L offensive chinoise se poursuit sur les ports europé ens Économie Mondiale - Offensive HEAD TOPICS
L offensive chinoise se poursuit sur les ports europé ens
22/10/2022 04:38:00 Le chancelier Olaf Scholz envisagerait de cé der une partie du port de Hambourg à un groupe chinois ont affirmé des mé dias allemands jeudi 20 octobre Les entreprises de Pé kin contrô lent dé jà 13 ports sur le Vieux Continent
Économie Mondiale Offensive
La source
Le chancelier Olaf Scholz envisagerait de céder une partie du port de Hambourg à un groupe chinois, ont affirmé des médias allemands jeudi 20 octobre. Les entreprises de Pékin contrôlent déjà 13 ports sur le Vieux continent. Le chancelier Olaf Scholz envisagerait de céder une partie du port de Hambourg à un groupe chinois, ont affirmé des médias allemands jeudi 20 octobre. Les entreprises de Pékin contrôlent déjà 13 ports sur le Vieux Continent. soutiendrait la tentative chinoise d’acquérir une part du port de Hambourg, et ce malgré les avertissements de son gouvernement et de ses services de renseignements, d’après une enquête dévoilée par plusieurs médias allemands jeudi 20 octobre. Le troisième port d’Europe deviendrait le dernier d’une longue liste à tomber, en partie, aux mains d’entreprises chinoises. À lire aussiLe chinois Cosco prend le contrôle du port du PiréeL’acquisition du port du Pirée, en Grèce, avait notamment fait couler beaucoup d’encre. L’entreprise Cosco, le plus grand armateur chinois, commence à en acquérir des parts en 2008, à la faveur de la crise de la dette grecque. Six ans plus tard, en 2016, elle devient majoritaire. À l’heure actuelle, elle détient 67 % de cette infrastructure cruciale, qu’elle a réussi à transformer en l’un des ports les plus dynamiques du monde : 900 000 conteneurs y transitaient en 2010, contre 5,6 millions en 2019. Lire la suite:
» Allemagne: Olaf Scholz veut vendre le port de Hambourg à la Chine En Europe et en Allemagne, Olaf Scholz cible de toutes les critiques Crise de l’énergie : Emmanuel Macron recevra Olaf Scholz mercredi à l’Elysée Tensions franco-allemandes : Emmanuel Macron recevra Olaf Scholz mercredi à Paris Les Vingt-Sept franchissent un pas vers le plafonnement des prix du gaz
Réunis à Bruxelles, les Vingt-Sept ont apporté leur soutien à l'ensemble des propositions de la Commission destinées à faire baisser la facture énergétique. Mais le mécanisme pour plafonner le prix du gaz destiné à produire de l'électricité divise toujours. Lire la suite >> Allemagne: Olaf Scholz veut vendre le port de Hambourg à la ChineLe géant chinois Cosco veut racheter 35% d’un terminal à conteneurs du port de Hambourg. Un contrat en ce sens a été signé en septembre. Les opposants au projet misent sur le « nein » de l’État fédéral.… Vous commencez à vendre toutes vos richesses kiekiekiekiekie Vive la Russie, vive Poutine, vive le monde bipolaire Ça n'a pas traîné. Ils vendent déjà leurs bijoux de famille. En Europe et en Allemagne, Olaf Scholz cible de toutes les critiquesQue ce soit au Conseil européen qui s’achève à Bruxelles ou dans son propre pays, le chancelier allemand traverse une période délicate. Et à raison! Crise de l’énergie : Emmanuel Macron recevra Olaf Scholz mercredi à l’ElyséeMalgré des relations plus que froides entre les deux pays, le président français a annoncé ce jeudi qu’il allait recevoir son homologue allemand dans une semaine à l’Elysée. nous trépignons d'impatience de voir ce qu'il va jaillir de ce rendez-vous... Tensions franco-allemandes : Emmanuel Macron recevra Olaf Scholz mercredi à ParisLe président français et le chancelier allemand devaient se réunir pour le conseil des ministres franco-allemands mercredi, avant qu'il soit finalement reporté en raison notamment de divergences sur de nombreux dossiers. Tensions franco-allemandes : Emmanuel Macron recevra Olaf Scholz mercredi à ParisLe président français Emmanuel Macron recevra mercredi à l'Élysée le chancelier allemand Olaf Scholz, alors que la France et l'Allemagne traversent une période de tensions politiques liées notamment à la crise de l'énergie. Séance de en même temps et de cirage de pompe et le final : s’écraser comme une crêpe.... ou une m ..de au choix Le chancelier allemand Olaf Scholz annonce une visite en Chine début novembre - RFICe voyage d'Olaf Scholz à Pékin sera le premier d'un dirigeant d'un pays de l'UE depuis novembre 2019. Olaf a compris il à changer le camp.. Il quitte l'UE pour la BRICS ? Il veut une aide de la part de l'Empire du milieu - la Chine pour faire face aux problématiques actuelles dans son pays. La position de la Chine dans le conflit russo-ukrainien reste la même. Il serait très surprenant de voir la Chine condamner la Russie de Poutine, son alliée. Olaf Scholz soutiendrait la tentative chinoise d’acquérir une part du port de Hambourg, et ce malgré les avertissements de son gouvernement et de ses services de renseignements, d’après une enquête dévoilée par plusieurs médias allemands jeudi 20 octobre.Publié le : 21/10/2022 - 23:28 Le chancelier allemand Olaf Scholz prend la parole lors d'une conférence de presse le deuxième jour du sommet des dirigeants de l'Union européenne qui s'est tenu pour discuter de l'Ukraine, de l'énergie, des questions économiques et des relations extérieures à Bruxelles, Belgique, le 21 octobre 2022.Par Verbatim970 le 21/10/2022 à 15:43 Curieux de lire que M.AFP il y a 50 min Une brise de chaleur après des semaines de froid ? Le président français Emmanuel Macron a annoncé qu’il allait recevoir mercredi 27 octobre à Paris le chancelier allemand Olaf Scholz. Le troisième port d’Europe deviendrait le dernier d’une longue liste à tomber, en partie, aux mains d’entreprises chinoises. À lire aussi Le chinois Cosco prend le contrôle du port du Pirée L’acquisition du port du Pirée, en Grèce, avait notamment fait couler beaucoup d’encre. REUTERS - PIROSCHKA VAN DE WOUW Texte par : Suivre 2 mn Le géant chinois Cosco veut racheter 35% d’un terminal à conteneurs du port de Hambourg. L’entreprise Cosco, le plus grand armateur chinois, commence à en acquérir des parts en 2008, à la faveur de la crise de la dette grecque. Finalement, cet article du Point trahit ce que les Français voudraient voir comme réalité, sans que cette vision des choses ne soit caractérisée. Six ans plus tard, en 2016, elle devient majoritaire. Les opposants au projet misent sur le « nein » de l’État fédéral. À l’heure actuelle, elle détient 67 % de cette infrastructure cruciale, qu’elle a réussi à transformer en l’un des ports les plus dynamiques du monde : 900 000 conteneurs y transitaient en 2010, contre 5,6 millions en 2019. La guerre en Ukraine et les sanctions imposées à la Russie ont provoqué un choc sur les prix du pétrole, du gaz et de l’électricité. L’arrivée de Cosco dans le port de Hambourg serait encore plus significative. Le chancelier allemand a annoncé ce vendredi 21 octobre une visite officielle en Chine début novembre, un voyage qui sera le premier d'un dirigeant d'un pays de l'UE depuis novembre 2019. Attention aux déconvenues dans quelques semaines ! Signaler Par Mac Arel le 21/10/2022 à 15:18 Quand on lit, au sujet des relations franco-allemandes, Le Figaro puis Le Point, on se demande si on est dans le même monde. Le port allemand est le troisième plus important d’Europe et les entreprises chinoises visent des infrastructures de taille. Cosco a ainsi acquis 35 % du terminal Euromax du port de Rotterdam, le plus grand d’Europe, porte d’entrée vers le nord et l’ouest du continent. Pour le port de Hambourg, en perte de vitesse, l'investissement chinois serait une aubaine, une sorte d'assurance vie dans un contexte de forte concurrence. Le port de Zeebrugge, à 90 % chinois Cosco a aussi acheté 20 % du port d’Anvers, qui complète le podium des ports européens les plus importants. Fr censure tous les commentaires qui dénoncent son comportement ! A bon entendeur, salut ! Signaler. De façon encore plus impressionnante, l’entreprise s’est emparée de 90 % du port de Zeebrugge, situé à 100 kilomètres de là. Il insiste sur le fait que Cosco n’aurait accès ni aux informations sensibles du port, ni aux processus de décision, à l'heure où l'Allemagne craint plus que tout de se jeter dans les bras des Chinois, après le choc de sa dépendance au gaz russe. Plus au sud, le gouvernement italien a accepté de signer un contrat avec la Chine incluant des accords commerciaux entre les ports de Trieste et de Gênes et la China Communications Construction Company (CCCC). Cette décision a laissé craindre à Bruxelles et à Washington un scénario similaire à celui du port du Pirée. Toutefois, cette crainte ne s’est pour l’instant pas matérialisée. À lire aussi CCCC, concurrent de Cosco, détient aussi des parts dans de nombreux ports français et ailleurs. Elle est implantée à Dunkerque, au Havre, à Marseille mais aussi à Marsaxlokk, à Malte, ou encore à Istanbul. Les nouvelles routes de la soie Ces différentes acquisitions s’opèrent dans le cadre des nouvelles routes de la soie maritime, un projet pharaonique lancé par Pékin afin de mieux connecter la à l’Afrique, à l’Asie, à l’Europe et à l’Océanie. En tout, la Chine contrôle tout ou partie de 13 ports du Vieux Continent. Ses parts équivalent à 10 % de la capacité de transport maritime européen. À lire aussi Le Sri Lanka piégé par les crédits chinois Toutefois, la Chine n’a pas uniquement acquis des infrastructures européennes. Elle a par exemple construit le port de Hambantota, au Sri Lanka. Colombo a ensuite été contraint de le louer à la Chine pour quatre-vingt-dix-neuf ans en raison de dettes trop importantes. Cette perte de souveraineté avait suscité une importante vague de contestation. Influence politique de Pékin En dehors de ce cas extrême, la prise de contrôle par la Chine d’infrastructures portuaires en Europe peut poser des problèmes politiques. Ainsi, la Grèce a systématiquement voté contre les résolutions de l’Union européenne concernant l’attitude de la Chine vis-à-vis des droits humains depuis l’arrivée de Cosco au Pirée. À lire aussi Comment la Chine achète le monde « On estime désormais que les investissements chinois dans des pays de la Méditerranée et d’Europe centrale risquent d’influencer les positions respectives vis-à-vis de la Chine », estime ainsi Paul van der Putten, expert de la Chine à l’Institut néerlandais des relations internationales, cité par .