Congrè s Force Ouvriè re à Toulouse ' Notre ADN c' est la né gociation' Haute-Garonne - Toulouse HEAD TOPICS
Congrè s Force Ouvriè re à Toulouse ' Notre ADN c' est la né gociation'
20/10/2022 18:46:00 Congrè s Force Ouvriè re à Toulouse ' Notre ADN c' est la né gociation'
Haute-Garonne Toulouse
La source La Dépêche 31
Congrès Force Ouvrière à Toulouse : ' Notre ADN, c'est la négociation' Le congrès départemental du syndicat Force Ouvrière s’est tenu à Toulouse , en présence du secrétaire national, Frédéric Souillot, qui rappelle le rôle déterminant des syndicats et du paritarisme dans notre «... l'essentielLe congrès départemental du syndicat Force Ouvrière s’est tenu à Toulouse, en présence du secrétaire national, Frédéric Souillot, qui rappelle le rôle déterminant des syndicats et du paritarisme dans notre « République sociale ».Comment se porte le syndicalisme en général et Force ouvrière en particulier ?Après la pandémie et les confinements successifs, toutes les centrales constatent qu’il n’y a pas eu de baisse des adhésions. Pour ce qui nous concerne à Force ouvrière, nous avons même renforcé nos positions avec près de 500 000 adhérents au niveau national. Nous sommes, certes, la troisième organisation derrière la CFDT et la CGT, mais nous sommes les premiers dans la fonction publique d’Etat, deuxième dans la fonction publique hospitalière et troisième dans l’administration territoriale. Ici, en Haute-Garonne, nous sommes le premier syndicat en termes de représentativité. Nous avons une très belle union départementale qui travaille à son développement et qui est présente aussi dans le privé, notamment chez Airbus et dans la filière aéronautique. Lire la suite:
La Dépêche 31 » Grève du 18 octobre : mobilisation, violences à Paris, 'problème de salaire' reconnu par Darmanin... ce qu'il faut retenir Grande-Bretagne : d'anciens pilotes de la Royal Air Force recrutés par la Chine La nuit des Bleus : Rudy Gobert en force pour sa première avec Minnesota 6 habitudes toxiques qui détruisent votre force mentale Ne vous taisez pas Elkabbach
Le journaliste star publie ses Mémoires. Il y raconte plus d’un demi-siècle dans l’intimité des grands de ce monde. Crépitant. Lire la suite >> Grève du 18 octobre : mobilisation, violences à Paris, 'problème de salaire' reconnu par Darmanin... ce qu'il faut retenirDes milliers de personnes ont manifesté mardi à l'appel de la CGT, Force ouvrière, Solidaires et d'autres syndicats pour réclamer des hausses de salaire, entraînant des perturbations dans les transports, l'éducation... Grande-Bretagne : d'anciens pilotes de la Royal Air Force recrutés par la ChinePékin recrute d'anciens pilotes de la Royal Air Force. Une trentaine ont déjà rejoint les rangs chinois, créant un risque pour le secret défense britannique. La nuit des Bleus : Rudy Gobert en force pour sa première avec MinnesotaRudy Gobert (23 points, 16 rebonds) a plus eu d'occasions de marquer en un match avec Minnesota que lors de chacune de ses sorties avec Utah la saison dernière. Killian Hayes, Théo Maledon et le rookie Ousmane Dieng ont aussi lancé leur saison mercredi. 6 habitudes toxiques qui détruisent votre force mentaleVous avez besoin d'un bon mental pour réussir, bien vivre, entretenir de bonnes relations et plus encore : ces habitudes vous en empêchent. iPad 10e génération : Apple force l'achat d'un adaptateur pour utiliser votre PencilAvec son nouvel iPad 10e génération, Apple améliore son design et apporte une plus-value à son offre. Mais certains utilisateurs vont devoir repasser à la caisse pour rendre compatible leur stylet. EN DIRECT - Grève: 107.000 manifestants recensés dans toute la France, selon le ministère de l'IntérieurPour ce mardi 18 octobre, quatre organisations syndicales, la CGT, Force Ouvrière, FSU et Solidaires, ont appelé à une journée de mobilisation interprofessionnelles. Elles réclament des hausses de salaires et protestent contre les réquisitions de salariés. Suivez cette journée dans ce live. Ça va les fakesnews ? On vous voit vous les médias corrompus à sans cesse relayer les mensonges du pouvoir ! Quelle honte la façon avec laquelle vous déshonnerer votre métier de journaliste ! 👹 Le foutage de gueule est vraiment le sport national préféré du gouverneMENT. à 17:50 l'essentiel Le congrès départemental du syndicat Force Ouvrière s’est tenu à Toulouse, en présence du secrétaire national, Frédéric Souillot, qui rappelle le rôle déterminant des syndicats et du paritarisme dans notre « République sociale ».Grève du 18 octobre : mobilisation, violences à Paris, "problème de salaire" reconnu par Darmanin.publié le 19/10/2022 à 15:12 Le ministère de la Défense britannique a émis une"alerte menace".. Comment se porte le syndicalisme en général et Force ouvrière en particulier ? Après la pandémie et les confinements successifs, toutes les centrales constatent qu’il n’y a pas eu de baisse des adhésions. Pour ce qui nous concerne à Force ouvrière, nous avons même renforcé nos positions avec près de 500 000 adhérents au niveau national.. Nous sommes, certes, la troisième organisation derrière la CFDT et la CGT, mais nous sommes les premiers dans la fonction publique d’Etat, deuxième dans la fonction publique hospitalière et troisième dans l’administration territoriale. Les restrictions de voyages liés aux Coronavirus étant moins strictes, l’armée chinoise a redoublé ses efforts pour attirer des pilotes britanniques sur son sol. Ici, en Haute-Garonne, nous sommes le premier syndicat en termes de représentativité. MAXPPP - Jan Schmidt-Whitley/Le Pictorium Publié le 18/10/2022 à 20:24 Des milliers de personnes ont manifesté mardi à l'appel de la CGT, Force ouvrière, Solidaires et d'autres syndicats pour réclamer des hausses de salaire, entraînant des perturbations dans les transports, l'éducation nationale, et dans le secteur de l'énergie, alors que le conflit perdure dans les dépôts et raffineries. Nous avons une très belle union départementale qui travaille à son développement et qui est présente aussi dans le privé, notamment chez Airbus et dans la filière aéronautique. Plus étonnant, le pivot des Bleus, qui n'avait pas inscrit le moindre panier en dehors de la raquette la saison dernière, a réussi un spectaculaire tir à six mètres en contre-attaque après interception. Comment expliquez-vous le faible taux de syndicalisation dans les entreprises ? Parce qu’aujourd’hui, que l’ont soit syndiqué ou non, on profite de la même manière de notre république sociale. Près de 107 000 personnes ont manifesté en France, dont 13 000 à Paris, selon le ministère de l'Intérieur, soit un peu moins que le 29 septembre, dernière journée de mobilisation interprofessionnelle.000 euros pour attirer les recrus. Les avantages sociaux, les négociations sur les salaires sont portés par les syndicats, mais profitent à tous les salariés dont certains ne voient pas l’intérêt de s’engager. Pourtant, une mesure comme la revalorisation de 5,1 % des retraites complémentaires du privé, par exemple, est un acquis des syndicats et tous les retraités en bénéficient. Violences à Paris Quelques violences ont éclaté en marge de la manifestation parisienne, causant des dégradations matérielles, envers une banque, notamment, selon la préfecture de police de Paris qui avait procédé en fin de journée à 11 interpellations. Mais si le taux de syndicalisation est faible, en revanche la participation aux élections professionnelles, qui vont avoir lieu avant la fin de l’année, est trois fois supérieure aux élections politiques. Ce qui serait très dangereux en cas de conflit. En moyenne, au niveau national, on compte autour de 78 % de votants, ce qui prouve, quand même, que les salariés sont attachés à une solide représentation syndicale. La police a fait usage de gaz lacrymogène et a chargé certains manifestants, selon un journaliste de Reuters sur place. Le Lotois a échoué à inscrire ses premiers points, dévissant deux tirs primés sur les ailes (dont un air-ball) avant de rater un tir renversé sous le cercle sur un service de Pokusevski. Comment analysez-vous la mobilisation décevante de mardi dernier dans la rue ? Dans le contexte actuel de remise en cause du droit de grève et de baisse du pouvoir d’achat, c’est toujours difficile pour les salariés de débrayer. Il y a aussi le fait que les négociations sur les salaires se font au niveau des entreprises et que certains ne sont pas venus parce qu’ils avaient déjà obtenu des avancées. "C'est plus qu'urgent pour, évidemment, que tous les salariés soient concernés par ces augmentations de salaires", a-t-il expliqué à la presse, sans exclure des "suites" au mouvement de mardi. À écouter aussi. Mais la pression est la même pour tout le monde. "La participation aux élections professionnelles est de 78 %, bien mieux que les élections politiques"… Pourquoi a-t-on autant de mal, en France, à négocier entre partenaires sociaux ? Pour négocier, il faut être deux et on ne peut que constater que le gouvernement fait tout pour passer en force. "Nous, on a dit qu'il fallait que ce soit un mouvement qui s'inscrive dans le temps. Sur les retraites comme sur l’assurance-chômage. Si. La grève, n’est pas un but en soi, mais quand on y est obligé, il faut recourir au rapport de force. "On peut dire que cette journée est réussie, d'abord parce qu'elle s'est montée très rapidement, ensuite par la diversité des secteurs représentés. Je tiens toutefois à dire que dans la plupart des entreprises, la négociation fonctionne. On arrive même à un taux de 90 % d’accords signés par des syndicats représentatifs dans les différentes branches, même si tous les syndicats ne signent pas. L'idée d'une grève générale n'est cependant pas à l'ordre du jour, la mobilisation étant encore mitigée dans certains secteurs, comme la fonction publique, selon la syndicaliste qui évoque les difficultés pour les salariés à faire grève et perdre une journée de salaire. Entre une CFDT réformiste et une CGT plus révolutionnaire, on a du mal à situer Force Ouvrière… Notre ADN, c’est la négociation. Nous avons depuis toujours une pratique contractuelle et conventionnelle. Pour son secrétaire général, Frédéric Souillot, la grève générale, "ça ne se décrète pas". Chaque fois que l’on peut, on négocie en toute liberté et indépendance, au niveau de chaque branche professionnelle. Nous sommes aussi un syndicat très décentralisé avec 29 fédérations et 104 unions départementales. À la SNCF, où la CGT Cheminots et Sud-Rail sont les fers de lance de la mobilisation, le mouvement a affecté surtout les réseaux TER, dont le trafic était "très fortement" touché dans les Hauts-de-France, et dans une moindre mesure les TGV Inoui et Ouigo ainsi que les lignes Eurostar. Quelles sont vos relations avec les autres centrales ? Très bonnes. Depuis le mois de juillet, nous sommes en intersyndicale avec toutes les organisations de salariés pour défendre le pouvoir d’achat et s’opposer aux réformes de l’assurance-chômage et des retraites. Dans l'Education nationale, le mouvement a été globalement moins suivi que lors de la journée d'action du 29 septembre, avec un peu moins de 10 % de grévistes à l'échelle nationale selon les chiffres publiés à la mi-journée par le ministère. D’ailleurs, le gouvernement a reculé sur le sujet pour revenir à la négociation collective. Pour nous, c’est clair, nous sommes contre un recul de l’âge de départ et contre l’allongement de la durée des cotisations. Syndicats et grévistes ont dénoncé l'insuffisance des hausses de traitements et de salaires annoncées ces derniers mois, de 3,5 % dans l'Education comme à la RATP alors que l'inflation en France atteignait 5,6 % sur un an en septembre. Le défi et Bruno Lemaire, le ministre de l’Economie, l’a reconnu, c’est l’aménagement des fins de carrière. Nous avons le plus bas des taux d’emploi en Europe pour les 55-64 ans. "Il fallait au moins l'inflation et un rattrapage des dix dernières années. Plus de 50 % des salariés qui partent à la retraite à 62 ans sont déjà soit au chômage, en maladie ou aux minimas sociaux… Et qu’on ne me parle pas de déficit du système qui était excédentaire de plus de 3,2 milliards l’an dernier. Si ce sont les mêmes experts qui n’arrivent pas à savoir ce que sera notre problème énergétique cet hiver, qui font les prévisions à 50 ans… on peut s’inquiéter. Du côté des partis de gauche, qui soutiennent le mouvement, Jean-Luc Mélenchon (La France Insoumise, LFI) a évoqué mardi dans une déclaration à la presse "un bras de fer avec le pouvoir, une espèce de Mai-68 perlé". Le syndicalisme a-t-il encore un avenir ? Évidemment ! Le syndicalisme et le paritarisme sont les piliers de notre République sociale. La France est une grande puissance économique, mais elle tire aussi cette puissance de son modèle de protection sociale collective. Dans le camp gouvernemental, le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, a reconnu qu'il y avait "un problème de salaires" en France, estimant qu'"une partie du patronat" devait augmenter les salaires "quand c'est possible". .