Deux « identitaires & #187 é copent d emprisonnement ferme Justice - Marseille HEAD TOPICS
Deux « identitaires & #187 é copent d emprisonnement ferme
20/10/2022 19:30:00 Le tribunal correctionnel de Marseille a reconnu sans difficulté s les 23 membres du commando de « Gé né ration identitaire & #187 coupables du coup de force
Justice Marseille
La source La Marseillaise
Deux des vingt-trois miliciens d’extrême droite sont condamnés à six mois et un an de prison ferme pour l’occupation violente du siège de SOS Méditerranée en 2018. De cinq à huit mois avec sursis pour les autres. Justice Marseille GenerationIdentitaire Le tribunal correctionnel de Marseille a reconnu sans difficultés les 23 membres du commando de « Génération identitaire » coupables du coup de force ... (Le tribunal correctionnel de Marseille a reconnu sans difficultés les 23 membres du commando de « Génération identitaire » coupables du coup de force du 5 octobre 2018 dans les locaux de SOS Méditerranée, rue Paradis à Marseille. Le groupe d’extrême droite dissout est condamné pour « violences volontaires en réunion » et « participation à un groupement en vue de la préparation de ces violences ». Lire la suite:
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Violences contre SOS Méditerranée : des peines de prison ferme pour Génération identitaireLe tribunal correctionnel a rendu son jugement dans le procès des violences contre SOS Méditerranée perpétrées par d’ex-membres du groupuscule d’extrême-droite dGénération identitaire. Les magistrats ont reconnu leur culpabilité pour “violences” et les faits de “participation à un groupement en vue de la préparation de violences” sont aussi établis. L’ancien porte-parole du groupuscule aujourd’hui dissout, […] Les collectivités s’engagent sur la sobriétéMercredi, en marge de la signature d’une convention de partenariat « EcoWatt &187; avec le gestionnaire du Réseau de transport d’électricité (RTE), Martin... Une enquête administrative dans les bibliothèquesAlors qu’une enquête préliminaire est ouverte par le Parquet suite à l’alerte éthique lancée par le directeur du réseau, la Ville a annoncé diligenter une enquête administrative. Marseille / 20/10/2022 18h26 Les 23 membres du commando de Génération identitaire avaient déserté la salle d’audience de la caserne du Muy.un commando au siège marseillais de SOS Méditerranée , une ONG d'aide aux migrants, en 2018.migrants , en 2018./ 18/10/2022 16h49 Il s’attaque désormais au « redressement » et au « développement » des titres du groupe, La Provence et Corse-Matin. ( Photo D.C. Le mouvement Génération identitaire a été dissous en mars 2021 par le gouvernement. ) Le tribunal correctionnel de Marseille a reconnu sans difficultés les 23 membres du commando de « Génération identitaire » coupables du coup de force du 5 octobre 2018 dans les locaux de SOS Méditerranée, rue Paradis à Marseille.. Le groupe d’extrême droite dissout est condamné pour « violences volontaires en réunion » et « participation à un groupement en vue de la préparation de ces violences ». Déjà condamné à trois reprises dans le passé, il a joué "un rôle prépondérant" dans l'action du 5 octobre 2018, selon le tribunal, qui l'a également condamné à cinq ans d'inéligibilité et trois ans d'interdiction de séjour à Marseille. Deux des vingt-trois prévenus écopent de peine d’emprisonnement ferme, alors que le parquet avait requis de la prison ferme à l’encontre de 11 membres. Le leader de cette milice guerrière privée, Romain Espino, déjà condamné à trois reprises et ayant tenu un « rôle prépondérant », écope d’un an de prison ferme que le tribunal a aménagé en détention domiciliaire. Décrivant "une scène unique de violences à laquelle tous ont pleinement participé" , Cécile Pendariès a jugé que les 22 militants entrés dans l'appartement étaient bien coupables de violences en réunion et de participation à un groupement en vue de la préparation de ces faits de violence. Franck Dunas, lui aussi en état de récidive pour violences aggravées, est condamné à 6 mois ferme aménagés aussi en surveillance électronique. Ces deux-là et trois autres se voient infliger en outre une peine d’inéligibilité pendant 5 ans.. Interdits de séjour à Marseille Johan Salacroup écope d’un an de prison avec sursis. Six auteurs sont condamnés à huit mois de prison avec sursis (Mathieu Balavoine, Simon Roland, Jérémie Piano, Peter Sterligov, Flora Salacroup, Anne-Thaïs Du Tertre). Trois sont condamnés à sept mois de prison avec sursis (Gaëtan Le Mouillour et Edouard Michaud, Jérémy Rabar). Pour « leur rôle singulièrement violent » , six membres sans casier écopent de six mois avec sursis (Liselotte Dungelhoeff, Jules de Montgolfier, Antoine Gongora, Alexis Otto, Olivier Raffard de Brienne et Robin Sonnendrucker). Cinq écopent de cinq mois avec sursis (Paul Goudard, Etienne Guichard, Florian Marenghi, Corentin Merdy et Anaïs Renon qui filmait la scène à médiatiser qui est reconnue coupable de complicité de ces violences). 22 des 23 condamnés se voient frappés d’une interdiction de séjour à Marseille durant trois ans. Ils feront probablement appel. Pour les juges, il ne s’agissait évidemment pas d’une action pacifique comme plaidée en défense, mais bien d’un « projet violent, partagé par tous et défini en amont », celui d’un envahissement « par la force » des locaux de SOS Méditerranée, rue Paradis, en employant « la contrainte physique » pour faire sortir les membres de l’ONG de sauvetage en mer et « occuper de manière forcée les lieux ». « Ces faits constituent une scène unique de violences à laquelle tous ont pleinement participé et sont constitutifs de violences en réunion ayant causé des incapacités totales de travail » analyse le tribunal pour lequel « ces faits revêtent un caractère certain de gravité compte tenu de la violence de l’intrusion dans un local privé, de l’atteinte au fonctionnement de l’association qui en est résulté, du traumatisme causé aux victimes et du retentissement médiatique recherché et engendré. Les 23 membres sont déclarés « intégralement responsables des préjudices .