Projet de r forme des tudes de sages femmes C est un d but mais il ne faut pas s arr ter l Hopital Universite

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Projet de ré forme des é tudes de sages-femmes « C est un dé but mais il ne faut pas s arrê ter là » Hopital - Universite HEAD TOPICS

Projet de ré forme des é tudes de sages-femmes « C est un dé but mais il ne faut pas s arrê ter là »

20/10/2022 12:41:00

La proposition de loi est examiné e en sé ance publique au Sé nat ce mercredi Si les repré sentants du secteur saluent les efforts mis sur la formation ils regrettent l absence de mesures statutaires et salariales pour les sages-femmes

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Libération

Projet de réforme des études de sages-femmes : «C’est un début, mais il ne faut pas s’arrêter là» Changement principal : la création d’une sixième année d’études pour les étudiantes et étudiants en maïeutique. LerayCassandre La proposition de loi est examinée en séance publique au Sénat ce mercredi. Si les représentants du secteur saluent les efforts mis sur la formation, ils regrettent l’absence de mesures statutaires et salariales pour les sages-femmes. . Un an plus tard, le sujet est à l’ordre du jour au Sénat. A majorité de droite la chambre haute a adopté mercredi soir à l’unanimité, en première lecture, une proposition de loi transpartisane, votée il y a près d’un an par l’Assemblée nationale, pour revaloriser la formation des sages-femmes. A lire aussiDepuis des années, le manque d’attractivité de la profession est constamment dénoncé. Preuve en est, le pays connaît une pénurie de sages-femmes sans précédent au sein des maternités mais aussi en ville. Et cette année, près de 20 % des places en deuxième année des études de maïeutique sont restées vacantes, comme le dénoncent plusieurs conférences et associations du secteur, Lire la suite:
Libération » Après l’affaire McKinsey, le Sénat prêt à légiférer sur le recours aux cabinets de conseil Le Sénat va légiférer pour encadrer le recours aux cabinets de conseil Le Sénat vote largement le projet de loi de programmation du ministère de l’Intérieur Les cabinets de conseil dans le viseur du Sénat

Fresh juge les classiques du rap français Booba Niska Niro… GQ

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McKinsey Le Sénat vote largement le projet de loi de programmation du ministère de l’IntérieurLe projet de loi de Gérald Darmanin prévoit la création de 8 500 postes de policiers et gendarmes et l’ajout de huit milliards d’euros consacrés au numérique dans le budget. Le texte doit maintenant être discuté devant les députés. Les cabinets de conseil dans le viseur du SénatLe Sénat va examiner la proposition de loi transpartisane sur l’encadrement du recours aux cabinets de conseil après l’affaire McKinsey. Cela continue, c'est pour cela que rien ne va plus ! Il existe des boules de cristal, le chef de guerre devrait s'en acheter une ! Le Sénat examine l’inscription de l’IVG dans la ConstitutionDeux propositions de loi constitutionnelles similaires sont dans les tuyaux à l'Assemblée nationale Au Sénat, tous unis contre l’avis cher des cabinets de conseilIndiscrétions piquantes, maladresses vaches ou douces confessions: chaque jour, retrouvez les brèves qui auscultent le monde politique. publié le 19 octobre 2022 à 18h49 En octobre 2021, les sages-femmes battaient encore le pavé dans les rues de Paris pour faire entendre leur colère .Éliane Assassi (groupe CRCE à majorité communiste) et Arnaud Bazin (Les Républicains, LR).les sénateurs Eliane Assassi (groupe CRCE à majorité communiste) et Arnaud Bazin (Les Républicains).Temps de lecture 2 min Le Sénat, dominé par l’opposition de droite, a adopté ce mardi 18 octobre en première lecture, par 307 voix contre 27, le projet de loi d’orientation et de programmation du ministère de l’Intérieur (Lopmi), qui prévoit sur cinq ans un effort financier de 15 milliards d’euros. Un an plus tard, le sujet est à l’ordre du jour au Sénat. A majorité de droite la chambre haute a adopté mercredi soir à l’unanimité, en première lecture, une proposition de loi transpartisane, votée il y a près d’un an par l’Assemblée nationale, pour revaloriser la formation des sages-femmes. Il propose ainsi au Sénat d'inclure les grandes collectivités territoriales dans le champ de la proposition de loi. «Cette PPL prend enfin en compte certaines revendications de longue date des sages-femmes. « Il y aura un débat sur la taille des collectivités concernées », a précisé mardi Stanislas Guerini. C’est un début, mais il ne faut pas s’arrêter là» , estime Loona Mourenas, porte-parole de l’Association nationale des étudiant. À LIRE AUSSI : Autre nuance de taille : pour le gouvernement, seuls les « dirigeants de prestataires de conseil » doivent être tenus de déclarer leurs intérêts à l'administration, plutôt que les « dizaines de milliers » de personnes travaillant dans le conseil en France.e. Ce sont et gendarmes qui doivent être créés, dont « 3 000 dès 2023 » , selon la Première ministre, Elisabeth Borne. s sages-femmes (Anesf). « Ces déclarations ne constituent pas une “lourdeur administrative” mais une garantie , estiment Éliane Assassi et Arnaud Bazin dans leur tribune. « Ces déclarations ne constituent pas une"lourdeur administrative" mais une garantie », estiment Eliane Assassi et Arnaud Bazin dans leur tribune. A lire aussi Société 8 mars 2021 Depuis des années, le manque d’attractivité de la profession est constamment dénoncé. Preuve en est, le pays connaît une pénurie de sages-femmes sans précédent au sein des maternités mais aussi en ville. » Phénomène « tentaculaire » Le gouvernement affiche par ailleurs sa sévérité en cas de manquement à la transparence ou à la probité : il prévoit ainsi d'infliger aux prestataires fautifs des sanctions pénales (jusqu'à 45 000 euros d'amende et trois ans de prison), plutôt que les amendes administratives envisagées par les sénateurs. Et cette année, près de 20 % des places en deuxième année des études de maïeutique sont restées vacantes, comme le dénoncent plusieurs conférences et associations du secteur, .000 euros d’amende et trois ans de prison), plutôt que les amendes administratives envisagées par les sénateurs. Pour lutter contre cette désertification, la PPL entend ainsi «rénover la formation […] pour l’adapter aux évolutions profondes de la profession» , décrit le Sénat dans un rapport. À LIRE AUSSI :. Ajout majeur des sénateurs : les peines encourues pour les refus d’obtempérer, les rodéos urbains et les violences faites aux élus seront aggravées. Mieux considérer la profession Changement principal : la création d’une sixième année d’études pour les étudiantes et étudiants en maïeutique. Une adaptation qui s’inscrit dans la lignée des revendications portées par la profession et l’Anesf. Ils avaient évalué la facture des prestations de conseil à 893,9 millions d’euros pour les ministères en 2021. Encore aujourd’hui, la formation des sages-femmes se fait en cinq années. Une durée jugée trop courte, alors que nombre d’apprenties maïeuticiennes font état d’un épuisement profond. En cause, une surcharge de travail considérable alors que la formation compte «en moyenne 1 100 heures de cours de plus en cinq ans que les dentistes ou les pharmaciens, qui étudient six ans» , selon Loona Mourenas. « Une loi de chiffres » « Tout ne nous plaît pas, et c’est un euphémisme, dans cette Lopmi […] , mais la demande de sécurité exprimée par nos concitoyens […] nous a convaincus de voter en faveur de ce texte et des moyens supplémentaires qu’il alloue à nos forces de l’ordre » , a déclaré le socialiste Jérôme Durain. «Passer à six ans pour les sages-femmes aussi permet d’apaiser l’intensité de la formation mais aussi d’introduire les nouvelles compétences que l’on a, comme la pratique de l’IVG médicamenteuse depuis 2016.» La réforme s’appliquera aux personnes entamant leur deuxième année à partir de la rentrée 2024. Interview Santé 27 nov. 2021 Autre modification : les écoles de sages-femmes, dont la gestion est actuellement rattachée aux régions, devront être intégrées à l’université. Un impératif mis en place par la PPL qui devra être effectif à partir du 1er septembre 2027. Au lendemain d’une nouvelle journée de mobilisation de centaines d’enquêteurs contre ce projet de réforme, Jérôme Durain a joué ce mardi la carte de la malice : « Pour faire rentrer la PJ dans les commissariats, c’est comme pour faire cesser les blocages dans les dépôts [de carburant], il faudra négocier » , a-t-il dit. Raymonde Poncet Monge, sénatrice du groupe écologiste et autrice d’un rapport sur la proposition de loi, y voit une nouvelle brique pour une meilleure considération de la profession : «Toutes les professions médicales sont rattachées aux universités. Il n’y a aucune raison que ce ne soit pas le cas pour les sages-femmes. Beaucoup ont encore du mal à reconnaître que la maïeutique est une profession médicale, et non pas paramédicale, au même titre que les dentistes ou les pharmaciens.» Une situation paradoxale Des points de tension persistent malgré tout. Si les professionnelles du secteur saluent l’importance accordée à la réforme de la formation, elles appellent aussi à penser l’après-études. Car les mêmes revendications sont de tous les slogans à chaque manifestation : les sages-femmes appellent à une revalorisation des salaires, mais aussi à une évolution de leur statut. En France, les maïeuticiennes exerçant à l’hôpital sont fonctionnaires et donc considérées comme une profession non médicale. Alors même que le code de la santé publique qualifie la profession de médicale. Un paradoxe «difficile à comprendre» , selon Claire Akouka, responsable de la communication du Conseil national de l’ordre des sages-femmes. «Les sages-femmes ne travaillent pas sous délégation et sont des professionnelles médicales à part entière. Elles font des prescriptions, posent un diagnostic…» Une solution est évoquée par une partie de la profession : obtenir pour les sages-femmes le statut de praticien hospitalier, au même titre que les dentistes ou médecins travaillant en hôpital. Mais le sujet «n’est pas abordé dans cette loi» , regrette Claire Akouka, tout en relevant que les compétences des sages-femmes, elles, ne cessent de se développer. Depuis 2009, elles peuvent s’occuper du suivi gynécologique des femmes ou, depuis 2016, .
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