J aimerais parfois que Macron franchisse le Rubicon lance Sarkozy dans le JDD

J aimerais parfois que Macron franchisse le Rubicon lance Sarkozy dans le JDD

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« J' aimerais parfois que Macron franchisse le Rubicon» lance Sarkozy dans le « JDD»

23/10/2022 00:51:00

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Europe 1

«J'aimerais parfois que Macron franchisse le Rubicon», lance Sarkozy dans le «JDD» Nicolas Sarkozy a accordé un entretien exclusif au Journal du dimanche (JDD). Dans une interview fleuve, l'ancien président de la République revient sur son soutien affiché à Emmanuel Macron lors de la présidentielle et les premiers mois de son second quinquennat. Il évoque également l'affaire Lola, les OQTF, la guerre en Ukraine ou encore la crise de l'énergie. d'avoir glisser un bulletin au nom d'Emmanuel Macron lors du second tour de la présidentielleSur Emmanuel Macron :"J'aimerais parfois qu'il franchisse le Rubicon"Usage du 49.3 : pour Nicolas Sarkozy, son recours «est une forme de faiblesse» "J’ai appris avec effarement ce qui était arrivé à Lola. J’ai, comme tout père d’une petite fille du même âge, pensé que cela aurait pu lui arriver", affirme Nicolas Sarkozy dans le JDD."Les fous, les barbares, hommes ou femmes, cela a toujours existé. J’aimerais qu’on ne mélange pas tout", continue l'ex-chef de l'État, rejetant la question sensible du faible taux d'exécution des OQTF dans cette affaire. Lire la suite:
Europe 1 » Dans une tribune, 53 députés LR indiquent qu'ils ne voteront pas les motions de censure lundi A quoi va ressembler le «JDD Magazine», le nouveau magazine mensuel du «JDD» ? Noël : 22 idées de cadeaux à offrir à un ado pour lui faire plaisir à coup sûr ! Malgré sa centrale nucléaire, Gravelines a une facture XXL d’électricité

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« Coaching gagnant », c'est le podcast du Crédit Agricole, présenté par Grégory Ascher. Le présentateur de l'Équipe de Greg, vous fait découvrir les petits secrets de coaches sportifs qui, au quotidien, accompagnent d'immenses champions, des stars de cinéma... ou même des astronautes. Lire la suite >> Ok, tes conseils, tu sais où tu peux te les mettre... NicolasSarkozy une racaille dans le leJDD Qu'il franchise le Rubicon - c'est-à-dire s'installer comme 'Dictateur de la République' - suivant l'exemple de César?... Nan mais qu'est-ce que c'est que ce bintz?! Sarko a un pet au casque ou bien?... Ça en dit long… ça cache des choses…? VeroniqueWache Dans une tribune, 53 députés LR indiquent qu'ils ne voteront pas les motions de censure lundiDans les colonnes du JDD, les élus ont appelé le gouvernement à 'apprendre à entendre' les propositions de la droite. On en doutait😂😂😂😂bon ben il viennent du même parti que BrunoLeMaire .....des lâches..... Ça devrait être étonnant mais on est pas étonné Vu leur absentéisme…on verra s’ils sont là pour voter A quoi va ressembler le «JDD Magazine», le nouveau magazine mensuel du «JDD» ?Le "JDD" lance une nouveauté : le "JDD Magazine", un magazine mensuel qui sera vendu avec l'hebdomadaire, un dimanche par mois. Le "JDD Magazine" aura pour fil rouge la littérature et se structurera en trois parties : une sur le livre, une sur l'enquête et une dernière sur l'art de vivre. Le premier numéro sera en kiosques ce dimanche.  Noël : 22 idées de cadeaux à offrir à un ado pour lui faire plaisir à coup sûr !On sait que les ados sont parfois difficiles, on a donc fait un travail d’enquête minutieux pour dénicher les cadeaux les plus tendances de l’année 2022, rien que pour eux. Malgré sa centrale nucléaire, Gravelines a une facture XXL d’électricitéLe maire de la commune de Gravelines, dans le Nord, lance un appel au gouvernement après avoir vu la facture d'électricité de sa ville bondir de 70% ...mais QUI TWEET pour 👀?! Emmanuel Macron présente son plan électriqueLe Président Macron vient d’annoncer une aide supplémentaire pour le passage à l’électrique. Son plan électrique !! Je vais m'acheter comment une voiture électrique avec 1450 euros mensuel pauvre imbécile Comme disent les anciens très sagement: « Il ne faut pas mettre tous les œufs dans le même panier »… Ce plan électrique est un suicide… Il faut au contraire diversifier au maximum… Électricité, gaz, hydrogène, pétrole, il faut de tout pour éviter une rupture… 🙄 FOG – La dépression du présidentÉDITO. Loin d’être une personnalité forte et dominatrice, Macron, empêtré dans les différentes crises, semble avoir baissé les bras. Continuez les gars il va craquer ce chien ! Moi diriger français d'une main de maître du haut de mon trône avec BRIGITTE ! Où comment victimiser l'autoritarisme pour le rendre débonnaire... MacronieFacts IlsNousPrennentPourDesCons ,"un acte ignoble", et s'agace de la part importante des Obligations de quitter le territoire (OQTF) qui ne sont pas exécutées., les élus ont appelé le gouvernement à"apprendre à entendre" les propositions de la droite.Le"JDD" lance le"JDD Magazine" ce dimanche © JDD Copié Louise Bernard, avec Solène Delinger 09h56, le 21 octobre 2022 Le "JDD" lance une nouveauté : le "JDD Magazine", un magazine mensuel qui sera vendu avec l'hebdomadaire, un dimanche par mois.Noël , mieux vaut s’atteler à la tâche le plus tôt possible. Europe 1 propose quelques passages forts de cet entretien. Sur son soutien à Emmanuel Macron :"Si c'était à refaire, je le referais" Nicolas Sarkozy ne regrette pas d'avoir glisser un bulletin au nom d'Emmanuel Macron lors du second tour de la présidentielle . "Parce que nous respectons le vote des Français du 19 juin, et que la nouvelle Assemblée nationale a siégé huit semaines, nous ne déposerons pas et nous ne voterons pas de censure", soulignent ces 53 parlementaires, sur les 62 que compte le groupe LR."Comme chacun le sait, je l'ai soutenu.  Le JDD Magazine sera un magazine mensuel, vendu avec l’hebdomadaire, un dimanche par mois. Et si c'était à refaire, je le referais", explique l'ancien président. Ajouter une crise politique et institutionnelle serait irresponsable", insistent-ils, dans ce texte initié par le député des Ardennes Pierre Cordier et publié sur le site du JDD samedi soir. Qui poursuit :"La politique n’est jamais un choix de valeur absolue, toujours un choix de valeur relative. Elle a l’avantage d’être ultra compacte tout en offrant la technologie 4K HDR. " S'il"ne voulait pas" de Jean-Luc Mélenchon ou de Marine Le Pen, l'homme politique de 61 ans estime que d'aider Macron était"dans l'intérêt de la France, la meilleure décision possible". Nous combattons avec nos convictions et nous continuerons à mettre nos propositions sur la table, sur le pouvoir d'achat, sur le coût de l'énergie pour les entreprises, sur un bouclier tarifaire pour les ménages", poursuivent ces élus. Sa particularité est son fil rouge : le livre, la littérature. Toutefois, il garde une certaine distance avec l'actuel locataire de l'Élysée."Est-ce à dire que je suis d’accord avec tout, ou satisfait de tout ? C’est une autre histoire", avance-t-il à nos confrères du JDD. S'il n'a pas de majorité, ce n'est pas parce que les Français se seraient trompés en votant, c'est parce qu'ils lui demandent d'apprendre à écouter", selon eux. Lors de cette présidentielle, la candidate des Républicains, Valérie Pécresse, a réalisé un score extrêmement bas au premier tour. On voit beaucoup de bascule dans la société, de phénomènes forts ou émergents qui viennent souvent se cristalliser dans un bouquin", explique au micro d'Europe 1 Stéphane Albouy, directeur de la rédaction du JDD."Pour pouvoir choisir un candidat au second tour, encore fallait-il qu’il y soit qualifié. Cette attitude est d'autant plus irresponsable que la remontée des taux d'intérêt fait courir un risque considérable sur la soutenabilité de notre dette", mettent-ils en garde. Ou qu’il ait une chance crédible de l’être", assène l'ancien président de la République. Sur Emmanuel Macron :"J'aimerais parfois qu'il franchisse le Rubicon" S'il souligne les qualités"de sang-froid, de mesure et d'expérience" d'Emmanuel Macron, tout en rappelant qu'il vient de la gauche, Nicolas Sarkozy"aimerait parfois qu'il franchisse le Rubicon de façon plus franche, car la France est aujourd’hui majoritairement du côté du parti de l’autorité, de la fermeté, de la liberté (. Elles n'ont quasiment aucune chance d'être adoptées. Donc voilà, pour toutes ces raisons, on s'est dit que le livre allait être au cœur de notre projet", poursuit-il...). C'est-à-dire ce que les écrivains et les auteurs disent de notre société, de notre époque. Si j’avais un souhait, c’est que la matrice politique du président se rapproche davantage de la matrice du pays telle que je la ressens", ajoute-t-il. >> LIRE AUSSI Usage du 49.3 : pour Nicolas Sarkozy, son recours «est une forme de faiblesse» Pour qu'il franchisse ce Rubicon, l'ancien président des Républicains note qu'Emmanuel Macron"a des intuitions et une expérience incontestables. Le premier à prendre la plume est. Mais j’observe qu’il peut parfois avoir la tentation de s’arrêter au milieu du gué. Ce sont les inconvénients du 'en même temps'", tacle Nicolas Sarkozy. Le meurtre de Lola,"un drame absolu" "J’ai appris avec effarement ce qui était arrivé à Lola. J’ai, comme tout père d’une petite fille du même âge, pensé que cela aurait pu lui arriver", affirme Nicolas Sarkozy dans le JDD."Les fous, les barbares, hommes ou femmes, cela a toujours existé. J’aimerais qu’on ne mélange pas tout", continue l'ex-chef de l'État, rejetant la question sensible du faible taux d'exécution des OQTF dans cette affaire. "La non-exécution des décisions de quitter le territoire n’est pas la question. J’aurais été tout autant bouleversé si cet acte ignoble avait été commis par un Français", appuie l'ancien locataire de l'Élysée. Pour lui,"la mort de Lola, quel que soit le criminel, est un drame absolu. Mais je veux ajouter que si Lola était toujours en vie, je serais quand même scandalisé par la non-exécution des reconduites à la frontière", tient-il à ajouter. "À mon époque, les OQTF n'étaient pas à 6% d'exécution" Dans l'affaire du meurtre de Lola, la principale suspecte était concernée par une Obligation de quitter le territoire."Cela fait longtemps qu’on aurait dû se préoccuper de la non-exécution des reconduites à la frontière", expose Nicolas Sarkozy, revenant sur son passage à l'Élysée. "J’avais changé la législation. J’ai été littéralement insulté pendant les cinq années de mon mandat par tous les 'droits de l’hommistes' parce que nous allions jusqu'à organiser des charters de reconduite dans les pays d’origine." Avant de pointer du doigt le bilan de"successeur immédiat", sous-entendu François Hollande."À mon époque, les OQTF n’étaient pas à 6% d’exécution, même s’il y avait des progrès à faire. Tout l’arsenal législatif pour lutter contre l’immigration irrégulière que nous avions mis en place a été systématiquement démantelé par mon successeur immédiat. Gérald Darmanin a raison de réclamer davantage de fermeté", assure Nicolas Sarkozy. Sur la poursuite de la guerre en Ukraine : il faut"hélas" s'en inquiéter L'ancien chef de l'État aborde également la guerre en Ukraine , et pour lui, il faut"hélas !" s'inquiéter."J’aimerais qu’un jour, quelqu’un m’explique ce que veut dire 'faire la guerre sans la faire'", lance-t-il."S’il y a une notion qui devrait exiger de la clarté, c’est celle de la guerre et de la paix. Soit on fait la guerre, soit on fait la paix. Allier les deux n’a pas grand sens. En tout cas, quand on les utilise en même temps", expose Nicolas Sarkozy. >> LIRE AUSSI Catherine Nay raconte l'histoire de Nicolas et Cécilia Sarkozy dans un nouvel épisode d'«Inséparables» Il affirme en outre qu'Emmanuel Macron"a parfaitement raison de vouloir conserver le contact avec Vladimir Poutine. Comment arrêter la guerre sans parler aux belligérants ?", ajoute celui qui avait notamment rencontré le maître du Kremlin en tant que président de la République, en juin 2007. Sur la crise de l'énergie : le résultat d'un"choix stratégique irresponsable" Parmi les sujets évoqués avec nos confrères du JDD, Nicolas Sarkozy s'est exprimé sur la crise énergétique que traverse la France. Si le pays est menacé par des coupures d'électricité cet hiver, pour l'ex-locataire de l'Élysée, ce risque"est le résultat d’un choix stratégique irresponsable, en rupture complète avec l’histoire de la Ve République. Tous les présidents, y compris François Mitterrand (...) ont soutenu le nucléaire. Jusqu’à François Hollande qui, pour séduire les écologistes, a pris le risque insensé de suspendre l’avenir de filière nucléaire française", fustige Nicolas Sarkozy. >> LIRE AUSSI Les coulisses du déjeuner entre Nicolas Sarkozy et Éric Zemmour Toutefois, quand il a été décidé de fermer la centrale de Fessenheim sous le premier quinquennat Macron,"le train était hélas bien lancé quand (Emmanuel Macron) a pris en main les rênes de l’État. Depuis, il a changé d’avis… dans le bon sens", remarque l'homme politique, qui garde donc un œil avisé sur la vie politique française. .
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