Christophe Dechavanne En t l il faut avoir faim Twitter

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Christophe Dechavanne « En té lé il faut avoir faim » - Twitter HEAD TOPICS

Christophe Dechavanne « En té lé il faut avoir faim »

22/10/2022 14:05:00

Christophe Dechavanne « En té lé il faut avoir faim »

Politiquement Correct Twitter

La source

Le Point

Christophe Dechavanne : « En télé, il faut avoir faim ! » ENTRETIEN. Dans « Quelle époque ! », après trois ans d’absence, il retrouve, ravi, son ton mêlant spontanéité et une touche d’impertinence. Ciel, mon samedi ! Alors, ça fait quoi d'être le numéro deux ?Non, je n'en ai même pas rêvé. Ça ne m'a pas effleuré l'esprit. Même quand Laurent (Ruquier, NDLR) a annoncé qu'il s'en allait… C'est le premier coup de fil de Régis Lamanna-Rodat [le producteur de l'émission, NDLR] qui m'a convaincu de me lancer. Tout s'est enchaîné très vite. Je considère que c'est une embellie dans ma carrière. Lire la suite:
Le Point » Patron incognito : Scandale dans un restau, une enseigne dans la tourmente après l'émission ! Droit à l’IVG dans la Constitution : Emmanuel Macron doit descendre dans l’arène Un homme tué dans un accident à Honnechy, dans le Nord M Pokora : cet objet dont ne s'est jamais séparé le chanteur après Popstars - Voici

Coaching Gagnant - Épisode 3 Meriem Salmi la psychologue des champions

« Coaching gagnant », c'est le podcast du Crédit Agricole, présenté par Grégory Ascher. Le présentateur de l'Équipe de Greg, vous fait découvrir les petits secrets de coaches sportifs qui, au quotidien, accompagnent d'immenses champions, des stars de cinéma... ou même des astronautes. Lire la suite >> Patron incognito : Scandale dans un restau, une enseigne dans la tourmente après l'émission !Ils pensaient faire une immersion dans certains de leurs restaurants... et c'est tout. Les patrons de Pokawa, spécialistes du poké bowl, ont fini avec un bad buzz. Dans Patron incognito sur M6, les co Droit à l’IVG dans la Constitution : Emmanuel Macron doit descendre dans l’arène IVG : malgré la menace qui plane sur le droit à l’avortement, le Sénat a rejeté mercredi une proposition de loi visant à l’inscrire dans notre Constitution. Le chef de l’Etat devrait se saisir de ce combat. Le billet de Jonathan BouchetPetersen 👇 BouchetPetersen Ah bon ? Lesquelles ? Il y a un parti anti-ivg au pouvoir en France ? BouchetPetersen Clowns 🤡😖. Nous ne sommes pas des ricains. Rien ne menace l'ivg. Même pas son extension abjecte que vous avez encouragé chaudement dans vos colonnes de gauchistes sous subsides. 🤮 L'ivg n'a rien à foutre dans la constitution. BouchetPetersen Vous vous inventez des menaces pour vous sentir des résistants. Un homme tué dans un accident à Honnechy, dans le NordNouveau drame de la route dans le Nord. Jeudi 20 octobre 2022, un homme de 55 ans est mort dans un accident à Honnechy. Il aurait perdu le contrôle de son véhicule. Détails. M Pokora : cet objet dont ne s'est jamais séparé le chanteur après Popstars - VoiciDepuis la victoire de M Pokora dans l'émission Popstars, le succès n'a jamais cessé pour le chanteur. Dans un entretien accordé à Gala ce jeudi 20 octobre 2022, ce dernier s'est replongé dans ses s... Après le football et le baseball, Sorare se lance dans la NBAValorisée 4,3 milliards de dollars après un méga tour de table en 2021, la start-up française multiplie les efforts pour séduire les Etats-Unis. Après le football et le baseball (MLB), Sorare s'attaque désormais à la NBA (basketball) en adaptant son jeu free-to-play. Rapatriement de femmes et d'enfants depuis la Syrie : la France a changé de doctrine et écarte le cas par casLa France a rapatrié dans la nuit de mercredi à jeudi 15 femmes et 40 enfants qui étaient retenus dans les camps de prisonniers jihadistes dans le nord-est de la Syrie. , l'émission lancée à la rentrée par France 2 , qu'il coanime avec Léa Salamé.s'invitent chez Pokawa , l'un des leaders du poké bowl, plat typique hawaïen très en vogue en France.Article réservé aux abonnés Alors que le Sénat a rejeté mercredi une proposition de loi visant à protéger le droit à l’avortement en l’inscrivant dans la Constitution, le chef de l’Etat devrait se saisir de ce combat qui va bientôt rebondir à l’Assemblée nationale.Selectionnez une région ou recherchez une ville fermer fermer Aïe vous avez refusé les cookies 🙁. Coanimation, pas sûr que le terme lui convienne, d'ailleurs : le présentateur insiste, il est le numéro deux et compte bien le rester, d'autant que c'est le deal qu'il a passé avec la production. Si ce grand (faux ?) modeste ne se trouve pas encore très bon, ses interventions dans le talk-show du samedi soir font mouche. Transformé physiquement afin de ne pas être reconnu, il a intégré l'équipe de l'un de ses restaurants situé à Aix-en-Provence. Entretien avec un sexagénaire heureux qui ne manque pas d'insister sur son éternel combat pour le remboursement des préservatifs : « J'ai écrit à Brigitte Macron à ce sujet. AFP) Jonathan Bouchet-Petersen publié le 20 octobre 2022 à 20h53 Parce que l’actualité politique et internationale est chargée, le sujet, qui n’a rien de secondaire, reste un peu sous les radars. » Pas de doute, Dechavanne n'a pas changé. Après Toulouse, direction Aix-en-Provence où il découvre un local de 22m2 en plein centre-ville. Toujours « potache ».fr, vous pouvez 👍. Désormais, le samedi, c'est « un potache et au lit ».. «Arguties juridiques». Le Point : Alors, ça fait quoi d'être le numéro deux ? Christophe Dechavanne : Ça fait drôle. C'est très nouveau – surtout après trente ans de télé pendant lesquelles, avec plus ou moins de bonheur, j'ai toujours été patron ou producteur – de participer à une émission dont je ne suis pas le chef d'orchestre.. Donc, être numéro deux, ce n'est pas aisé quand vous n'y êtes pas habitué. Pendant des années, j'ai eu un complice, Patrice Carmouze, que je n'ai jamais considéré comme un numéro deux.). En cliquant sur « Consulter », vous acceptez le dépôt de cookies par des services de vidéos en ligne tel que YouTube, Dailymotion. Je pense qu'on était vraiment un couple, un binôme. Aujourd'hui, avec Léa, on n'est pas encore un couple, mais je pense que ça va le faire.. Je ne suis pas dans la compétition, je suis dans la complicité, là. Ça commence pareil, mais ce n'est pas pareil. " Et ce n'est pas tout !" On se marche dessus, on se bouscule durant le service ", regrette une autre collègue. Ce poste, vous en rêviez ? Non, je n'en ai même pas rêvé. Consulter. Ça ne m'a pas effleuré l'esprit. Tant de complications pour les salariés qui travaillent déjà souvent en période de fortes chaleurs. Même quand Laurent (Ruquier, NDLR) a annoncé qu'il s'en allait… C'est le premier coup de fil de Régis Lamanna-Rodat [le producteur de l'émission, NDLR] qui m'a convaincu de me lancer. Tout s'est enchaîné très vite. Employés et clients se retrouvent alors contraints de trouver d'autres solutions en cas de besoin pressant. Je considère que c'est une embellie dans ma carrière. Une embellie qui surgit à 64 ans… Au moment où le débat sur la retraite sonne fort en France , je ne peux pas m'empêcher de me dire que redémarrer un nouveau truc à 64 balais, c'est assez dingue ! Et finalement, ça ressemble à mon parcours : j'ai ouvert des créneaux, j'ai animé des tas d'émissions différentes, je suis parti, je suis revenu, je suis parti, puis revenu, je ne sais combien de fois. Les employs n'ont pas de chiottes, c'est quoi a ?? — Yoann. Là, je reviens avec la sagesse du vieux, celle dont on parle quand on est enfant et qui nous fait rigoler. Mais il me reste encore beaucoup de défauts. Comment « Ciel, mon mardi ! » a inventé Hanouna et Twitter Quel est votre rôle dans l'émission : dire tout haut ce que Léa Salamé pense tout bas ou simplement faire « du Dechavanne » ? Elle est la journaliste, moi, je suis le citoyen lambda. On ne se partage pas les questions à l'avance. Ça se fait comme ça. Léa avait besoin d'un camarade comme moi. Et si elle m'a choisie, c'est que ça lui convient très bien. A priori, quand on se parle, elle n'a pas l'air de le regretter. On s'entend très bien, si c'est ça, la question. Léa Salamé, Christophe Dechavanne. © Nathalie GUYON Aucune chance d'être un jour à égalité avec elle alors ? Non, c'est elle qui mène la plupart des débats et des interviews avec les invités. Le deal, c'est que je sois numéro deux. Et je respecte toujours les deals. Que vous dites-vous après chaque émission pendant les débriefs ? Moi, je suis un peu ashkénaze donc je ne suis jamais très satisfait. Il y a ma perception des choses et la perception des autres. Mais je vais aller en m'améliorant. Mon rapport aux choses dures, à la mort ou à la maladie, est, volontairement ou pas, plutôt froid et distancié. Ce qui ne m’empêche pas d’être touché. On a l'impression, quand on regarde l'émission, que vous êtes un peu le doudou des invités, de la présentatrice, et même des chroniqueurs… [Il rit.] Écoutez, ce n'est pas désagréable d'être le doudou. J'avoue que je n'avais pas pensé à ce mot-là. C'est la première fois que je suis le doudou d'un plateau télé… Oui, c'est vrai que Léa m'aime beaucoup, mais parce qu'elle est de la génération Coucou c'est nous ! Et puis, elle s'est rendu compte que je n'étais peut-être pas forcément que celui que l'on croit. Le ton Dechavanne a-t-il évolué ? Mon idée, c'est toujours un peu de rester sérieux quand les choses sont graves. Et ma foi, dans Ciel mon mardi ou Du fer dans les épinards , il m'est arrivé de traiter de choses graves tout en restant moi-même. Je n'ai jamais autant ri qu'avec ces femmes africaines en boubou avec lesquelles on parlait de l'excision, qui est une horreur. Mon rapport aux choses dures, à la mort ou à la maladie, est, volontairement ou pas, plutôt froid et distancié. Ce qui ne m'empêche pas d'être touché. Donc, oui, mon style a changé, forcément, mais je continue vraiment à faire des blagues comme sonner à une porte et partir en courant. Ça m'est arrivé il n'y a pas longtemps. C'est complètement con, mais, oui, le mot potache Alors, à quand des animaux sur le plateau comme au temps de Coucou c'est nous ! ? Les animaux, je ne le ferai plus. La place d'un animal, qui doit vivre dans un certain biotope, n'est pas sur un plateau télé, à part mes chiens, qui y étaient très heureux. J'ai évolué avec la société sur le sujet. [Il sourit.] À moins que j'aie un jour un animal nain dans ma pochette de veste… Mais a priori, je ne vois pas ce qu'un animal ferait là. Vous n'allez pas faire venir un petit cochon… Je n'en sais rien. On n'est pas à l'abri d'une boulette [Il sourit]. « Coucou, c'est nous » : pauvres bêtes ! Il y a des choses que vous vous interdisez de faire aujourd'hui au nom du « politiquement correct » ? Disons que je fais attention à ce que je dis, parce que bien que je sois plutôt féministe, j'aime faire des vannes de couillon macho et que là, ça n'est pas forcément audible. Mais pour l'instant, il n'y a pas eu de coupe au montage. Avez-vous plus de liberté sur France 2 que vous en aviez sur TF1 ? [Il hésite.] Ça fait longtemps que je n'ai pas travaillé avec , avec qui je m'entends d'ailleurs très bien. Après la première de Quelle époque ! , j'ai d'ailleurs reçu les compliments du patron de TF1, ce qui m'a beaucoup touché. La liberté n'est pas une question de chaîne. Mais je suis un garçon bien élevé, je ne vais pas aller balancer un truc qui serait indélicat. Avouez que vous pouvez encore pousser le curseur un peu plus. Vous en avez encore sous la pédale… Ah ! Vous m'en demandez d'en faire un peu plus, c'est ça ? C'est une demande officielle du Point ? [Il rit. ] Je vais l'examiner avec attention, Du moment que c'est demandé gentiment. Si je suis tout à fait honnête, au fond, il y a forcément quelque part, même inconsciemment, un esprit de revanche, parce que j’ai quand même mal pris l’affaire quand, il y a trois ou quatre ans, tout s’est arrêté pour moi. Si vous débutiez aujourd'hui, pourriez-vous avoir la carrière que vous avez faite ? [Il rit.] Mon père disait : « Si ma tante en avait, on l'appellerait mon oncle. » Aujourd'hui, ce qui est certain, c'est que les réseaux sociaux ont pris une importance considérable. Trop, sans doute. En tout cas depuis six, sept ans, ça devient vraiment violent. Jusqu'ici, ça n'était pas un sujet quand on préparait une émission. Aujourd'hui, ça l'est. Après avoir animé pendant des années des jeux comme La Roue de la fortune ou , après avoir endossé le costume de l'amuseur, tenez-vous enfin votre revanche avec Quelle époque ! ? Je réfléchis [silence]. Si je suis tout à fait honnête, au fond, il y a forcément quelque part, même inconsciemment, un esprit de revanche, parce que j'ai quand même mal pris l'affaire quand, il y a trois ou quatre ans, tout s'est arrêté pour moi. Ce n'est pas les quinze jours que j'ai passés sur C8 qui ont changé quoi que ce soit à l'affaire. Il y a eu forcément des moments où je me disais quand je regardais la télé [il cherche ses mots]… Vous vous disiez « Je suis meilleur » ! [Il sourit.] Ou « je le ferais au moins aussi bien ». Mais, au fond, je ne suis vraiment pas revanchard comme mec. Je dirais plutôt que l'arrivée de Quelle époque ! dans ma carrière, ça remet le facteur sur le vélo. La vie réserve parfois de belles surprises à ceux qui le méritent. Peut-être qu'effectivement, il n'y avait pas trop de raisons que je sois écarté de l'antenne. Thierry Ardisson : « Ce que je veux, c'est voir arriver la mort en face » Justement, comment comprendre que vous ayez été écarté aussi longtemps alors que le paysage médiatique français ne compte pas beaucoup de gens qui ont votre surface médiatique et votre talent pour improviser, peut-être à part Camille Combal (sur TF1) ? Je ne me l'expliquais pas. C'est pour ça que c'était un peu compliqué à gérer. Peut-être que c'était dû à mon image d'emmerdeur, de ce mec que l'on disait ingérable. Alors que, vous pouvez le demander à mes équipes, je ne suis absolument pas ingérable, sauf à cause de mes retards. Mais je vous assure, je travaille dessus : là, pour l'interview, je suis arrivé avec un quart d'heure de retard ; il y a dix ans, ça aurait été 45 minutes. La télévision est-elle encore créative ? Non. Un jour, j'ai dit en réunion à TF1 : « Heureusement qu'il y a un pays qui commence… » On importe beaucoup de concepts. Avant quand j'avais une idée, elle était écrite sur un papier, les patrons avaient du courage, on y allait ! Ils préparaient des Columbo au cas où on plombait l'audience, mais on diffusait quand même le programme. Aujourd'hui, c'est un poil plus compliqué. Moi j'en ai proposé un paquet. Quand vous voyez que TF1 va confier un talk-show quotidien à Alain Chabat , n'êtes-vous pas un peu jaloux, vous l'ancien roi des talk ? Cela fait quinze ans que je le demande. On me l'a toujours refusé. Chabat ? J'adore. Quand j'ai lu la nouvelle de cette émission, j'étais déçu que ce ne soit pas moi. Mais la vie est longue… Qu'est-ce que vous regardez à la télévision ? Je la regarde peu. J'ai du mal à recevoir TF1 [ NDLR]. Du coup, j'ai du mal à regarder Quotidien .
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