Vatican Rome et P kin renouvellent leur accord historique sur la nomination des v ques Asie Et Oc anie

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Vatican Rome et Pé kin renouvellent leur accord historique sur la nomination des é vê ques

22/10/2022 14:28:00

Vatican Rome et Pé kin renouvellent leur accord historique sur la nomination des é vê ques

Nomination D évêque Et D archevêque Asie Et Océanie

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Vatican : Rome et Pékin renouvellent leur accord historique sur la nomination des évêque s Le Vatican et le régime communiste de Pékin ont renouvelé pour deux ans un accord historique conclu en 2018 sur l’épineuse question de la nomination des évêque s en Chine , a annoncé le Saint-Siège, samedi 22 octobre. Une décision qui intervient au terme de mois de discussions entre les deux parties. L’Osservatore Romano« Nous ne dissimulons pas les nombreuses difficultés qui affectent la vie concrète des communautés catholiques, auxquelles nous accordons la plus grande attention »,À lire aussiSi l’objectif affiché de l’accord est de nommer des évêques en commun et de tenter de mettre fin au schisme creusé depuis 1953 entre Église officielle et Église souterraine, il demeure difficile d’établir son bilan. Combien d’évêques nommés en quatre ans par les deux parties ? Six, seulement. Comparé à une quarantaine de diocèses restés vacants, le chiffre paraît dérisoire. Lire la suite:
» Semi-conducteurs : les Etats-Unis intensifient leur guerre économique contre la Chine Le congrès du PCC se referme à l'aube d'un 3e mandat pour Xi Jinping Le chancelier allemand Olaf Scholz annonce une visite en Chine début novembre - RFI Quand l'armée chinoise recrute des pilotes français

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La cathédrale de la Major fait l'objet d'une grande rénovation. Un chantier en plusieurs phases qui se poursuit aujourd'hui avec des travaux de restauratio Lire la suite >> Semi-conducteurs : les Etats-Unis intensifient leur guerre économique contre la ChineLes restrictions imposées par les Etats-Unis sur les exportations de semi-conducteurs vers la Chine touchent désormais les ingénieurs américains employés par les entreprises chinoises. L'administration Biden veut empêcher Pékin d'acquérir un avantage technologique dans les puces, notamment celles plus sophistiquées pour le secteur militaire et l'intelligence artificielle. Le congrès du PCC se referme à l'aube d'un 3e mandat pour Xi JinpingLe Parti communiste chinois (PCC) achève samedi à Pékin son congrès, qui devrait sans surprise couronner le président Xi Jinping d'un troisième mandat et tracer l Le chancelier allemand Olaf Scholz annonce une visite en Chine début novembre - RFICe voyage d'Olaf Scholz à Pékin sera le premier d'un dirigeant d'un pays de l'UE depuis novembre 2019. Olaf a compris il à changer le camp.. Il quitte l'UE pour la BRICS ? Il veut une aide de la part de l'Empire du milieu - la Chine pour faire face aux problématiques actuelles dans son pays. La position de la Chine dans le conflit russo-ukrainien reste la même. Il serait très surprenant de voir la Chine condamner la Russie de Poutine, son alliée. Quand l'armée chinoise recrute des pilotes françaisQuand l'armée chinoise recrute des pilotes français «L'offre était très alléchante. Ils cherchent des instructeurs qualifiés pour l'appontage sur porte-avions.» en l'occurrence, les chinois cherchent surtout à espionner le savoir-faire des français ! si j'étais pilote et que les chinois me paient très très cher,j'irais les former.les pilotes français ne participent à aucune guerre,je ne vois pas bien à quoi ils serviraient comme formateur.ils ne tirent que sur des barbus en Toyota armés de kalachs. Hier c’était des pilotes anglais… 😬 Opération Fox Hunt : comment le Parti communiste chinois traque ses opposants à l’étrangerLa justice américaine poursuit sept chinois accusés d’avoir voulu forcer un de leurs compatriotes, accusé de détournement de fonds par Pékin, à rentrer au pays. Le Parti communiste traque depuis des années ses opposants expatriés dans le cadre de l’opération Fox Hunt. L’offensive chinoise se poursuit sur les ports européensLe chancelier Olaf Scholz envisagerait de céder une partie du port de Hambourg à un groupe chinois, ont affirmé des médias allemands jeudi 20 octobre. Les entreprises de Pékin contrôlent déjà 13 ports sur le Vieux continent. Peut-on, dans un mm souci d'information égalitaire, nous tenir informés des investissements et autres participations, EU France UK , des pays suivants : Arabie Saoudite Qatar Koweit Bahreïn etc Remerciements SilverMaud Les aéroports de Lyon et Nice ont été privatisés ('Les Echos' du 30.10. 2017) à 60% par l'État. Twitter La négociation était en cours depuis des mois, et a suivi, au Vatican et en Chine, des chemins bien chaotiques, toujours dans le plus grand secret.43 cadres supérieurs de nationalité américaine employés par 16 sociétés chinoises de semi-conducteurs cotées à la Bourse de Shanghaï, Naura Technology, AMEC, Gigadevice, Kingsemi.'avenir politique de la Chine pour les cinq prochaines années.Page non trouvée. Mais les discussions entre Pékin et le Saint-Siège ont fini par s’achever. Et elles ont débouché sur le renouvellement d’un accord décisif sur la nomination commune des évêques chinois par le Vatican et le pouvoir central de Pékin.. Le texte, dont les détails n’ont jamais été connus, a été signé en 2018, pour une durée de deux ans.300 délégués choisis par les différentes instances du Parti sont réunis à huis clos à Pékin. Renouvelé une première fois en 2020, il a été à nouveau prolongé samedi 22 octobre, date de l’échéance de la première prolongation. Ces cadres, dont certains occupent des postes de direction dans ces sociétés, ont pour la plupart des compétences de haut niveau acquises durant des décennies dans des sociétés américaines de la Silicon Valley. Le cardinal-secrétaire d’État Pietro Parolin n’a pas caché qu’il s’agissait d’un texte de compromis très imparfait, dans un entretien accordé aux médias du Saint-Siège L’Osservatore Romano et Vatican News. « Nous ne dissimulons pas les nombreuses difficultés qui affectent la vie concrète des communautés catholiques, auxquelles nous accordons la plus grande attention », a-t-il indiqué. L'administration Biden veut restreindre l'accès chinois aux puces américaines, mais également aux cerveaux de ces ingénieurs de haut niveau. Le lendemain, Xi Jinping sera vraisemblablement reconduit au poste de secrétaire général du PCC, à l'issue de la première réunion d'un Comité central remanié, sorte de Parlement du parti qui compte environ 200 membres. Pour les résoudre, a prévenu le numéro 2 du Vatican, « de nouveaux pas en avant sont nécessaires, dans une relation de collaboration qui a de multiples protagonistes : le Saint-Siège, les autorités centrales, les évêques avec leurs communautés, les autorités locales ». À lire aussi Les relations entre le Vatican et Pékin sous tension De fait, quatre ans après sa première signature, l’accord suscite de vives critiques. Ces nouvelles règles concernent aussi les laboratoires de R&D installés par certaines entreprises chinoises aux États-Unis comme les géants Tencent et Alibaba, présents à Seattle et dans la Silicon Valley. D’un côté, les uns considèrent que la Chine est un sujet trop important pour être ignoré, et qu’un mauvais accord vaut mieux que rien du tout. Pour se maintenir au pouvoir, l'homme fort de Pékin avait ainsi fait supprimer de la Constitution en 2018 la limite de deux mandats. De l’autre, les détracteurs de ce protocole dénoncent une manipulation : dans son grand mouvement de sinisation des religions, Pékin ne présente-t-il pas ce texte, depuis des années, comme une caution vaticane pour accentuer la pression sur les communautés catholiques ? Si l’objectif affiché de l’accord est de nommer des évêques en commun et de tenter de mettre fin au schisme creusé depuis 1953 entre Église officielle et Église souterraine, il demeure difficile d’établir son bilan. Cette pression va aussi s'exercer aussi sur les entreprises des pays tiers comme le néerlandais ASML et les japonais Mitsubishi et Toshiba pour restreindre leurs exportations vers la Chine, même si elles bénéficient d'un an pour s'aligner sur les nouvelles règles. Combien d’évêques nommés en quatre ans par les deux parties ? Six, seulement. Comparé à une quarantaine de diocèses restés vacants, le chiffre paraît dérisoire. D'abord, parce que l'île revendiquée par la Chine est source de vives tensions avec les Etats-Unis, qui se sont intensifiées depuis la visite en août de la présidente de la Chambre des représentants américaine, Nancy Pelosi. Une modification pourrait aussi être apportée à la charte du PCC. Quant aux évêques clandestins, certains ne cachent pas vouloir jeter l’éponge. « Pour plusieurs d’entre eux, il est hors de question de signer un accord qui les obligerait à adhérer à l’Association patriotique, reconnaîtrait l’interdiction d’évangéliser les jeunes de moins de 18 ans et l’impossibilité de toute mission en dehors du territoire paroissial », explique le père Bernardo Cervellera, missionnaire basé à Hong Kong. Si TSMC va pouvoir continuer à vendre durant un an ses produits sur le continent chinois, même s'ils contiennent des composants des Etats-Unis, son avenir se dessine vers l'ouest, notamment avec le transfert de technologie. Visite en Chine Mais d’autres soulignent que l’évaluation d’un tel accord ne peut se limiter au nombre d’évêques nommés. Ce congrès devrait également déboucher sur une large recomposition du comité permanent du Bureau politique. Ainsi, lors d’une conférence organisée début octobre par l’Initiative pour l’étude des catholiques asiatiques, un institut de recherche installé à Singapour, le chercheur Michel Chambon évaluait l’impact de l’accord dans le diocèse de Fujian, une province du sud-est de la Chine. « À court terme, l'impact devrait être gérable pour les producteurs taïwanais et coréens qui ont bénéficié d'exemptions d'un an pour s'approvisionner en équipements pour leurs usines en Chine continentale. À lire aussi « En Chine, un patriotisme teinté d’agressivité tient lieu de religion nationale » Ici, expliquait-il, et même si le diocèse reconnu par le Vatican et celui installé par le pouvoir chinois ne recoupent pas exactement les mêmes régions, les catholiques « officiels » et « souterrains » peuvent désormais communier les uns chez les autres, et une réelle collaboration s’est installée. En témoigne cette photo des deux évêques chinois du diocèse, prise en décembre 2018, aux côtés de Mgr Claudio Maria Celli. La course à la production des puces est devenue un enjeu dans la bataille entre les deux puissances économiques pour le leadership mondial. Conformément à la coutume, les membres du Comité permanent seront annoncés par ordre d'importance, le numéro un étant le secrétaire général. Le prélat italien est devenu, au fil des décennies, l’un des « monsieur Chine » du Vatican. Chargé par le pape de diriger les négociations avec Pékin, il a été, ces dernières années, l’un des défenseurs les plus ardents de cet accord. Ces puces, qui sont les quatrièmes produits les plus commercialisés au monde derrière les produits pétroliers, sont présentes dans tous les produits numériques, informatiques et électroniques. C’est lui qui a emmené, du 28 août au 2 septembre, une délégation vaticane à Tianjin, ville du Nord-Est. Li Qiang, chef du parti à Shanghai, est également pressenti malgré sa gestion chaotique du confinement au printemps. Des négociations avec des représentants du gouvernement central de Pékin auxquelles ont participé, côté Vatican, trois fonctionnaires du dicastère pour l’évangélisation, chargé de la Chine, mais aussi trois diplomates de la Secrétairerie d’État, ainsi que Mgr Celli. Il ne s'agit plus d'une mesure protectionniste contre la concurrence étrangère, mais bien d'entraver le développement d'un secteur chinois de semi-conducteurs suffisamment puissant et indépendant qui donnerait à la République populaire un avantage technologique, notamment dans le militaire, l'intelligence artificielle ou encore les super-ordinateurs. Négociations sous tension Le séjour, dans un pays entièrement clos depuis le début de la pandémie, y compris aux délégations étrangères, s’est conclu par une visite rendue à Melchiorre Shi Hongzhen, évêque clandestin de Tianjin. Autant de signes positifs mais intervenus après une très grande période de tension entre les deux parties. Selon les données officielles, le secteur représentait une part de 39,8% du PIB chinois en 2021 contre 20,9% en 2012. Depuis son arrivée au pouvoir fin 2012, Xi Jinping a accumulé les pouvoirs au sommet de la deuxième puissance mondiale et présidé à un renforcement de l'autorité du régime. En réalité, comme l’a dit en privé Mgr Paul R. Gallagher à plusieurs reprises, la Chine a quasiment rompu le dialogue avec le Vatican pendant plusieurs mois. Dans son plan quinquennal (2021-2025), la République populaire vise à porter la valeur ajoutée fournie par ces industries à 10% en 2025 contre 7,8% en 2020. Le prétexte invoqué par Pékin – le Covid-19 – n’a d’ailleurs trompé personne au Palais apostolique.. Aujourd’hui, plusieurs diplomates étrangers en poste à Rome estiment que ce silence était le signe d’une volonté claire des autorités chinoises : « Elles voulaient renouveler l’accord, mais sans rien y changer », résume une source diplomatique. Ce sont ces ambitions que Joe Biden entend aujourd'hui restreindre. .
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