Christian Estrosi au proc s de l attentat de Nice Il aurait fallu recourir l intelligence artificielle Nice Nice

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Christian Estrosi au procè s de l attentat de Nice « Il aurait fallu recourir à l intelligence artificielle» Nice - Nice HEAD TOPICS

Christian Estrosi au procè s de l attentat de Nice « Il aurait fallu recourir à l intelligence artificielle»

21/10/2022 09:01:00

Le maire de Nice adjoint chargé de la sé curité en juillet 2016 é tait entendu auprè s de la cour spé cialement composé e Devant des parties civiles souvent agacé es par ses discours il a dé fendu le systè me de vidé osurveillance de sa ville

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Libération

Christian Estrosi au procès de l’attentat de Nice : «Il aurait fallu recourir à l’intelligence artificielle» Son témoignage s’est parfois mué en plaidoyer en défense de la «vidéoprotection» et surtout de la «reconnaissance faciale». Juliettedelage Le maire de Nice , adjoint chargé de la sécurité en juillet 2016, était entendu auprès de la cour spécialement composée. Devant des parties civiles souvent agacées par ses discours, il a défendu le système de vidéosurveillance de sa ville. dossierL’actuel maire de la ville, adjoint chargé de la sécurité en juillet 2016, était entendu auprès de la cour spécialement composée. Devant des parties civiles souvent agacées par ses discours, il a précisé n’avoir pas participé aux réunions préparatoires de la soirée et a défendu l’utilisation de la vidéoprotection. Christian Estrosi lors d'une réunion du parti d'Edouard Philippe, Horizons, le 16 septembre à Fontainebleau (Seine-et-Marne).(Bertrand Guay/AFP)Juliette Delagepublié le 20 octobre 2022 à 21h46Le président l’a dit, répété, et souligné, dès le premier jour du procès de l’attentat de Nice, le 5 septembre : la cour d’assises spécialement composée n’est pas là pour juger le dispositif de sécurité qui entourait la promenade des Anglais, le 14 juillet 2016. Cette question pourtant lancinante – de manière très prévisible – occupait ce jeudi après-midi l’essentiel des débats. Et pour cause : à la barre, Christian Estrosi, 67 ans, costume bleu nuit et tempes grisonnantes, à l’époque premier adjoint au maire en charge de la sécurité, avant de redevenir lui-même édile de Nice l’année suivante. Comment un camion de 19 tonnes a-t-il pu délibérément foncer dans la foule en liesse rassemblée sur la plus belle avenue de la French Riviera, faisant 86 morts et des centaines de blessés ? Comment son chauffeur, Lire la suite:
Libération » Procès de l'attentat de Nice : Christian Estrosi assure avoir 'suivi à la lettre les instructions de l'État' Procès requis pour trois surveillants après la mort d’un détenu en 2016 L'Isle-sur-la-Sorgue : Miss Elégance Provence, encore une l'isloise Procès de l'attentat de Nice: Christian Estrosi se défend de toute faille dans la sécurité

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La cathédrale de la Major fait l'objet d'une grande rénovation. Un chantier en plusieurs phases qui se poursuit aujourd'hui avec des travaux de restauratio Lire la suite >> Juliettedelage Le motodidacte en roue libre... Juliettedelage Et allez, la reconnaissance faciale... Comme si ça resolvait les problèmes ! Ça sert surtout à traquer le citoyen lambda pour tout et n'importe quoi. Juliettedelage ... et laisser la Chine faire de l'entrisme ? Juliettedelage Juliettedelage Juliettedelage Il a raison Juliettedelage Ils rêvent tous d'une société orwellienne. Qu'il aille vivre en Chine! Procès de l'attentat de Nice : Christian Estrosi assure avoir 'suivi à la lettre les instructions de l'État'L'actuel maire de Nice a témoigné au procès de l'attentat de Nice pour répondre aux interrogations des victimes sur d'éventuelles failles de sécurité sur la promenade des Anglais le 14 juillet 2016. Le tout dans une seule personne .. faut le faire quand même ! J'en connais qui ont suivi les instructions de l'État et qui en sont morts… covid19 Procès requis pour trois surveillants après la mort d’un détenu en 2016Fleury-Mérogis : Un procès requis pour trois agents pénitentiaires après la mort d’un détenu en 2016 via 20minutesParis L'Isle-sur-la-Sorgue : Miss Elégance Provence, encore une l'isloise'Je suis fière de représenter la féminité et l'élégance. Le comité Miss Élégance France ouvre ses portes à tous les critères physiques. Et cela m'a permis de prendre confiance en moi' MissEleganceProvence IsleSurLaSorgue Procès de l'attentat de Nice: Christian Estrosi se défend de toute faille dans la sécuritéAu procès des attentats de Nice , la cour a entendu ce jeudi après-midi, Christian Estrosi, maire de Nice de 2008 à juin 2016 puis à partir de 2017, qui était premier adjoint à la sécurité en ce 14 juillet… C'est pourtant indéfendable. Jamais responsable Au procès de l’attentat de Nice, Christian Estrosi parle encore de luiLe maire de Nice a témoigné plusieurs heures durant, jeudi 20 octobre, devant la cour d’assises spéciale de Paris qui juge l’attentat du 14 juillet 2016. Très fier de lui-même, de son action et de ... ellensalvi Un abruti dont la responsabilité est engagée Procès de l'attentat de Nice : «personne n'avait envisagé l'impensable» explique EstrosiLe maire Christian Estrosi s'est défendu de toute défaillance de la sécurité au procès de l'attentat de Nice . Le soir du drame, il explique qu'il aurait été impossible à l'œil nu et à travers le système de vidéosurveillance d'identifier le passage des terroristes lors de leurs repérages des lieux. Procès de l'attentat du 14 juillet de Nice dossier L’actuel maire de la ville, adjoint chargé de la sécurité en juillet 2016, était entendu auprès de la cour spécialement composée.Temps de lecture : 1 min.l’incendie et l’ouverture de la cellule du détenu.S'inscrire Créée en 2016, l'élection de la première Miss Élégance France a été élue en 2017. Devant des parties civiles souvent agacées par ses discours, il a précisé n’avoir pas participé aux réunions préparatoires de la soirée et a défendu l’utilisation de la vidéoprotection. Christian Estrosi lors d'une réunion du parti d'Edouard Philippe, Horizons, le 16 septembre à Fontainebleau (Seine-et-Marne). Photo d'illustration. (Bertrand Guay/AFP) Juliette Delage publié le 20 octobre 2022 à 21h46 Le président l’a dit, répété, et souligné, dès le premier jour du procès de l’attentat de Nice, le 5 septembre : la cour d’assises spécialement composée n’est pas là pour juger le dispositif de sécurité qui entourait la promenade des Anglais, le 14 juillet 2016. Selon l’enquête, cette équipe a passé « au moins douze minutes » à s’équiper d’une tenue « pare-coup », destinée à se protéger des détenus violents. Cette question pourtant lancinante – de manière très prévisible – occupait ce jeudi après-midi l’essentiel des débats. À propos de la sécurisation du feu d'artifice, "il n'y a eu aucun relâchement, après l'Euro de football" , affirme Christian Estrosi. Et pour cause : à la barre, Christian Estrosi, 67 ans, costume bleu nuit et tempes grisonnantes, à l’époque premier adjoint au maire en charge de la sécurité, avant de redevenir lui-même édile de Nice l’année suivante. Le football dans un club féminin le FC Bonnieux et l'équitation à la maison car je possède des chevaux. Comment un camion de 19 tonnes a-t-il pu délibérément foncer dans la foule en liesse rassemblée sur la plus belle avenue de la French Riviera, faisant 86 morts et des centaines de blessés ? Comment son chauffeur, , a-t-il pu effectuer une dizaine de repérages – à pied, à vélo, dans le poids lourd – en quatre jours sans être inquiété ? D’emblée, Estrosi précise qu’il n’a pas participé aux réunions préparatoires de la soirée. Il a ensuite renvoyé la balle au gouvernement de l'époque :  "Nous avons ce soir-là, dit-il, suivi à la lettre les instructions de l'État". Le ministère public lui reproche de ne pas avoir formulé « une consigne claire d’intervenir plus vite ». «Fils de Nice» «A posteriori, on peut toujours se demander pourquoi on n’a pas imaginé ce qui était alors inimaginable dans toute la France» , a déclaré celui qui est aussi président du conseil régional de Provence-Alpes-Côte-d’Azur et vice-président du parti politique d’Edouard Philippe , Horizons. Il reprend, dans une salle d’audience plus investie que d’habitude par la presse et les parties civiles – souvent agacées par ses discours –, lève régulièrement les yeux de son texte posé sur le pupitre : «Mais de fait, aucune réunion de préparation ne l’avait envisagé. L'édile a raconté aussi ce moment où le pape François l'a appelé. Et aujourd’hui, comme hier, rien n’empêcherait un camion fou d’attaquer la foule . Dans un rapport écrit une dizaine de jours après le drame, la directrice de Fleury-Mérogis avait dénoncé « la forte vacuité des personnels » et « leur manque d’implication flagrant », en s’appuyant sur des images de vidéosurveillance.» Rien, ou presque. Le procès de l'attentat du 14 juillet 2016 a commencé le 5 septembre et se poursuit jusqu'en décembre devant la cour d'assises spéciale de Paris. Et cela m'a permis de prendre confiance en moi. Le témoignage de l’élu s’est parfois mué en plaidoyer en défense de la «vidéoprotection» .
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