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AKAA l artiste bé ninois Sanda Amadou relie art sacré et é cologie Afrique - Arts HEAD TOPICS

AKAA l artiste bé ninois Sanda Amadou relie art sacré et é cologie

22/10/2022 16:02:00

AKAA l artiste bé ninois Sanda Amadou relie art sacré et é cologie

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AKAA: l’artiste bénin ois Sanda Amadou relie art, sacré et écologie Chez lui, pas de couleurs criardes, pas de personnages clinquants, pas de scènes spectaculaires. Sanda Amadou construit dans ses tableaux un surprenant vide au milieu d’une « forêt » particulière. L’artiste… Publicité: Vous étiez d’abord professeur et écrivain, avec un doctorat en sociolinguistique. Comment êtes-vous venu à l’art contemporain:AKAA: l’artiste malien Abdoulaye Konaté invite à la découverte de la création africaine Je ne pense pas qu’il y ait plusieurs cultures qui se reflètent dans mon travail, c’est plutôt une seule culture, la culture peule, même si c’est compliqué de parler de"la culture peule". Les Peuls se trouvent dans presque tous les pays en Afrique, mais il y a des points communs qui caractérisent la culture peule. Ceux qui connaissant la culture peule reconnaîtront des éléments de cette culture dans mes tableaux, par exemple le bâton peul, un élément clé de notre culture, parce qu’il permet de guider le troupeau dans la brousse. Lire la suite:
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Le blazer oversize : cette tendance veste est un must à shopper chez Zara et MangoUne coupe oversize aujourd'hui devenue culte et qui se hisse parmi les plus beaux intemporels du vestiaire... Barbara Schulz et les hommes de sa vie : ce qu'ils n'ont pas toujours supporté chez elleAvant de filer le parfait amour avec Arié Elmaleh, Barbara Schulz a vécu en couple avec d'autres hommes. Des histoires qui ont pris fin en raison d'un certain trait de caractère de l'actrice, à en cro La vie chère force ce père de famille à retourner vivre chez ses parentsFace à l'inflation, un égoutier de Besançon a dû faire le choix de quitter son appartement pour retourner vivre chez ses parents avec sa fille de 7 ans. Incroyable le monde de la dette est impitoyable Intrusion chez SOS Méditerranée: prison ferme pour deux militants de Génération IdentitairePrison ferme pour deux militants de Génération Identitaire Ils ont été condamnés pour leur participation à une opération «commando» en 2018 au siège marseillais de SOS Méditerranée, une ONG d'aide aux migrants. Non. Une ONG complice des esclavagistes des temps modernes. Vous devriez publier qui les finance. Merci la justice, ça dégage. On espère que d’autres suivront. Surtout ceux qui incitent à la haine raciale et/ou religieuse sur internet Ils ont des peines plus sévères que des assassins de français blancs, je vais commencer à douter... Suivre 7 mn Chez lui, pas de couleurs criardes, pas de personnages clinquants, pas de scènes spectaculaires.un commando au siège marseillais de SOS Méditerranée , une ONG d'aide aux migrants, en 2018.Le Screen X : un dispositif de projection permettant d'étendre l'image sur les murs latéraux.Le blazer oversize n’a plus rien à prouver de son charme et de son aura sur toutes les silhouettes pimpées de la planète mode. Sanda Amadou construit dans ses tableaux un surprenant vide au milieu d’une « forêt » particulière. L’artiste plasticien béninois de 44 ans, autodidacte, créé une trinité entre l’art, le sacré et la protection de l’environnement. Le mouvement Génération identitaire a été dissous en mars 2021 par le gouvernement. Il est l’un des 130 artistes que 38 galeries internationales exposent actuellement à AKAA, la principale foire française pour les artistes d’Afrique et de ses diasporas. Pour faire simple, il ne s'agit plus de projection, mais d'un véritable écran Led géant offrant une belle qualité d'image et surtout un niveau de contraste supérieur à celui des projecteurs puisque chaque pixel émet sa propre lumière à la manière d'un téléviseur Oled. Publicité Lire la suite RFI : Vous étiez d’abord professeur et écrivain, avec un doctorat en sociolinguistique. Déjà condamné à trois reprises dans le passé, il a joué "un rôle prépondérant" dans l'action du 5 octobre 2018, selon le tribunal, qui l'a également condamné à cinq ans d'inéligibilité et trois ans d'interdiction de séjour à Marseille. Comment êtes-vous venu à l’art contemporain ? Sanda Amadou : Au début, je n’ai pas vraiment choisi d’être artiste plasticien. On l’enfile volontiers dans un print à carreaux des plus tendances cette année et dans sa mythique déclinaison à rayures tennis ou à chevrons selon les envies mode. Au départ, je voulais faire de la poésie et écrire des nouvelles. Décrivant "une scène unique de violences à laquelle tous ont pleinement participé" , Cécile Pendariès a jugé que les 22 militants entrés dans l'appartement étaient bien coupables de violences en réunion et de participation à un groupement en vue de la préparation de ces faits de violence. Pathé Beaugrenelle a été — à l'époque — le deuxième cinéma au monde à proposer ce package technologique inauguré à Séoul. Mais, j’avais du mal à trouver une maison d’édition pour publier mes poèmes. Du coup, je me suis tourné vers ma culture nomade peule.. J’ai commencé à collectionner des tatouages peuls que j’ai dessinés sur des papiers pour les expliquer et interpréter. La salle de cinéma Samsung Onyx au Pathé Beaugrenelle © Samsung Laser ULTRA et la 4DX. Ensuite, j’ai basculé vers les arts plastiques. AKAA: l’artiste malien Abdoulaye Konaté invite à la découverte de la création africaine La culture peule existe dans de nombreux pays. Vous êtes né au Bénin, vous avez étudié au Ghana et au Nigeria avant de retourner en 2019 au Bénin. Une séance en Laser Ultra vous coûtera 12,50 €. Ce parcours personnel entre plusieurs pays et entre plusieurs cultures, comment a-t-il influencé votre approche artistique ? Je ne pense pas qu’il y ait plusieurs cultures qui se reflètent dans mon travail, c’est plutôt une seule culture, la culture peule, même si c’est compliqué de parler de"la culture peule". Les Peuls se trouvent dans presque tous les pays en Afrique, mais il y a des points communs qui caractérisent la culture peule. Ceux qui connaissant la culture peule reconnaîtront des éléments de cette culture dans mes tableaux, par exemple le bâton peul, un élément clé de notre culture, parce qu’il permet de guider le troupeau dans la brousse. Nous avons besoin de vous pour tenir le registre à jour. « Zone interdite » (Détail), œuvre de 2022 de l’artiste béninois Sanda Amadou à AKAA. © Siegfried Forster / RFI Qu’est-ce qui vous a poussé à quitter le Bénin ? Le Bénin est un petit pays. Il n’y avait pas d’écoles d’art. Donc, je me suis retrouvé au Nigeria. Cela m’a permis d’aller à la rencontre de plusieurs autres artistes et d’améliorer ma technique de travail, avec des écoles d’art à Lagos. C’était une grande ouverture dans le domaine des arts plastiques. Mais au Nigeria, cela n’était pas facile non plus, parce que je suis Peul et il y a toujours des conflits entre paysans et bergers nomades. Cela a eu aussi des répercussions sur mon travail. Je travaille abondamment sur les nomades peuls. Du coup, quand je fais des expositions, très souvent, c’est un peu mal vu par certaines personnes. Pour eux, ce sont des criminels, des bandits, etc. Je suis même allé en prison pour cela à Lagos. Ce n’est vraiment pas facile, mais je continue à travailler… Une de vos séries exposées à AKAA par la galerie néerlandaise OpenArtExchange s’intitule Forbidden Zone . De quelle sorte de « zone interdite» parlez-vous ? Quand on prend le cas du Bénin, il y a souvent des forêts sacrées. Et il y a forcément un espace qui n’est pas occupé, c’est la « zone interdite », un espace rituel dédié à la divinité. C’est comme un monastère ou un couvent. Je n’aime pas trop utiliser le mot « vaudou ». J’appelle cet espace « zone interdite », mais elle est simplement réservée aux initiés, aux adeptes d’une culture. Forcément, il y a une divinité. Ceux qui s’y connaissant savent les sacrifices qu’il faut faire. Et seulement eux ont accès à cet espace. Bien sûr, cette divinité a des règles qu’il ne faut pas transgresser. C’est-à-dire tous ceux qui se rendent dans la forêt sont tenus de respecter les règles imposées par cette divinité. En même temps, cela permet de préserver les forêts et la nature. Ces œuvres ne parlent pas de cette divinité, mais montrent comment on peut passer par le sacré pour préserver l’environnement. Ces tableaux sont rigoureusement structurés : sur les bords, une peinture très ordonnée, très plate ; à l’intérieur de la pièce apparaît une partie sculpturale, plasticienne, symbolisant une sorte de forêt ; et au cœur de l’œuvre domine un espace vide. Parlez-nous de cette structure et des matières et des couleurs qui vont avec. Je n’aime pas trop les couleurs vives. J’aime les couleurs un peu ternes, par exemple le jaune ocre, le gris, le noir et aussi le « blanc sale ». La matière qui est là est composée de tresses, très populaire au Bénin et en Afrique. C’est fait à base de mèches synthétiques. Je prends ces mèches, je vais les colorer avec de l’acrylique, et ensuite, je les colle sur le tableau. Au milieu, je laisse un espace, réservé aux divinités. L’idée m’est venue au Bénin. J’ai vu des femmes tressées, et je me suis dit de prendre les tresses, mais pas pour parler des tresses, mais pour les détourner afin de représenter des forêts. « Gardien des esprits III » (Détail), œuvre de 2022 de l’artiste béninois Sanda Amadou à AKAA. © Siegfried Forster / RFI Toutes vos œuvres exposées à l’AKAA portent des titres lourds de sens ( Zone interdite .
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