse promise par la prochaine génération de câbles Thunderbolt, annoncée dans un communiqué de presse par Intel.Voir le test Voir plus d'offres La firme de Cupertino vient tout juste d'opérer un rafraîchissement de sa gamme de tablettes avec l'ajout d'un nouvel iPad Pro équipé d’une puce M2 et d'un tout nouvel iPad d'entrée de gamme. Puis vient le soleil de Bréda. C’est sous cette brume et ce soleil qu’Apple a installé Daisy. La version qui suit la Series 7 est également déclinée dans une mouture plus compacte avec une dalle de 352 par 430 pixels, qui ne fait clairement pas le poids face aux deux autres. La troisième génération de robot démonteur d’iPhone que ses ingénieurs ont mis au point, et que nous avons eu l’occasion de voir à l’œuvre tout récemment. Cette machine permet de talonner les 40 Gb par seconde avec Thunderbolt selon son fabricant, grâce à trois ports USB-C intégrés sur la tranche. Il y a deux Daisy au monde, le premier se trouve à Austin, au Texas, et le second fait donc le siège de Bréda. Si vous avez l’habitude des hauts sommets en plein soleil, ceci fera vraiment la différence. Il est accolé à un centre de logistique et de réparation d’iPhone, pour la simple et bonne raison qu’on lui confie les smartphones d’Apple sans espoir, ceux qui sont trop vieux, trop tordus, trop cassés pour être réparés et remis sur le circuit. À la place, l'iPad 10e génération se cantonne à une compatibilité unique avec le stylet de première génération d'Apple. Ceux qui n’ont plus d’autre avenir que d’être désossés et recyclés au mieux. Même en prenant en compte la fonctionnalité Toujours activé qui est disponible sur les deux modèles. Un véritable avantage pour des publics comme les producteurs , les développeurs, les traders ou encore les graphistes adeptes du multitâches. Un renouveau vital : un recyclage à l’heure des smartphones Car, c’est là tout l’enjeu évidemment. Apple a mis sur le marché entre 2012 – année de lancement de l’iPhone 5 – et 2018 (dernière année où il a communiqué de manière détaillé ses volumes de produits écoulés), l’équivalent de 1,322 milliard de smartphones et il fallait gérer l’après-vie de ces produits. Cette fois-ci, la balance peut s’inverser : une Apple Watch Ultra au poignet, c’est lourd et large. Alors que le nombre annuel d’iPhone vendus franchissait allègrement les 100 millions, puis les 200 millions pour se caler à environ 240 millions désormais, un enjeu écologique (et économique) s’est imposé à Apple : comment recycler ces montagnes d’appareils ? Une question d’autant plus urgente que le monde du recyclage, constatait Apple à l’époque, n’avait quasiment pas évolué depuis sa mise en place pour l’électroménager ou l’électronique classique. Pour le moment, on ne sait pas précisément quand le Thunderbolt 5 sortira mais Intel assure vouloir nous apporter plus de détails à ce sujet dès l’an prochain . Autrement dit, les chaînes des principaux acteurs du recyclage ne prenaient pas en compte le grand changement qu’est le smartphone. L’Apple Watch Series 8, pour sa part, est plus légère et plus discrète. Il faut dire que certains choix, qui peuvent sembler évitables, relèvent finalement d'un souci de cohérence de gamme ou tout simplement d'une logique économique pour l'entreprise. Car nos téléphones intelligents n’ont pas seulement changé nos vies, mais aussi les volumes et besoins en matière de recyclage… Un monde où on utilisait et utilise encore des moyens pas toujours très bien pensés et surtout adaptés. Les « shredders » ne sont pas très pertinents dans le cas d’un smartphone. De plus, même si l’Apple Watch Ultra est fabriquée en titane contre de l’acier inoxydable ou de l’alu avec l’Apple Watch Series 8 , cette dernière l’emporte côté coloris. En effet, d’après l’entreprise californienne, la dernière génération de DisplayPort (version 2. Il faut dire que ces grosses roues dentées, qui déchiquettent les boîtiers des robots électroménagers pour séparer les quelques composants électriques du plastique en produisant des morceaux d’environ 2,5 cm ont bien de la peine avec des appareils si fins et compacts que nos smartphones. Les tapis vibrants, pas plus que les rouleaux d’acier, davantage adaptés au recyclage des vieux ordinateurs ne sont pas adaptés. Malgré tout, vous pourrez aller encore plus loin dans la personnalisation grâce aux centaines de bracelets tiers. Le système de projection d’air pour écarter les films plastiques, autre grand classique, n’est pas d’une grande aide non plus, pas plus que les séparateurs magnétiques qui permettent de faire le tri entre les pièces métalliques et le reste. Une excellente nouvelle pour la planète, surtout quand on sait qu’Apple ambitionne de passer au zéro émissions de gaz à effets de serre d’ici à l’année 2030. Une constatation s’est donc imposée rapidement à Apple : il allait falloir inventer un système plus efficace, pensé pour l’ère des smartphones. La montre intègre en effet un profondimètre et son thermomètre fonctionne aussi sous l’eau, ce qui n’est pas le cas de la Series 8. C’est au cœur de son Material Recovery Lab et de sa ligne pilote que des ingénieurs, dont certains sont arrivés avec leur expérience dans la production des iPhone, que tout a commencé à se jouer. A la main d’abord, pour repérer les étapes les plus difficiles, puis en automatisant les processus, peu à peu, progressivement jusqu’à aujourd’hui… Apple – Les batteries sont décollées des iPhone et récupérées par des opérateurs humains dans les petits silos cylindriques qu’on voit en bas de l’image. Les passionnés pourront atteindre cent mètres de profondeur avec ce modèle au poignet. i-nfo. Dernier représentant d’une petite décennie d’efforts Car, Daisy est l’aboutissement d’un héritage et le fruit d’une année de travail seulement. Un temps de développement record qui a été rendu possible grâce à l’expérience acquise avec les deux versions de Liam qui l’ont précédé. Le suivi du sommeil, du taux d’oxygène dans le sang ou les électrocardiogrammes sont proposés sur les deux versions. La première itération de Liam, développée entre janvier 2013 et septembre 2014, était une sorte de preuve de concept, capable de démonter un iPhone 5 en douze minutes. Liam 2, conçu entre janvier 2015 et mai 2016, mesurait 30 mètres de long, s’attaquait aux iPhone 6 seulement, et en venait à bout en 11 secondes ! Daisy est donc l’héritière de cette courte mais vive lignée. Rappelons toutefois que les Apple Watch Ultra et Series 8 ne sont en rien un dispositif médical et qu’un conseil de professionnel de santé reste indispensable. Ce robot est d’ailleurs plutôt une sorte de mini-chaîne de production, ou plutôt de déproduction d’iPhone. Elle comporte quatre étapes essentielles qui vont permettre à un smartphone d’être démantelé en 18 secondes environ – 18 secondes d’activité, car, une des phases requiert 30 secondes pendant laquelle il faut patienter. Comptez jusqu’à trente-six heures avec l’Apple Watch Ultra contre deux fois moins avec une Series 8 à bloc. Un démontage d’iPhone commence par son identification automatique alors qu’il défile sur un court tapis roulant. Une fois reconnu parmi les 22 modèles compatibles (de l’iPhone 5 aux iPhone 13), afin d’opérer le démontage en respectant les plans et spécificités, une pince va venir saisir l’iPhone pour l’approcher d’une sorte d’ouvre-boîte, qui va se débarrasser des deux vis qui bloquent l’écran, puis utiliser une sorte de racloir en acier pour détacher l’écran et les éléments qui y sont attachés. Laquelle a le meilleur processeur ? Aucune différence ne permet de comparer Series 8 et Apple Watch Ultra en matière de performances brutes. Cela clôt la première étape, et laisse les entrailles de l’iPhone bien visibles. On voit alors clairement la batterie. Sous le capot de chaque montre, Apple a intégré une carte mère S8 en 64 bits pouvant faire tourner des dizaines d’apps en arrière-plan sans broncher. La deuxième étape, phase clé, consiste à détacher cette batterie. Elle est maintenue en place par des bandes de colle très forte. L’option est payante sur la Series 8 (+120 euros) mais elle est incluse d’office avec l’Apple Watch Ultra. Pour en venir à bout sans prendre trop de risque, les ingénieurs d’Apple utilisent un jet d’air extrêmement froid, à environ -80°C. C’est cette étape qui demande une petite pause de 30 secondes. Celle-ci est audible jusqu’à 180 m de distance, soit beaucoup plus comparé au petit haut-parleur de la Series 8. Quand le froid a fait son effet, un bras va alors secouer l’iPhone jusqu’à ce que la batterie en tombe. Elle sera alors récupérée manuellement dans un sas par un opérateur humain. En effet, si on se concentre beaucoup sur la partie robotique, il faut préciser qu’il faut trois ou quatre personnes pour accompagner Daisy dans sa tâche. Pour mettre les iPhone à démonter dans une trappe, par exemple, pour préparer sommairement les batteries pour leur transport vers des spécialistes du recyclage, également, ou pour séparer les boîtiers en fonction de la qualité de leur aluminium… La troisième étape ne fait pas dans la dentelle et rappelle clairement que ses iPhone ne sont plus en état de fonctionner. Il faut en effet maintenant ôter les nombreuses vis qui maintiennent en place les composants ou les renforts structurels des iPhone. Plutôt que d’utiliser un bras pour ôter chaque vis au risque d’être coincé en cas de tête défectueuse, les ingénieurs d’Apple ont opté pour une solution plus radicale. Un pic d’acier va venir perforer en quelques secondes et très précisément les différents emplacements des vis. Le boîtier est évidemment transpercé dans le même temps, mais peu importe, il ne servira plus jamais et sera certainement refondu par un recycleur partenaire. Vient alors la quatrième étape, la dernière. Les composants ne sont plus fixés et peuvent donc être détachés. Le boîtier est alors secoué et les éléments tombent sur un tapis roulant qui va permettre de les séparer. Suivre le dernier voyage d’un iPhone est impressionnant, presque… émouvant. Voir les bacs gigantesques emplis de modules caméras nous a fait penser, un brin lyrique, au célèbre monologue de Rutger Hauer, dans Blade Runner . C’est qu’ils en ont vu des choses, eux aussi, ces iPhone, peut-être pas ausis exotiques et lointaines que « de grands navires en f eu, surgissant de l’épaule d’Orion » ou « des rayons fabuleux, des rayons C, briller dans l’ombre de la Porte de Tannhäuser… » , mais des vies ont été saisies par ces yeux désormais morts. Quoi qu’il en soit l’enchaînement des étapes est rapide, précis, rythmé par les chocs sourds des pistons et de la machinerie qui s’anime quand Daisy est à sa tâche. On est loin des pillons des usines Schneider qui secouaient une ville entière, évidemment, mais il y a là quelque chose de fascinant, d’inéluctable. Apple a mis au point une chaîne automatisée, et parfaitement adaptée, à la déconstruction de ses iPhone. Il y a dans ces quelques mètres cubes de robotique à la fois une somme d’intelligence humaine assez impressionnante, et également la manifestation d’une véritable motivation. Un objectif ambitieux, un cercle vertueux Ou peut-être faudrait-il dire plusieurs motivations. Commençons par celle qui nous a, d’une certaine manière, le plus surpris. Tous les travaux et recherches qui tiennent Daisy debout sont accessibles gratuitement. Apple licencie sans charge ces technologies pour que ses concurrents ou tout acteur du recyclage qui le souhaite puissent adopter ces méthodes, nous a-t-on assuré. Une démarche qui semble d’autant plus logique que les ingénieurs d’Apple qui travaillent sur Daisy collaborent beaucoup avec des universités et des écoles spécialisées. Sur ce point, il y a clairement une volonté de créer une réaction en chaîne, un effet domino, de faire en sorte que les autres acteurs du monde de l’électronique copient et suivent les pas d’Apple, voire qu’ils aillent plus loin. L’autre motivation est économique. Cet effort doit être réalisé à égalité de coût, car il ne faut oublier – difficile en ce moment – qu’Apple est une société capitalistique. Il y a donc derrière chacun de ses projets une réalité financière. Et les projets environnementaux n’échappent pas à cette règle. Toutefois, Apple a sur ce point une position claire, à défaut d’être originale. C’est Tim Cook, qui a eu l’occasion de l’expliciter, il y a presque dix ans, en 2014, face à un groupe d’actionnaires climatosceptiques qui s’opposait à des projets environnementaux qui n’auraient pas de bénéfices financiers. Le patron d’Apple expliquait alors que les deux approches étaient conciliables, avant de se lancer dans une tirade mémorable : « Nous faisons beaucoup de choses qui ne sont pas motivées par les profits. […] Nous faisons des choses parce qu’elles sont juste, et que c’est ce que nous sommes. C’est ce que nous sommes en tant que société. […] Quand je pense aux droits de l’Homme, je ne pense pas au retour sur investissement (en l’espérant que l’inverse ne soit pas vrai, NDLR), […] et dans un même esprit, je ne pense à la protection de l’environnement par le prisme du retour sur investissement » . Une sortie qui s’était conclue par une proposition assez claire : si vous n’êtes pas d’accord, devenez actionnaire d’une autre société. Apple – Un bras des bras articulés qui permettent à Daisy de saisir les iPhone à démonter. Apple – Tout commence par le retrait de l’écran. En l’espèce, il ne faut pas être béat, évidemment, mais pas non plus oublier que dans ce domaine Apple est réellement un des concepteurs de produits les plus avancés. Inutile de le nier, oui, il y a évidemment des intérêts économiques à recycler les matériaux contenus dans un smartphone. Apple en liste 14. Certains, comme l’or, le cobalt, le cuivre ou l’acier, sont facilement recyclables. D’autres ont un destin qui dépend vraiment des acteurs du recyclage à qui on les confie, on parle notamment de l’aluminium, du papier, du plastique, du verre ou encore du zinc. Et enfin, les derniers demandent le plus de précision dans le tri et dans le recyclage, il s’agit entre autres des terres rares, du lithium, du tantale ou du tungstène, plus difficiles à récupérer. D’ailleurs, pour ces derniers, Apple a conçu deux autres robots, installés en Asie et nommés Dave et Tess, qui permettent notamment de récupérer certains matériaux précieux dans les Taptic Engine de nos iPhone… Mais derrière ces intérêts économiques flagrants, il y a aussi une volonté écologique réelle. Celle d’arriver à termes à ne plus miner certains matériaux, pas plus qu’il ne sera question de produire du nouvel aluminium, malgré . Car, Apple s’est fixé un objectif très ambitieux, que la totalité de son activité soit neutre du point de vue de l’empreinte carbone d’ici 2030 . Cette neutralité s’applique aussi et surtout à ses produits, sur tout leur cycle de vie. De la fabrication, qui a le plus lourd impact en énergie et effets environnementaux, au recyclage. Le géant de Cupertino veut atteindre une sorte de chaîne d’approvisionnement circulaire qui reposerait sur quatre étapes fondamentales. La première, s’il faut en choisir une, est l’approvisionnement , sourcé et ayant le moins d’impact possible. La deuxième étape est l’efficacité , énergétique notamment, lors de la fabrication, grâce à de nouvelles méthodes et approches. C’est là aussi que .