Le suicide de M salari gr viste de RTE a t il t instrumentalis par une partie de la gauche ? Suicide Greves

Le suicide de M salari gr viste de RTE a t il t instrumentalis par une partie de la gauche ? Suicide Greves

Le suicide de M salarié gré viste de RTE a-t-il é té « instrumentalisé » par une partie de la gauche Suicide - Greves HEAD TOPICS

Le suicide de M salarié gré viste de RTE a-t-il é té « instrumentalisé » par une partie de la gauche

22/10/2022 22:31:00

Le suicide de M salarié gré viste de RTE a-t-il é té « instrumentalisé » par une partie de la gauche 👉 En septembre, l'agent avait été entendu par la justice après avoir participé à un mouvement social. @CheckNewsfr

Suicide Greves

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Libération

Le suicide de M., salarié gréviste de RTE, a-t-il été «instrumentalisé» par une partie de la gauche ? En septembre, l'agent avait été entendu par la justice après avoir participé à un mouvement social. CheckNewsfr Un jeune agent du gestionnaire du réseau électrique s’est donné la mort cette semaine. En septembre, il avait été entendu par la justice après avoir participé à un mouvement social. Son décès a donné lieu à de nombreuses réactions. Emma DonadaDès qu’il a été connu, dans un climat social éruptif, le décès de M. a été l’objet d’un vif émoi en ligne, dans les cercles militants locaux, puis nationaux. M. avait participé, comme de nombreux collègues de l’Ouest, à «La répression a assassiné […] un jeune de 28 ans. M. était un des électriciens de RTE poursuivi par l’antiterroriste pour avoir fait grève. Il s’est donné la mort suite à cette poursuite ignoble par l’Etat.» Lire la suite:
Libération » Un avion rate son atterrissage à Orly avec une ministre à son bord Jamel Debbouze et son handicap : cette technique étonnante pour changer les couches de son fils La famille de Lola demande d'arrêter d'utiliser «son nom et son image à des fins politiques» Affaire Lola : la famille demande d’arrêter d’utiliser 'son nom et son image' à des 'fins politiques'

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Ils ne peuvent cultiver que trois mois par an. Car les trois quarts de l’année, ce sont les troupeaux des propriétaires terriens qui occupent la terre. Jean-Pierre Duret et Andrea Santana ont fil... Lire la suite >> CheckNewsfr Et si nous, simple citoyens ,nous pouvions nous tenir un peu éloigné de ces soubresauts de l’histoire ? Un avion rate son atterrissage à Orly avec une ministre à son bordUn avion de la compagnie Fly Amelia a fait une sortie de route, jeudi soir, en raison de conditions météorologiques défavorables. À son bord se trouvait la ministre déléguée chargée des collectivités territoriales, Caroline Cayeux. Jamel Debbouze et son handicap : cette technique étonnante pour changer les couches de son filsInvité de Hot Ones sur Canal + ce lundi 17 octobre, Jamel Debbouze a révélé l'étonnante conséquence qu'a eu son handicap sur son rôle de père. La famille de Lola demande d'arrêter d'utiliser «son nom et son image à des fins politiques»La famille de la jeune Lola, tuée à Paris vendredi dernier, a demandé dans un communiqué publié ce vendredi, d'arrêter les récupérations du drame à des fins politiques. Une demande qui fait suite aux rassemblements du Rassemblement national et de Reconquête! ce jeudi, en mémoire de la collégienne dont le corps a été retrouvé dans une malle. On va attendre la prochaine victime pour réagir...A merde non plus alors la suivante...Oh toujours pas alors celle d'après..La France a peur les gars.C'est pas l'image de la petite le problème c'est que l'on a peur pour nos enfants et pour nous.Les crimes sont là depuis longtemps La mort de leur fille leur appartient, mais l'assassinat d'une enfant de 12 ans par un monstre algerien sous OQTF, appartient aux français qui expriment eux aussi leur douleur et leur incomprehension. BFMTV est concerné aussi ? Affaire Lola : la famille demande d’arrêter d’utiliser 'son nom et son image' à des 'fins politiques'Une semaine après la découverte du corps de l'adolescente de 12 ans, tuée dans des conditions atroces à Paris, le drame a pris une tournure très politique avec notamment l'organisation d'une manifestation en présence, entre autres, d'Éric Zemmour lors de laquelle certains manifestants portaient des pancartes sur lesquelles figurait le visage de la collégienne. Apparemment c'est faux, à vérifier. Quelqu'un peut il m'expliquer pourquoi le crime de cette petite Lola est montée en épingle par le monde politico-médiatique ? J'aimerais comprendre ... ... et cela continue ,jusqu'à la prochaine ! Meghan Markle : son geste mode pour montrer son soutien aux femmes iraniennesPour montrer son soutien aux femmes en Iran, Meghan Markle a porté une pièce mode forte de sens lors de sa dernière apparition publique. Équipe de France : l'OM, Zidane, son parcours, sa retraite, son avenir...Les confidences de Ribéry !Officiellement retraité depuis hier, Franck Ribéry s'est confié à la presse italienne. Un jeune agent du gestionnaire du réseau électrique s’est donné la mort cette semaine.Un avion sort de la piste à l’aéroport de Montpellier, fermé pour une durée indéterminée L'atterrissage de l'avion de la compagnie Fly Amelia sera effectivement très mouvementé.très compliqué de changer les couches pour moi ", lâche-t-il à son interlocuteur, avant d'expliquer : " Il ne faut pas oublier, Kyan, que je ne peux pas bouger le bras ".La famille de Lola, tuée à Paris le 14 octobre , a demandé vendredi que"cesse instamment, et soit retirée, toute utilisation du nom et de l'image de leur enfant à des fins politiques", lors des manifestations et sur Internet, a indiqué leur avocate dans un communiqué. En septembre, il avait été entendu par la justice après avoir participé à un mouvement social. Son décès a donné lieu à de nombreuses réactions, parfois sur la base de fausses informations. L’avion ne ralentissait pas et faisait des zigzags comme de l’aquaplaning pour une voiture", poursuit la ministre dans les colonnes du quotidien francilien. Mercredi, le patron de RTE a démenti tout lien connu entre l’activité professionnelle de M. Et en effet, cela a été pour le moins complexe. et son suicide. Rapidement, les secours sont intervenus pour évacuer les passagers et l'équipage, par crainte d'une fuite de kérosène ou d'incendie. (Xose Bouzas/Hans Lucas/AFP) Emma Donada publié le 22 octobre 2022 à 13h02 C’est l’histoire triste, déformée et montée en épingle, d’un jeune homme de 29 ans, M. Un rassemblement pour"soutenir famille et proches" de la victime est prévu est prévu vendredi à Fouquereuil (Pas-de-Calais), commune d'où est originaire le père de la jeune adolescente, avant des obsèques prévues lundi à 14H30 à Lillers, ville d'origine de sa mère, dans la même département. , agent RTE à Saumur (Maine-et-Loire), qui a mis fin à ses jours, lundi 17 octobre. Le Bureau d’enquêtes et d’analyses pour la sécurité de l’aviation civile va désormais se rendre sur place pour les premières constatations. Et de détailler avec humour : " Une fois qu'il ne bougeait plus, je lève les pieds et là il faut retirer la couche. On a pu lire son nom, cette semaine, sur les réseaux sociaux ou dans les médias, tour à tour présenté comme une victime de la répression syndicale ou policière, un cas d’école d’un emballement sur les réseaux ou l’objet d’une macabre récupération politique. Dès qu’il a été connu, dans un climat social éruptif, le décès de M. a été l’objet d’un vif émoi en ligne, dans les cercles militants locaux, puis nationaux. Les deux enfants de Jamel Debbouze et Mélissa Theuriau sont désormais âgés de 11 ans et presque 14 ans. M. avait participé, comme de nombreux collègues de l’Ouest, à une longue grève. Il avait été convoqué le 7 septembre au commissariat d’Angers, dans une affaire de coupure de courant sauvage, début juin, qui avait touché l’agglomération angevine. Les hommages, plus ou moins informés, plus ou moins déformés, se sont multipliés. Cyril Girardeau, un ancien candidat de la Nupes (un des rares à avoir conservé, et corrigé, son tweet) écrit : «La répression a assassiné […] un jeune de 28 ans. M. était un des électriciens de RTE poursuivi par l’antiterroriste pour avoir fait grève. Il s’est donné la mort suite à cette poursuite ignoble par l’Etat.» L’historienne Ludivine Bantigny affirme, dans un tweet, que le jeune homme avait été placé en garde à vue par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), qu’il avait été menotté devant sa famille. Thomas Portes, député Nupes de Seine-Saint-Denis, dénonce lui aussi les effets de «la répression» et raconte des menaces de licenciement pesant sur le salarié : «En septembre, des salariés de RTE ont été entendus par la police pour avoir repris en main l’outil de travail lors d’une grève. Ils étaient menacés de licenciement. » Les mots accompagnait souvent les tweets le mentionnant. «Obligés de communiquer pour bien clarifier les affaires» Ces premières dénonciations en forme d’hommage reposaient souvent sur des informations erronées. M. n’a jamais été placé en garde à vue, ni arrêté ou menotté devant sa famille. Si quatre salariés de RTE ont effectivement été placés sous contrôle judiciaire après une garde à vue à la DGSI, il s’agissait d’agents du Nord. M. n’y avait rien à voir. D’après nos informations, des cadres de la CGT ont demandé la suppression de plusieurs messages trompeurs postés par ses adhérents ou des comptes connus. Mardi dans la soirée, la section du Maine-et-Loire, où militait M., décide de publier un communiqué. «Tout ce qui a pu être dit par des politiques, c’est un peu de la récupération et certains mélangent certaines affaires. C’est désastreux. On a été obligés de communiquer pour bien clarifier les affaires», justifie aujourd’hui Pascal Tournecuillert, de la CGT énergie du 49, très affecté par la mort du jeune homme qu’il connaissait. Dans son texte, l’union départementale évoque le conflit social qui opposait le salarié du groupe de maintenance réseau (GMR) d’Anjou, ainsi que d’autres collègues à la direction de RTE. «Comme de très nombreux collègues du GMR de l’Ouest, il avait participé aux trois mois de grève pour gagner une revalorisation de 5 % des salaires et une revalorisation des reconnaissances de qualification», peut-on lire. Le communiqué retrace les événements des derniers mois : M. avait assisté à l’évacuation d’un piquet de grève par les CRS avant d’être convoqué le 7 septembre en audition libre au commissariat d’Angers, dans une affaire de coupure de courant sauvage le 2 juin (pour laquelle il niait toute implication). «Comme les autres collègues convoqués, M. avait très mal vécu cette période de mépris, d’humiliation, puis de répression en tous genres», conclut la CGT énergie 49 avant de répéter son soutien à ses proches. Sous le coup d’aucune sanction S’il apporte quelques éclaircissements, et coupe court à certaines rumeurs, notamment sur l’absence de lien entre l’audition de M. et les gardes à vue de ses collègues du Nord, le communiqué, loin de mettre fin à l’emballement, est repris par plusieurs députés de la Nupes. «La grève est un droit constitutionnel. Personne ne devrait être inquiété pour cela. La mort de M. est un drame. Condoléances à sa famille, ses collègues et ses proches», écrit Mathilde Panot, présidente du groupe de La France insoumise à l’Assemblée nationale. «Bouleversé par le suicide de M., agent RTE. Il avait 29 ans, la vie devant lui. Poursuivi pour avoir fait grève et s’être battu pour des hausses de salaire ! De tout cœur avec sa famille, ses camarades de la CGT et ses collègues», s’émeut aussi Fabien Roussel, secrétaire national du Parti communiste. Dans une interview donnée à la web télé le Média, publiée le 19 octobre, Cédric Liechti, de la CGT Energie Paris, concède ne pas connaître le jeune homme, parle de respecter le temps du deuil, d’attendre les résultats des enquêtes, mais il accuse RTE d’avoir une part de responsabilité dans le drame. Et il relaye, en lui donnant un écho, la rumeur qui selon lui bruisse sur des piquets de grève : «Ils ont tué l’un des nôtres.» Il assure : «Le temps du deuil passé, il y a une réaction collective de la CGT et de ses collègues, à l’échelle nationale.» De l’autre côté du micro, le journaliste Théophile Kouamouo, affirme à tort que M. avait été convoqué à un entretien préalable à sanction. Le salarié gréviste ne faisait l’objet d’aucune sanction, comme ont pu le confirmer RTE et l’avocat du jeune homme, Hugo Salquain, à CheckNews. Dans la journée de mercredi, la Fédération nationale des mines et de l’énergie (FNME) publie à son tour un communiqué indiquant que le drame «a eu lieu dans un contexte particulier, celui de la criminalisation de la grève». «Cet événement tragique survient après un conflit très éprouvant où, pendant plus de trois mois, les agents du GMR Anjou se sont battus pour obtenir 5 % d’augmentation de salaire [soit environ 70 euros par mois, selon la CGT, ndlr]. Ils n’ont reçu en réponse que du mépris de la direction. Celle-ci a même envoyé les CRS pour déloger les grévistes», peut-on lire. La CGT explique par ailleurs avoir «alerté sur les conséquences délétères de ce management répressif, mais rien ne peut émouvoir la direction». Le même jour, en fin de journée, Xavier Piechaczyk, le patron de RTE, est interrogé .
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