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À Paris par Art Basel une effervescence internationale

21/10/2022 08:06:00

Cette premiè re é dition piloté e par le groupe suisse Art Basel qui remplace la Fiac s est ouverte par de trè s nombreuses ventes y compris à des collectionneurs amé ricains ou asiatiques Malgré les promesses la scè ne franç aise y semble moins pré sente

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Cette première édition pilotée par le groupe suisse Art Basel qui remplace la Fiac s’est ouverte par de très nombreuses ventes, y compris à des collectionneurs américains ou asiatiques. Malgré les promesses, la scène française y semble moins présente. Cette première édition pilotée par le groupe suisse Art Basel qui remplace la Fiac s’est ouverte par de très nombreuses ventes (1), y compris à des collectionneurs américains ou asiatiques. Malgré les promesses, la scène française y semble moins présente. « Notre arrivée a suscité des craintes, voire un certain émoi quant à la préservation de l’identité et du caractère spécifiquement parisien de la foire. Nous les avons dissipées en nouant aussi des partenariats avec de nombreuses institutions françaises » , promet Clément Delépine, directeur de Paris +, par Art Basel.La nouvelle concession duEn contrepartie, le groupe suisse fait valoir sa puissance à l’international qui lui permet d’attirer à Paris des collectionneurs de toute la planète. À en juger par les premiers achats conclus dès l’ouverture, ceux-ci ont afflué à Paris comme jamais, d’Amérique du Nord et du Sud mais aussi d’Asie, une semaine après la foire Frieze de Londres, déjà marquée par un très grand dynamisme. Lire la suite:
» «Paris+ par Art Basel» : drôle de nom pour la nouvelle foire d’art contemporain Paris+ par Art Basel : la nouvelle foire d'art contemporain investit la capitale jusqu'au 23 octobre Star Academy 2022 : les trois élèves nominés cette semaine sont... Karim Benzema : cette immense star avec qui sa compagne Jordan Ozuna a déjà été en couple

Le prix du lait s envole vers des sommets jamais atteints

Lactalis a signé un accord avec les producteurs de lait à 490 euros les 1.000 litres pour le quatrième trimestre. Un prix historiquement haut en France, qui correspond à une hausse de 32 %. Lire la suite >> «Paris+ par Art Basel» : drôle de nom pour la nouvelle foire d’art contemporainLa Fiac n’existe plus, remplacée depuis ce mercredi par Paris + par Art Basel , grand-messe de l’ art contemporain au Grand Palais éphémère. A Paris+Artbasel c’est aussi dans nos magnifique rues sur tous les supports saccageParis AnneHidalgo Art PrixMarcelDuchamp anne_hidalgo Paris+ par Art Basel : la nouvelle foire d'art contemporain investit la capitale jusqu'au 23 octobreLa nouvelle foire d’ art contemporain Paris + par Art Basel investit la capitale, jusqu'au 23 octobre. Un nouvel événement phare. Pour son édition inaugurale, la foire d’art moderne et contemporain Paris + par Art Basel , qui se tient jusqu'au 20 au 23 octobre, voit les choses en grand. Au total, pas moins de 156 galeries issues de 30 pays ont fait le déplacement au Grand Palais Éphémère ( Paris 7e). C'est de la soupe Star Academy 2022 : les trois élèves nominés cette semaine sont...Ce mercredi 19 octobre, au cours de la quotidienne, le public a pu découvrir les premières évaluations des 13 élèves de la nouvelle Star Academy. À l'issue de l'émission, trois élèves ont été nominés et seront en danger lors du prime de samedi. Il s'agit de... Karim Benzema : cette immense star avec qui sa compagne Jordan Ozuna a déjà été en coupleCe lundi 17 octobre, Karim Benzema a remporté le Ballon d'Or 2022. Une récompense que l'international français a souhaité partager avec ses... 'Jawbone bob' : cette coupe au carré tendance est parfaite pour l'automne-hiver (découvrez pourquoi !)C’est la coupe de cheveux la plus pratique lorsque le froid arrive. Le 'Jawbone bob' est un carré court qui atteint la mâchoire. Il souligne élégamme1 Birkenstock : voici les paires qu’on verra partout cette saisonLes modeuses l’ont adopté : la Birkenstock sera LA chaussure à porter en cette fin d’année. après l’éviction en janvier dernier du groupe RX (2) qui pilotait depuis des années la Foire internationale d’art contemporain (Fiac) à Paris, désormais rebaptisée « Paris +, par Art Basel ».vec les plus grandes galeries du moment.La nouvelle foire d\u2019art contemporain Paris+ par Art Basel investit la capitale, jusqu'au 23 octobre.La suite sous cette publicité Publicité La suite sous cette publicité Publicité News les + populaires TV 1 Mort de Martine Allain-Regnault, ancienne star des émissions médicales de TF1, Antenne 2 et France 2 2 Maud (L'amour est dans le pré) séparée de Laurent, elle sort du silence et adresse un message à ceux qui lui ont apporté "un grand réconfort" 3 "Je t'adore, mais voilà" : en larmes, Alain annonce son choix entre ses deux prétendants dans L'amour est dans le pré (SPOILER) 4 "Mets un petit soutien-gorge balconnet" : la proposition lunaire de Thierry à Renée dans L'amour est dans le pré (SPOILER) 5 La suite sous cette publicité Publicité. En signant un contrat de sept ans avec la Réunion des musées nationaux-Grand Palais (RMN-GP), Marc Spiegler, le directeur d’Art Basel, s’était engagé à maintenir une présence des galeries françaises autour de 30 %. Pari tenu. AFP/Stéphane de Sakutin 0. Malgré un afflux record de 729 candidatures – soit presque deux fois plus que pour la Fiac –, les comités de sélection ont retenu 48 galeries dont la maison mère est française, sur les 156 exposants venus de trente pays, dont tous les poids lourds du marché. Au total, pas moins de 156 galeries issues de 30 pays ont fait le d\u00e9placement au Grand Palais \u00c9ph\u00e9m\u00e8re (Paris 7e). Mais si l’on ne considère que le secteur des seize galeries émergentes, mises à l’honneur au centre du Grand Palais éphémère, la proportion de galeries françaises tombe à quatre, soit 25 %. Des tarifs des stands en légère hausse « Notre arrivée a suscité des craintes, voire un certain émoi quant à la préservation de l’identité et du caractère spécifiquement parisien de la foire. Nous les avons dissipées en nouant aussi des partenariats avec de nombreuses institutions françaises » , a souligné Marc Spiegler, la veille de l’ouverture.\n\nParmi les galeries internationales, on peut citer les galeries new-yorkaises Paula Cooper et Gagosian, Konrad Fischer (Allemagne), Gladstone (Belgique), ou encore Franco Noero, bas\u00e9e en Italie. Les expositions de la foire dans les jardins des Tuileries et au Musée Delacroix, rattachés au Louvre, et sur la place Vendôme ont été maintenues et étendues à la chapelle de l’École des beaux-arts. En attendant d’autres sites « au-delà de l’hypercentre de la capitale lors des prochaines éditions » , promet Clément Delépine, directeur de Paris +, par Art Basel. À lire aussi « Il y a un vrai désir d’art » : à Paris, la Fiac revit dans un écrin éphémère À la tête du Comité professionnel des galeries d’art, Marion Papillon a aussi obtenu que Paris + distribue un plan et la programmation des 147 galeries participant toute la semaine à l’opération « Un Dimanche à la galerie », en espérant pouvoir y attirer des collectionneurs… Des partenariats ont été noués avec la Fondation Vuitton (qui expose ses sacs siglés par les artistes à l’entrée de Paris +) et surtout avec la fondation Lafayette Anticipations, qui produira une œuvre d’un artiste sélectionné dans le secteur « émergent » et remboursera le stand de sa galerie. Sur la liste des exposants figurent Antenna Space (Shanghai), l\u2019Instituto de vision (Bogot\u00e1 \/ New York), LC Queisser (Tbilissi), Marfa' (Beyrouth), mais aussi Parliament (Paris). La nouvelle concession du à Art Basel s’est accompagnée d’une hausse de 30 %, par rapport au « tarif négocié » dont bénéficiait la Fiac. En conséquence, les tarifs des stands à Paris + ont augmenté de 6 %. « Les prestations complémentaires pour l’aménagement des stands ont connu des hausses plus fortes » , indique Marion Papillon.\nParmi elles, \u00abGuardians\u00bb, quatre lions en marbre couch\u00e9s sur le flanc, une installation de l\u2019artiste danoise Nina Beier, ou encore \u00abPhone User 4\u00bb, de l'Allemande Judith Hopf, une sculpture en b\u00e9ton repr\u00e9sentant un personnage grandeur nature avec un smartphone \u00e0 la main. En contrepartie, le groupe suisse fait valoir sa puissance à l’international qui lui permet d’attirer à Paris des collectionneurs de toute la planète. À en juger par les premiers achats conclus dès l’ouverture, ceux-ci ont afflué à Paris comme jamais, d’Amérique du Nord et du Sud mais aussi d’Asie, une semaine après la foire Frieze de Londres, déjà marquée par un très grand dynamisme. Ventes records chez David Zwirner Dès mercredi, le galeriste David Zwirner faisait ainsi savoir qu’il avait vendu des œuvres pour un total « de 11 millions de dollars (11,22 millions d’euros), des montants que nous n’aurions jamais pu atteindre ici, à Paris, par le passé ».\n\n\u00a9Maija Toivanen\/HAM\/Helsinki Biennial\nEnfin, on peut d\u00e9couvrir au sein de la Chapelle des Petits-Augustins (Beaux-Arts de Paris), une projection holographique sign\u00e9e Omer Fast, mettant en sc\u00e8ne le visage d'un mod\u00e9rateur de contenu sur les r\u00e9seaux, et des reproductions d\u2019un autoportrait du peintre allemand Max Beckmann. Clou de son stand, un tableau de Joan Mitchell, actuellement en vedette à la Fondation Vuitton, s’est envolé pour 4,5 millions de dollars (4,59 millions d’euros) dans une collection privée. La galerie Loevenbruck a vendu pour sa part un tableau de Gilles Aillaud (dont l’œuvre sera bientôt exposée au Centre Pompidou), une sculpture du duo franco-anglais Dewar et Gicquel, et, à une collection coréenne, une grande peinture de l’artiste transgenre Ashley Hans Scheirl, exposée à la dernière Biennale de Venise. Même euphorie dans le stand de Jérôme Poggi, avec plus d’une dizaine de ventes et une offre sérieuse pour un tableau d’Edvard Munch, proposé à 2,4 millions d’euros. Courtoisie Omer Fast et gb agency\n\n\n\n\nCe n\u2019est pas tout. À lire aussi Munch, peintre symphoniste au Musée d’Orsay Très tendance dans le marché actuel, les œuvres d’artistes africains ou de la diaspora – avec des corps noirs plus présents que jamais sur les cimaises – ont fait également carton plein. Mercredi, les solo shows du Béninois Romeo Mivekannin chez Cécile Fakhoury et du Congolais Hilary Balu chez Magnin-A affichaient déjà « sold out » ou presque. Cette frénésie acheteuse a gagné aussi la galerie Foksal de Varsovie, autour des patchworks chamarrés de l’artiste rom Malgorzata Mirga-Tas, sensation de la dernière Biennale de Venise, tous vendus entre 30 000 et 35 000 €.\u00a0\u00a0\n. Artistes français plus effacés et sélection « main stream » Et les artistes de la scène française ? « Le véritable enjeu est là , reconnaît le galeriste Georges-Philippe Vallois. Dans un marché marqué par une financiarisation accrue, en quête d’artistes de plus en plus jeunes, les Français sont peu présents et ont absolument besoin de cet événement mondial qu’est Paris + pour accroître leur rayonnement. » On regrettera à ce titre qu’aucune des 16 galeries émergentes à Paris +, même pas les quatre françaises, n’ait jugé bon de mettre à l’honneur un artiste de la scène hexagonale. La non-sélection de la galeriste Suzanne Tarasiève, pilier de l’ancienne Fiac, qui proposait pourtant un solo show consacré à l’artiste Eva Jospin, paraît tout aussi incompréhensible. À lire aussi Quant aux galeries françaises présentes à Paris +, à l’exception de certaines comme Christophe Gaillard, Xippas, Ceysson-Bénétière ou Applicat-Prazan, beaucoup « semblent s’être alignées sur une offre très internationale, “main stream” » , note le sociologue Alain Quemin, spécialiste du marché de l’art. Pour lui, Paris + offre « beaucoup de grandes peintures et de sculptures, très colorées, d’artistes américains ou allemands. Les artistes français sont beaucoup moins visibles, à l’image de Mimosa Échard, dont Chantal Crousel ne montre qu’un moyen format ». Alors même que cette artiste vient de remporter le prix Marcel-Duchamp. ---------- Dans le « in » et le « off » Sites . Sous la houlette d’Annabelle Ténèze, 22 monuments contestataires sont déployés dans le jardin des Tuileries. La place Vendôme, le Musée Eugène-Delacroix, la chapelle de l’École des beaux-arts accueillent aussi des œuvres contemporaines. Conversations. « L’avenir du marché de l’art français ? » jusqu’au e siècle ? » : Paris + organise une dizaine de débats au Bal de la Marine, une péniche au pied de la tour Eiffel. Événements. Une quinzaine d’autres foires ont lieu jusqu’au 23 octobre autour de Paris + dont Asia Now à la Monnaie, Akaa centrée sur l’art africain au Carreau du Temple et Paris Internationale dans l’ancien studio de Nadar, 35 boulevard des Capucines. (1) Jusqu’à dimanche 23 octobre. (2) Filiale du groupe britannico-néerlandais Relx. À découvrir .