Royaume Uni le camp conservateur en qu te d un Premier ministre pour calmer les march s Presse conomique Actualit

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Royaume-Uni le camp conservateur en quê te d' un Premier ministre pour calmer les marché s

22/10/2022 11:35:00

Royaume-Uni le camp conservateur en quê te d' un Premier ministre pour calmer les marché s

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La Tribune

Royaume-Uni : le camp conservateur en quête d'un Premier ministre pour calmer les marchés Inflation, déficit, pouvoir d'achat… Le mandat de Liz Truss laisse le Royaume-Uni dans une situation économique plus grave qu'à son arrivée début septembre. Son successeur devra en priorité rassurer les marchés, alors que l'agence Moody's a abaissé vendredi la perspective de la note du pays de « stable » à « négative ». Mais ses marges de manœuvre pour amortir le choc inflationniste s'en trouveront limitées et un retour à la rigueur s'annonce déjà. Rishi Sunak, l'ex-ministre des Finance s et l'ex-Premier ministre Boris Johnson sont dans les starting-blocks. Pour ne pas laisser le pouvoir vacant trop longtemps, les conservateurs tiennent des élections en urgence la semaine prochaine. Leurs 160.000 militants s'apprêtent pour la deuxième fois en deux mois à désigner le Premier ministre. L'ancien ministre des Finances Rishi Sunak, Boris Johnson qui a quitté Downing Street il y a deux mois et la ministre actuelle des Relations avec le Parlement Penny Mordaunt devraient se porter candidats. Ils ont jusqu'à lundi 14 heures pour recueillir le soutien de 100 parlementaires. Lire la suite:
La Tribune » Liz Truss, plus fragilisée que jamais à son poste de Première ministre au Royaume-Uni Royaume-Uni : Liz Truss démissionne après seulement six semaines au pouvoir Royaume-Uni : la Première ministre britannique Liz Truss présente sa démission Royaume-Uni : la Première ministre Liz Truss annonce sa démission

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L'atmosphère varie entre regain d'espoir et morosité, ces jours-ci au Barça, qui tente de sortir d'une crise depuis des mois grâce à Xavi et un effectif transformé. Au milieu, la formule n'est pas encore magique mais, aux côtés de Pedri, c'est un autre jeune Espagnol qui fait son trou. Gavi, récent vainqueur du trophée Kopa, est une attraction. Big five a tenté de comprendre son jeu, ses forces, ses failles, sa personnalité... et son futur. Lire la suite >> Liz Truss, plus fragilisée que jamais à son poste de Première ministre au Royaume-UniLa première ministre britannique Liz Truss, élue en septembre par les membres du parti conservateur, fait face à la dégringolade de ses mesures économiques. Encore, pourra t-elle rester en poste ? Royaume-Uni : Liz Truss démissionne après seulement six semaines au pouvoirLa dirigeante conservatrice faisait face depuis plusieurs jours à une fronde au sein de son propre camp. Elle avait assuré encore mercredi vouloir s’accrocher à son poste. 🤡 C'est misogyne 🙃 TROP FORT LES ANGLAIS ! Ils ont réussi à en trouver une pire que le précédent … Royaume-Uni : la Première ministre britannique Liz Truss présente sa démissionLa cheffe du gouvernement britannique était contestée au sein même de sa majorité. Et bin mon vieux elle aura pas fait long feu celle-là Il n'y a qu'en France ou l'on ne démissionne pas ..... Déjà ? Royaume-Uni : la Première ministre Liz Truss annonce sa démissionEn difficultés ces derniers jours, la Première ministre britannique Liz Truss, entrée en fonction le 6 septembre dernier, a annoncé jeudi sa démission. "Vu la situation, je ne peux pas remplir le mandat sur lequel j'ai été élue par le Parti conservateur", a-t-elle déclaré, ajoutant qu'un scrutin se tiendra "d'ici à la semaine prochaine" pour désigner son successeur. Elle a le courage de ses opinions, pas comme nos incompétents de ministres qui n'ont pas leurs places par leur niaiserie dans le gouvernement mais qui restent, connards ! Liz Truss démissionne, le chaos politique continue au Royaume-UniLa cheffe de gouvernement tory a annoncé sa démission ce jeudi 20 octobre à Londres. Elle aura aussi été la cheffe de gouvernement ayant occupé le moins longtemps le 10, Downing Street, avec seulement six semaines au pouvoir. solidarité avec nos amis Britanniques qui vivent un moment grave Déjà ! 🤣 Royaume-Uni : la première ministre Liz Truss démissionne après 44 joursLa Première ministre dans la tourmente a annoncé sa démission ce jeudi 20 octobre, après 44 jours tumultueux à Downing Street. Déjà 😳 c’était furtif 🫣 Elle aura pas fait long feu Tout va bien chez nos amis En 2022, le Royaume-Uni aura connu trois gouvernements (et deux souverains).Liz Truss doit faire face à un chaos politico-économique depuis son élection.Temps de lecture 1 min La Première ministre britannique Liz Truss a annoncé sa démission ce jeudi 20 octobre après seulement 45 jours de mandat.Temps de lecture : 1 min. Aucun rebondissement ne semble plus à exclure au regard du spectacle qu'offre la vie politique britannique depuis la rentrée et le départ brutal de Liz Truss, après 44 jours au pouvoir. « Bienvenue en Britalie », ironise la une de The Economist qui compare la valse habituelle des gouvernements de Rome à celle de Londres. « Je suis une battante, pas quelqu’un qui abandonne », a t-elle déclaré. On ne connaît pas encore l'identité du futur Premier ministre mais on connaît déjà sa mission : ramener de la stabilité à Londres. J’ai discuté avec sa Majesté le roi pour l’informer de ma démission de la tête du Parti conservateur » , a-t-elle annoncé devant le 10, Downing Street. Pour ne pas laisser le pouvoir vacant trop longtemps, les conservateurs tiennent des élections en urgence la semaine prochaine. « À quoi sert une Première ministre dont les promesses ne tiennent même pas une semaine ? », a rétorqué le chef de l'opposition travailliste, Keir Starmer Sa ministre de l'intérieur, Stuella Braverman , a donné sa démission ce mercredi 19 octobre, quelques jours après celle du chancelier de l'Echiquier, Kwasi Kwarteng . Leurs 160. La dirigeante démissionnaire a précisé qu'un nouveau scrutin interne aurait lieu au sein de la majorité "d'ici à la fin de la semaine prochaine"  pour lui trouver un successeur. 000 militants s'apprêtent pour la deuxième fois en deux mois à désigner le Premier ministre. Mais loin de l'accalmie, la tempête s'est transformée en ouragan hier à l'occasion d'un vote sur la fracturation hydraulique à la chambre des Communes, que Mme Truss a transformé en vote de confiance. La dirigeante conservatrice se débattait depuis plusieurs jours avec une majorité de plus en plus frondeuse, la liste de parlementaires demandant son départ s’allongeant d’heure en heure. L'ancien ministre des Finances Rishi Sunak, Boris Johnson qui a quitté Downing Street il y a deux mois et la ministre actuelle des Relations avec le Parlement Penny Mordaunt devraient se porter candidats. Ils ont jusqu'à lundi 14 heures pour recueillir le soutien de 100 parlementaires. Twitter content. Lire aussiLiz Truss, un naufrage économique en 44 jours Un vote en ligne d'ici le 28 octobre Selon le site Guido Fawkes, qui suit de très près les soubresauts de la course, Rishi Sunak avait vendredi soir 103 parrainages, devant Boris Johnson (68) et Penny Mordaunt (25). Liz Truss avait rencontré ce jeudi matin, à sa demande, selon Downing Street, le député à la tête du puissant Comité 1922 chargé de l’organisation interne du parti conservateur (et donc d’une éventuelle procédure de remplacement). Ni M.. Sunak ni M. Johnson n'ont pour l'heure confirmé leur candidature. Ensuite, les députés devront soit se mettre d'accord sur deux noms que les 170.000 adhérents du parti devront départager par un vote en ligne d'ici au 28 octobre, soit sur le nom d'une seule personne qui entrerait alors immédiatement à Downing Street. Si d'ici à lundi en début d'après-midi M. Johnson et Mme Mordaunt ne réussissaient pas à atteindre le seuil des 100 parrainages requis (sur 357 députés), Rishi Sunak deviendrait automatiquement chef du parti et Premier ministre. Rassurer les marchés et les Britanniques Celui qui entrera au 10 Downing Street « devra être calme et compétent pour redonner confiance aux marchés », estime Sophie Loussouarn, professeure de civilisation britannique à l'université Jules Verne d'Amiens. « Sunak avait dénoncé - avant tout le monde - les mesures économistes « fantaisistes » de Liz Truss et cela s'est avéré vrai », rappelle l'universitaire. Lors du scrutin d'août, Rishi Sunak préconisait en effet de réduire en priorité l'inflation sans trop creuser le déficit. Et de ne surtout pas précipiter des baisses d'impôts comme l'a promis et fait à ses dépens Liz Truss. L'ancien banquier d'affaires jouit des faveurs des bookmakers. Son expérience de banquier d'affaires et son bilan de ministre des Finances pendant le Covid lui donne également une certaine crédibilité auprès des marchés financiers. Mais aussi des citoyens. « Aujourd'hui le déficit public et la dette publique ont augmenté. Le gouvernement conservateur est tenu responsable de cette situation », explique Sophie Loussouarn. Le vainqueur des élections chez les conservateurs devra bâtir un gouvernement consensuel dans l'urgence. « Le prochain Premier ministre devra surtout ne pas cliver. Dans l'idéal, il faudrait un gouvernement de coalition comme en période de guerre mais les travaillistes ne verront aucune raison de rentrer au gouvernement. Ils veulent laisser les conservateurs boire le calice jusqu'à la lie en attendant les élections générales », observe le président de l'Observatoire du Brexit Aurélien Antoine. « Quoi qu'il arrive, le futur Premier ministre aura des marges de manœuvres très restreintes. Il ne pourra pas faire grand chose à part rassurer les marchés », prédit-il. Marges budgétaires réduites Face à l'inflation et à la crise énergétique, l'Etat ne pourra pas tout. Tel est en substance l'avertissement lancé en début de semaine par le ministre des Finances Jeremy Hunt, qui a annulé toutes les baisses d'impôts promises par Liz Truss. Cet ancien ministre des Affaires sociales balaye les rumeurs de retour à l'austérité de 2010. ll admet toutefois la nécessité de prendre des « décisions difficiles » pour tenir rigoureusement les comptes et calmer les marchés. La spécialiste du Royaume-Uni Sophie Loussouarn s'attend en conséquence à des coupes dans les budgets des ministères. Objectif prioritaire du prochain Premier ministre et de son Chancelier de l'Echiquier : corriger l'image d'amateurisme budgétaire laissée par Liz Truss que les Britanniques ont payé cash. Si le « mini budget » n'a pas eu le temps d'être appliqué, les réactions des marchés à son annonce le 23 septembre ont laissé des stigmates sur la monnaie et la dette. L'absence de chiffrage budgétaire de ce plan estimé à 150 milliards de livres a précipité l'effondrement de la livre, tombée au plus bas face au dollar depuis 1985. Et conjointement fait flamber les taux d'intérêt sur la dette souveraine à 10 ans de 2 à 4%.   L'onde de choc s'est propagée au-delà de la City dans tout le Royaume. Loin d'être indolores, la hausse des taux souverains a augmenté les intérêts des ménages sur leurs crédits, dont un quart empruntent à taux variable, notamment pour les achats immobiliers. Quant à l'effondrement de la livre, cela alourdit le poids des importations notamment en gaz et en pétrole libellées en dollar. De quoi rogner un peu plus le pouvoir d'achat. Les errements de Liz Truss et de son ministre Kwasi Kwarteng ont donc fait perdre des milliards de dollars au contribuable et un temps précieux. La violence de la crise énergétique impose néanmoins au futur gouvernement d'agir. Le plafonnement du prix de l'énergie pour six mois devrait être maintenu, mais accessible seulement aux plus pauvres d'après Jeremy Hunt. Contrairement à la France, le gouvernement n'amortira pas tout le choc inflationniste. Pourtant, la gravité de la situation est incomparable des deux côtés de la Manche. Crise sociale violente mais colère sociale contenue Les voyants sociaux virent au rouge un par un.  Une étude d'une association de consommateur publié dans le magazine Which ? rapporte que la hausse des prix contraint des millions de foyers à sauter des repas. Quant au chauffage, l'université de York alertait sur le fait que 45 millions de personnes se trouveraient en situation de précarité énergétique en l'absence d'aides suffisantes de l'Etat. La crise sociale couve depuis cet été, rebaptisé « summer of discontent » par la presse. Le mouvement « Enough is enough » contre le coût de la vie a rassemblé des dizaines milliers de manifestants dans les grandes villes britanniques. Pour autant, « la colère sociale est moins forte qu'en France. Les syndicats réunis en congrès lundi et mardi ont exprimé leurs revendications, notamment en réclamant des élections générales, des hausses de salaires pour les fonctionnaires et en appelant à la grève le 3 novembre », raconte Sophie Loussouarn. L'attention du futur gouvernement portera ainsi moins sur la rue que sur les marchés. Après S&P et Fitch, l'agence de notation Moody's a abaissé vendredi la perspective de la note du Royaume-Uni de"stable" à"négative" alors que le pays est en pleine crise politico-financière suite à la démission de la Première ministre Liz Truss. (Avec AFP) Lire aussiRoyaume-Uni : Liz Truss forcée à un virage budgétaire pour espérer rester première ministre Paul Marion 22 Oct 2022, 10:11 Partager : Rédiger un commentaire .
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