Au Royaume Uni qui pour remplacer Liz Truss la t te du pays? Europe Royaume Uni

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Au Royaume-Uni qui pour remplacer Liz Truss à la tê te du pays

21/10/2022 02:09:00

Au Royaume-Uni qui pour remplacer Liz Truss à la tê te du pays

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Au Royaume-Uni , qui pour remplacer Liz Truss à la tête du pays? Six semaines à Downing Street : un record de brièveté. La Première ministre britannique Liz Truss a démissionné ce jeudi 20 octobre, face à l'impossibilité de mettre en œuvre son programme. L'échec de… PublicitéUne élection rapide, voilà une bonne manière d'éviter un scrutin fratricide comme à l'été, selon Michael Howard, ancien leader du parti.À relire :Boris Johnson, bien sûr ! Il a la légitimité de l'électorat général. Grâce à lui, nous avons remporté une majorité historique de 80 sièges. Nous avons besoin de quelqu'un qui peut nous faire remonter dans les sondages, d'un gagnant. Lire la suite:
» 44 jours à Downing Street : Liz Truss, l’histoire d’un naufrage politique en 4 actes Liz Truss démissionne, le chaos politique continue au Royaume-Uni Royaume-Uni : Liz Truss démissionne après seulement six semaines au pouvoir Le régulateur européen approuve l'utilisation de vaccins anti-Covid dès six mois

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La cathédrale de la Major fait l'objet d'une grande rénovation. Un chantier en plusieurs phases qui se poursuit aujourd'hui avec des travaux de restauratio Lire la suite >> 44 jours à Downing Street : Liz Truss, l’histoire d’un naufrage politique en 4 actes🇬🇧 Un passage au pouvoir aussi court que chaotique. La Première ministre britannique trussliz a annoncé sa démission ce jeudi 20 octobre, 44 jours seulement après le début de son mandat. Retour sur six semaines d’un mandat qui semblait voué à l’échec. Liz Truss démissionne, le chaos politique continue au Royaume-UniLa cheffe de gouvernement tory a annoncé sa démission ce jeudi 20 octobre à Londres. Elle aura aussi été la cheffe de gouvernement ayant occupé le moins longtemps le 10, Downing Street, avec seulement six semaines au pouvoir. solidarité avec nos amis Britanniques qui vivent un moment grave Déjà ! 🤣 Royaume-Uni : Liz Truss démissionne après seulement six semaines au pouvoirLa dirigeante conservatrice faisait face depuis plusieurs jours à une fronde au sein de son propre camp. Elle avait assuré encore mercredi vouloir s’accrocher à son poste. 🤡 C'est misogyne 🙃 TROP FORT LES ANGLAIS ! Ils ont réussi à en trouver une pire que le précédent … Le régulateur européen approuve l'utilisation de vaccins anti-Covid dès six moisLe régulateur européen approuve l'utilisation de vaccins anti-Covid dès six mois Vaccin covid 👉 Tout ce qui vient de l’UE c’est franchement pas terrible Sainte-Foy-lès-Lyon: un point de deal démantelé et 45.000 euros saisis après six mois d'enquêteQuatre suspects ont été interpellés et présentés à la justice Et demain, il y aura un nouveau point de deal et il faudra tout recommencer. Un point ! UN POINT ! SEULEMENT 1! Alors qu'il y en a des dizaines de milliers en France ! Royaume-Uni : sous le feu des critiques, Liz Truss assure qu'elle n'abandonnera pasSix semaines après son élection, la Première ministre est déjà rejetée par l'opinion et contestée au sein de sa propre majorité. Suivre 2 mn Six semaines à Downing Street : un record de brièveté.La Première ministre britannique Liz Truss a annoncé sa démission ce jeudi 20 octobre, 44 jours seulement après le début de son mandat.20 oct.Temps de lecture 1 min La Première ministre britannique Liz Truss a annoncé sa démission ce jeudi 20 octobre après seulement 45 jours de mandat. La Première ministre britannique Liz Truss a démissionné ce jeudi 20 octobre, face à l'impossibilité de mettre en œuvre son programme. L'échec de son plan fiscal a conduit de plus en plus de députés à appeler à son départ. Retour sur six semaines d’un mandat qui semblait voué à l’échec. Le Parti conservateur doit désormais se trouver encore une fois un nouveau chef. La Banque d’Angleterre avait dû intervenir pour empêcher la situation de dégénérer en crise financière et le Fonds monétaire international (FMI) était intervenu publiquement pour mettre en garde contre le risque d’une crise économique grave et d’une contagion à des pays extérieurs. Publicité Avec notre correspondante à Londres, Émeline Vin Une élection rapide, voilà une bonne manière d'éviter un scrutin fratricide comme à l'été, selon Michael Howard, ancien leader du parti. Elue à la tête du Parti conservateur le 5 septembre, elle est chargée par la reine Elisabeth II de former un gouvernement en son nom, le 6 septembre. Je suis très content que l'élection se tienne en une semaine. Des appels à la démission jusque dans son camp Plus impopulaire que jamais dans l’opinion, sans programme économique après son humiliant renoncement aux baisses d’impôts et ayant dû se priver de deux de ses plus importants ministres, Liz Truss avait beau assurer qu’elle désirait rester en place, son maintien à Downing Street ne tenait plus qu’à un fil. En réalité, j'espère qu'il n'y aura même pas d'élection et que tout le monde va se rassembler derrière une personne, afin de restaurer la stabilité et la responsabilité à la tête du gouvernement. La suite après la publicité A peine deux jours plus tard, son annonce d’un gel des prix de l’énergie pour les particuliers et les entreprises est totalement éclipsée par le décès de la souveraine, qui plonge le pays dans dix jours de deuil national – et met un coup d’arrêt à la vie politique britannique. Il a mis en pièces toutes les baisses d’impôts originellement promises tout en agitant le spectre de l’austérité, avertissant sur la nécessité des coupes dans les dépenses publiques alors que l’inflation a dépassé les 10 % au mois de septembre. Sa préférence : Rishi Sunak, battu par Liz Truss lors de la dernière primaire. À relire : Royaume-Uni : la Première ministre conservatrice Liz Truss démissionne Hors de question de repasser par la case des législatives. Au programme : des baisses d’impôts de dizaines de milliards de livres financées par de la dette. Mais pour Brandon Clark Smith, seul un député a la légitimité requise et son choix ne se porte pas sur M. Reste désormais à lui trouver un successeur, ce qui ne risque pas d’être chose aisée. Sunak. Le 26 septembre, à la réouverture des marchés, la livre chute à un plus bas historique. La presse soulignait encore unanimement dans la matinée le « chaos » politique actuel, « The Times » jugeant Liz Truss « condamnée » . Boris Johnson, bien sûr ! Il a la légitimité de l'électorat général. Grâce à lui, nous avons remporté une majorité historique de 80 sièges. Les semaines qui suivent plongent un peu plus la Première ministre dans la débâcle. Nous avons besoin de quelqu'un qui peut nous faire remonter dans les sondages, d'un gagnant. Cependant, le seuil de cent parrainages complique le retour de Bojo. Un autre affirme que le parti d’opposition travailliste, le Labour, recueille 54 % des intentions de vote, contre seulement 21 % pour les Tories (conservateur). Charles Walker, exaspéré par les déboires de son parti, appelle ses collègues à la responsabilité. Le vainqueur doit composer son équipe ministérielle en fonction des compétences. La suite après la publicité Liz Truss, une héritière du thatchérisme à la tête du Royaume-Uni Liz Truss, elle, tente de tenir la barre. Pas de faveurs, pas de copinage. Si nous sommes dans la pagaille actuelle, c'est parce que la condition pour entrer au gouvernement, c'était d'avoir soutenu le bon candidat. Elle défend l’approche budgétaire « responsable » de son budget et tente de rassurer : « Quand il y a du changement, il y a des perturbations. Nous avons beaucoup trop de gens ambitieux dans ce parti, dont l'ambition dépasse les compétences. Le ou les candidats seront connus lundi. « L’important, c’est que nous sommes tous unis derrière le plan de croissance » , balaie la Première ministre à la radio face aux questions sur la discipline au sein de son parti. Le nouveau Premier ministre sera en poste en fin de semaine. Et l'on reparle donc de Bojo Trois mois après son départ, certains conservateurs s'agitent déjà sur Twitter autour du mot clé #BringBorisBack, « Ramenez Boris ». La veille encore, il affirmait être convaincu que lui et la Première ministre seraient encore en poste dans un mois… L’annonce d’une prise de parole de la part de Liz Truss affole la presse : va-t-elle démissionner ? Le tabloïd « Daily Star » lance un direct et s’interroge : « Liz Truss peut-elle survivre plus longtemps qu’une laitue ?  » Sur le direct, la salade verte est disposée à côté d’un portrait de la Première ministre. Un retour de M. Johnson qui, pour d'autres tories, serait cependant une insulte. La suite après la publicité Mais l’humiliation n’est pas terminée pour Liz Truss : le remplaçant de Kwasi Kwarteng, Jeremy Hunt – un ancien candidat dans la course pour Downing Street – s’attelle le 17 octobre à. Quoi qu'il en soit, selon The Times , l'ex-Premier ministre compte y aller ! Si c'est le cas, il fera peut-être face à certains de ceux qui étaient en lice cet été pour sa succession, et dont les noms réapparaissent. Rishi Sunak avait été battu dans la phase finale par Mme Truss. Ce tenant de l'orthodoxie budgétaire était le favori des députés conservateurs, mais les fidèles de Boris Johnson le considèrent comme un traître dont la démission du poste de ministre des Finances a provoqué la chute de leur champion. Autres candidates potentielles : la charismatique Penny Mordaunt, ministre de la Défense sous Theresa May, ou encore Suella Braverman, la ministre de l'Intérieur qui a démissionné mercredi, une conservatrice très à droite rêvant d'avions de migrants partant pour le Rwanda. Les règles pour être candidats sont connues depuis ce jeudi : il faut être parrainé par au moins cent députés conservateurs (sur 357). Si trois personnes y parviennent, les députés en retiendront deux, qui se soumettront alors au vote en ligne des adhérents du parti. Rédaction internationale, Christophe Paget Une nouvelle fois, tout va se passer en interne. Mais d'après le spécialiste des institutions britanniques Aurélien Antoine, c'est une faute politique des tories qui devraient se confronter à un scrutin législatif au lieu de désigner par eux-mêmes un nouveau Premier ministre. Ils font de la politique politicienne. Quelqu'un de très honnête et de très courageux dirait : « Bon, écoutez, on va retourner devant les électeurs, on va se prendre une veste, mais admettons qu'on est nuls, qu'on n'est plus en capacité de gouverner au regard du Parti conservateur, qu'il faut accepter l'alternance. » Aurélien Antoine, professeur de droit public à l'université Jean Monnet de Saint-Étienne Vincent Souriau .
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