Avec Friendship 7 John Glenn devient le premier Amé ricain en orbite Espace - Nasa HEAD TOPICS
Avec Friendship 7 John Glenn devient le premier Amé ricain en orbite
22/10/2022 16:00:00 Aprè s les succè s concluants des deux premiers vols du programme Mercury la NASA veut pousser plus loin et vise enfin l' orbite pour ses astronautes Mais malgré l' ambition la pré paration du lanceur Atlas demanda beaucoup de temps et il fallut
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La source Clubic
Après les succès concluants des deux premiers vols du programme Mercury, la NASA veut pousser plus loin et vise enfin l'orbite pour ses astronautes. Mais malgré l'ambition, la préparation du lanceur Atlas demanda beaucoup de temps, et il fallut ... Après les succès concluants des deux premiers vols du programme Mercury, la NASA veut pousser plus loin et vise enfin l'orbite pour ses astronautes. Mais malgré l'ambition, la préparation du lanceur Atlas demanda beaucoup de temps, et il fallut l'image du « héros astronaute » de John Glenn pour que ce soit un succès. John Glenn au sein de la capsule Mercury © NASALe gendre idéalJohn Glenn dispose d'un parcours très impressionnant, même avant sa sélection en tant qu'astronaute de la NASA. Il est le seul des « Mercury Seven » à venir du corps des Marines et présente un vrai profil d'aviateur de combat, avec trois victoires sur les Mig soviétiques au-dessus de la Corée. Plus vieux que ses collègues, il bénéficie déjà d'une petite célébrité avec un record marquant à son nom pour relier côte ouest et côte est des États-Unis à une vitesse supersonique ! Certains ont d'ailleurs argumenté qu'il était avantagé pour les tests sur Mercury, car il faisait déjà partie de l'équipe qui travaillait sur le concept initial. Mais la réalité est là : c'est un travailleur acharné, et son profil a tapé dans l'œil des sélectionneurs. Lire la suite:
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A bas l’impérialismedelajuntefrançaiseenafrique Vive l’'EXCEPTION TCHADIENNE' avec un ex 'OPPOSANT' comme Premier Ministre! Vive vous aussi qui n’avez pas daigné faire une édition spéciale sur ce massacre avec, en pointe, votre 'Monsieur je-vois-tout, j’entends-tout, je dis-tout'! Vive votre 'manière' de couvrir l’actualité! de passer à l'orbite.Les chiffres et cartes du Covid-19 en France au 22 octobre 2022 « Il y a un problème et nous le savons » , a déclaré la ministre déléguée chargée de l’Organisation territoriale et des Professions de santé interrogée sur franceinfo.S'inscrire Le nombre d'enfants morts d'insuffisance rénale aigüe en Indonésie s'élève à 133, a annoncé vendredi le ministre de la Santé, qui a attribué cette hausse à des substances nocives contenues dans des sirops médicaux.. Capsule, fusée, météo et systèmes de récupération ne seront cependant prêts que le 20 février 1962. John Glenn au sein de la capsule Mercury © NASA Le gendre idéal John Glenn dispose d'un parcours très impressionnant, même avant sa sélection en tant qu'astronaute de la NASA. Ouvrir des lits, oui, mais avec qui ? « Le Ségur de la santé a permis de revaloriser les professions de santé, c’était un rattrapage, nous savons qu’il faut encore travailler sur l’hôpital » , a-t-elle concédé. Il est le seul des « Mercury Seven » à venir du corps des Marines et présente un vrai profil d'aviateur de combat, avec trois victoires sur les Mig soviétiques au-dessus de la Corée. Les autorités sanitaires ont découvert des traces de substances chimiques nocives chez les enfants soignés pour insuffisance rénale aigüe. Plus vieux que ses collègues, il bénéficie déjà d'une petite célébrité avec un record marquant à son nom pour relier côte ouest et côte est des États-Unis à une vitesse supersonique ! Certains ont d'ailleurs argumenté qu'il était avantagé pour les tests sur Mercury, car il faisait déjà partie de l'équipe qui travaillait sur le concept initial. « Ouvrir des lits oui mais avec des personnels de santé. Mais la réalité est là : c'est un travailleur acharné, et son profil a tapé dans l'œil des sélectionneurs. Et à la suite de laquelle Claude Segond ne disposait plus de majorité. Il est en réserve lors des vols de Shepard, puis de Grissom, mais se prépare déjà pour le vol orbital.. À la fin du mois de janvier 1962, il a volé plus de 70 missions de simulation complètes, passant beaucoup, beaucoup plus de temps au sol qu'en vol ! C'est lui qui baptise sa capsule Mercury « Friendship 7 ». Et c'était un astronaute de caractère : malgré le refus initial de sa hiérarchie pour embarquer un appareil photo, il en a acheté un lui-même pour l'embarquer sur son vol.) Des milliers de lits ont fermé car nous sommes dans un modèle de transformation de la prise en charge avec le développement de l’ambulatoire (. Finalement, ce dernier sera modifié pour pouvoir être actionné avec les gants de la combinaison Mercury. La Terre, vue lors de l'une des trois orbites de John Glenn © NASA De l'audace et des petits soucis Le 20 février 1962, John Glenn s'installe dans sa capsule à 13 h 03 (heure de Paris), sur le site LC-14 à Cape Canaveral.. Heureusement, les fenêtres de tir n'étaient pas aussi restreintes qu'aujourd'hui, car le décollage de la mission est repoussé de plusieurs heures après différents problèmes techniques. Le compte à rebours arrive pourtant enfin jusqu'à 0, et Atlas allume ses trois moteurs à 16 h 47 pour s'élancer vers le ciel. 🗣 Pédiatrie "Ouvrir des lits oui, mais il faut des personnels derrière les lits. Le décollage est transmis en direct à la télévision, une première que ne se sont pas permise les soviétiques. Malgré quelques vibrations, le vol va se faire sans encombre jusqu'à l'orbite, atteinte avec une précision impressionnante pour l'époque.co/JkgjmsWXJD — franceinfo (@franceinfo) Également interrogée sur les éventuels risques de pénurie de paracétamol, pourtant démentie par les industriels du secteur, la ministre a reconnu « des tensions mais pas de manque de molécules de paracétamol » . Une fois la capsule éjectée à 150 x 248 kilomètres d'altitude, John Glenn est informé qu'il est sur une trajectoire stable. Sa mission pourra durer plusieurs heures, comme prévu. À voir également sur Le HuffPost : Vous ne pouvez visionner ce contenu car vous avez refusé les cookies associés aux contenus issus de tiers. En passant au-dessus de la station de communication établie aux Canaries, Glenn est informé que tous les voyants sont au vert pour sa capsule. Il traverse l'Afrique, et à travers le hublot qui lui fait face et qu'il scrute, il remarque une tempête de sable. Lire aussi. Ensuite, il regarde le Soleil se coucher au-dessus de l'océan Indien et continue ses observations sur le ciel de nuit, repérant plusieurs étoiles. Après son passage au-dessus de l'Australie cependant, revenu progressivement dans l'hémisphère de jour, Mercury commence à montrer quelques menus problèmes. John Glenn constate d'abord qu'une myriade de minuscules gouttelettes accompagnent l'extérieur de la capsule. Puis, après quelques manœuvres minimes avec le système d'orientation manuel, l'un des propulseurs fait constamment dévier Mercury sur son axe. Ennuyeux, mais… rien de plus. Jusqu'à ce que les contrôleurs au sol lui demandent de bien vérifier que l'indicateur de déploiement du bouclier thermique et des bouées est bien sur « OFF ». Le décollage de Friendship 7 avec sa fusée Atlas © NASA Un peu de stress ! Au sol, la salle de contrôle est fébrile. Selon les données de la capsule, le bouclier s'est séparé, il n'est plus retenu que par les sangles qui maintiennent le système de rétrofusées ! Au cours de la deuxième orbite, c'est sa combinaison qui entre en surchauffe, et le régulateur d'oxygène de secours donne des signes de faiblesse. Ensuite, les réserves de carburant destinées au réglage d'orientation baissent trop vite (à cause de cette fichue correction sur l'axe). Mais la situation se stabilise, même si les équipes au sol sont toujours particulièrement inquiètes avec les données du bouclier. Heureusement, plus le temps passe, plus les indices pointent plutôt une erreur d'un capteur. Lors des manœuvres, Glenn n'entend pas le bouclier bouger, le voyant indique que les bouées gonflables sont en place. De toute façon, il est parti pour effectuer une troisième orbite. Au cours de celle-ci, il n'y aura d'ailleurs pas de nouveau problème. La capsule active son système de rétrofusées au-dessus du Pacifique, et le « coup de pied » est si violent que Glenn déclare : « J'ai l'impression qu'elles vont me faire revenir jusqu'à Hawaï ! » Pour plus de sécurité par rapport aux doutes sur son bouclier, les sangles qui maintiennent les rétrofusées en place ne sont pas éjectées, elles brûleront lors de l'entrée dans l'atmosphère. Et c'est d'ailleurs assez étonnant, puisque les soviétiques ont eu ce souci de manière involontaire. Leurs propres systèmes de rétrofreinage ne se sont en effet pas éjectés lors des vols Vostok 1 et 2. Le passage dans les denses couches de l'atmosphère n'est pas de tout repos pour Mercury. La capsule chauffe, oscille, mais résiste. Et au moment où Glenn avance la main pour déclencher manuellement le parachute de traînée (il voulait stabiliser sa descente), ce dernier se déclenche tout seul ! Pour le reste, tout se passe bien. Il ne fallut que 17 minutes au destroyer Noa pour être bord à bord avec la capsule, avant de la hisser. Affecté par la chaleur étouffante à l'intérieur, Glenn déclenchera l'ouverture de la trappe de côté avec les boulons explosifs. John Glenn en combinaison. Une vraie photo qui fait beaucoup penser à L'Étoffe des héros © NASA Alors, au niveau des soviétiques ? Pour les Occidentaux, avec ce vol hautement médiatisé et globalement très réussi, les États-Unis ont enfin rattrapé l'URSS dans la course aux vols habités. En réalité, les performances des capsules soviétiques Vostok restent plus poussées que celles de Mercury, et le vol de Titov a déjà montré que les Russes ont les capacités pour rester plus d'une journée en orbite. Lors du vol de Glenn, ils préparent leur prochain « coup » avec deux capsules en orbite simultanément. Mais la dynamique, elle, est différente. Ce succès américain est fondateur. Kennedy a déjà engagé son plan lunaire avec les politiciens, et l'adhésion publique est de plus en plus forte avec la diffusion des exploits de Glenn en direct. La NASA le sait, le retard technique est encore sensible, mais le secteur de la recherche industrielle s'est mis en marche. Ce premier vol habité orbital en 1962 fut un succès public déterminant, y compris pour attirer de nouveaux talents. En effet, 6 mois plus tard, la NASA lançait sa deuxième sélection d'astronautes… .