Islam la Grande Mosqu e de Paris Emmanuel Macron d fend sa loi s paratisme Emmanuel Macron

Islam la Grande Mosqu e de Paris Emmanuel Macron d fend sa loi s paratisme Emmanuel Macron

Islam à la Grande Mosqué e de Paris Emmanuel Macron dé fend sa loi sé paratisme - Emmanuel Macron HEAD TOPICS

Islam à la Grande Mosqué e de Paris Emmanuel Macron dé fend sa loi sé paratisme

19/10/2022 23:03:00

Constatant que la loi sé paratisme avait é té « souvent reç ue avec mé fiance » dans les rangs musulmans il a dé fendu un texte qui « offre des garde-fous » contre l islam radical

Grande Mosquée De Paris Emmanuel Macron

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Constatant que la loi séparatisme avait été « souvent reçue avec méfiance » dans les rangs musulmans, il a défend u un texte qui « offre des garde-fous » contre l’islam radical. Le président de la République a célébré le centenaire de la Grande Mosquée de Paris, mercredi 19 octobre. Constatant que la loi séparatisme avait été « souvent reçue avec méfiance » dans les rangs musulmans, il a défend u un texte qui « offre des garde-fous » contre l’islam radical. À lire aussi« ne porte pas simplement la possibilité d’un islam en France, fidèle aux valeurs de la République, mais d’un islam avec la France, et même d’un islam de France », a-t-il encore affirmé celui qui estime qu’ « Garde-fous »Je crois au contraire qu’elle a été pensée et voulue comme une manière d’aider les communautés religieuses à lutter contre les dérives sectaires qui leur font du mal à elles autant qu’à la communauté nationale ». Lire la suite:
» Grande mosquée de Paris : un centenaire fêté avec Emmanuel Macron mais sans grande pompe Grande Mosquée de Paris, un siècle d’ambitions contrariées «Un havre de paix» : Macron rend hommage à la Grande Mosquée de Paris qui fête ses 100 ans Grande-Bretagne : d'anciens pilotes de la Royal Air Force recrutés par la Chine

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SusAuxSectes ! Grande Mosquée de Paris, un siècle d’ambitions contrariéesMercredi 19 octobre, la Grande Mosquée de Paris célèbre le centenaire de la pose de sa première pierre, en présence du président Emmanuel Macron . S’il a conservé une aura symbolique, ce lieu de culte remarquable au cœur de la capitale peine à être le phare de « l’islam de France ». «Un havre de paix» : Macron rend hommage à la Grande Mosquée de Paris qui fête ses 100 ans Emmanuel Macron a rendu hommage mercredi à la Grande Mosquée de Paris , construite il y a un siècle et aujourd’hui érigée en modèle d’un « is Grande-Bretagne : d'anciens pilotes de la Royal Air Force recrutés par la ChinePékin recrute d'anciens pilotes de la Royal Air Force. Une trentaine ont déjà rejoint les rangs chinois, créant un risque pour le secret défense britannique. Budget : Elisabeth Borne va déclencher le 49.3, petite histoire d'une grande décisionLe gouvernement va dégainer mercredi 19 octobre le 49.3 sur le Budget. Malgré le souhait de ses députés, Élisabeth Borne a attendu la fin des discussions pour lâcher la bombe. 'Dégainer', 'bombe' ? Cet article 49-3 est-il un article de notre CONSTITUTION ? Et donc la procédure est elle parfaitement constitutionnelle? Pourquoi dès lors un tel vocabulaire ? Atteintes à la laïcité : Gérald Darmanin demande « une grande fermeté » aux préfetsLe ministère de l’Intérieur note une multiplication des signalements d’atteinte à la laïcité depuis la rentrée, « fruit d’une offensive islamiste visant les plus jeunes » Twitter Le 19 octobre 1922, la France posait la première pierre de la Grande Mosquée de Paris (GMP), qui aspire depuis à être le phare d’un « islam de France » au cœur de la capitale., au moins 70 000 pendant la Première Guerre mondiale.(Oise) et des Versets sataniques de Salman Rushdie suscitent d’âpres débats en 1989.Le 19 octobre 2022 à 21h14 La première pierre de l’édifice a été posée le 19 octobre 1922. « Ce jour d’automne 1922, notre nation affirmait aux yeux du monde qu’on pouvait être Français et musulman », selon Emmanuel Macron. Cent ans jour pour jour plus tard, le président de la République a célébré l’action de cette institution auprès de la première communauté musulmane d’Europe. Dans le patio couvert, les invités attendent toujours. À lire aussi Grande Mosquée de Paris, un siècle d’ambitions contrariées « La Grande Mosquée de Paris incarne l’harmonie des hommes et des religions, quand ils acceptent que la foi des uns ne doit pas contraindre celle des autres, a poursuivi le chef de l’État. Pour cette raison, « la Grande Mosquée de Paris refuse d’abord la création d’un organe du culte » , rapporte Bernard Godard, ancien responsable au bureau central des cultes au ministère de l’intérieur (1). La GMP, dont le fonctionnement est aujourd’hui financé par l’Algérie, « ne porte pas simplement la possibilité d’un islam en France, fidèle aux valeurs de la République, mais d’un islam avec la France, et même d’un islam de France » , a-t-il estimé. Peu ou prou, l’institution a toujours penché à droite. Faisant allusion aux attentats djihadistes, le président a déclaré qu’il ne laisserait pas « la déchirure que ce pays a subie ces dernières années créer un fossé de ressentiment et de défiance vis-à-vis des musulmans. « La Grande Mosquée de Paris porte la possibilité non pas seulement d’un islam en France, fidèle aux valeurs de la République, mais aussi d’un islam avec la France, qui le soutient, et même d’un islam de France, qui le fait grandir en son sein », a insisté Emmanuel Macron. » « Il n’y a pas d’un côté les Français et de l’autre côté les musulmans » , a-t-il encore affirmé celui qui estime qu’ « on peut être l’un et l’autre harmonieusement, indissolublement. Déjà évoqué par les orientalistes au XIXe siècle, le projet a été soutenu et porté par Lyautey, notamment pour rendre hommage aux combattants musulmans de la Grande Guerre. » À cette époque, on reconnaît encore à son recteur, Dalil Boubakeur, en poste depuis 1992, une certaine capacité à fédérer. » Pour Emmanuel Macron, « nier cette compatibilité entre la France et l’islam, c’est apporter de l’eau au moulin du séparatisme. » « Garde-fous » Le président a profité de cette allocution pour défendre la loi d’août 2021 contre le séparatisme, qui vise notamment à mieux contrôler le fonctionnement et le financement des lieux de culte. Au-delà des considérations historiques, la visite du Président est aussi un renvoi d’ascenseur. « Elle a souvent été reçue avec méfiance, a-t-il reconnu. » À lire aussi Le rayonnement de la Grande Mosquée de Paris bute aussi sur ses difficultés à former des cadres. Je crois au contraire qu’elle a été pensée et voulue comme une manière d’aider les communautés religieuses à lutter contre les dérives sectaires qui leur font du mal à elles autant qu’à la communauté nationale ». L’affaire avait fait beaucoup de vagues dans les milieux musulmans. » À lire aussi Deux fédérations musulmanes, dont la mosquée de Paris, appellent à voter Macron Selon lui, « nier cette compatibilité entre la France et l’islam, c’est apporter de l’eau au moulin du séparatisme ». « Cette loi ne fait qu’offrir des garde-fous face au risque de basculement en marge de la République voire contre la République », a-t-il poursuivi. Mentionnant également « la laïcité battue en brèche, notamment dans les écoles », il a fait allusion à la hausse des signalements pour atteintes à la laïcité dans l’enseignement secondaire, en ce début d’année scolaire. Mais rien de nouveau : la feuille de route est toujours la même. Pourtant, si la mosquée s’est longtemps appelée « l’institut musulman de la Grande Mosquée de Paris » , elle n’a pas abrité de centre de formation avant 1994. « Enjeu de structuration » Emmanuel Macron a ensuite abordé le sujet de la structuration d’un « islam de France ». « Mieux répondre aux aspirations de la jeunesse implique d’organiser le dialogue entre l’islam et l’État à un double niveau, national et départemental », a-t-il indiqué. «Comportements provocateurs» L’actualité pointe son nez dans le discours du Président, celle de la polémique sur le port des abayas dans les établissements scolaires et des atteintes à la laïcité. Se situant dans la ligne de Jean-Pierre Chevènement et de Nicolas Sarkozy qui, alors ministres de l’intérieur, s’étaient attelés à cette tâche en œuvrant à la création du Conseil français du culte musulman (CFCM) il y a près de 20 ans, Emmanuel Macron a affirmé avoir voulu « aller plus loin ». Islam consulaire, manque de crédibilité Mais l’institut végète de nombreuses années. D’où le lancement en février dernier d’ « une instance plus représentative de la pluralité des pratiques », le Forum de l’islam de France (Forif). Le discours présidentiel tourne ensuite au panégyrique de Chems-Eddine Hafiz, le recteur de la GMP depuis janvier 2022, décoré dans la foulée des insignes d’officier de la Légion d’honneur. À lire aussi « C’est un enjeu de structuration, d’indépendance des cultes aussi, de formation des imams » , a-t-il affirmé, mais aussi « un enjeu d’éducation et de cohésion sociale. » « Il n’y a qu’une République : celle de la liberté de croire ou de ne pas croire, celle où l’État est garant de la liberté religieuse », a-t-il insisté, affirmant qu’il ferait « tout » pour « garantir aux musulmans la possibilité de vivre leur foi sereinement, dans le cadre protecteur de la laïcité, par un dialogue constructif entre l’islam et l’État, entre les pays musulmans étrangers et la France. 2020 Inaugurée en 1926, la GMP est une institution prestigieuse, chargée d’histoire, notamment pour avoir protégé des juifs pendant la Seconde Guerre mondiale. Or, le système des imams détachés, payés par l’Algérie, est dans le viseur de l’État français, qui l’accuse d’alimenter un « islam consulaire », marqué par les pays d’origine. » Le président a ensuite salué l’action du recteur de la GMP, Chems-eddine Hafiz, à qui il a remis les insignes d’officier de la Légion d’honneur. Sarkozy, Darmanin, le grand rabbin… Le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, ainsi que l’ancien président Nicolas Sarkozy accompagnaient Emmanuel Macron. Il a été construit sur un terrain offert par la municipalité de Paris. Parmi les invités réunis dans le patio de la grande mosquée figuraient aussi le premier adjoint de la ville de Paris, Emmanuel Grégoire, ou encore l’ancien ministre Arnaud Montebourg. « Le message de ses recteurs a toujours incarné cet islam de l’ouverture, de la tolérance, de la fraternité, de la solidarité, estime le recteur Hafiz . À lire aussi Structuration de l’islam de France : « On a envie d’y croire » Des responsables d’organisations musulmanes étaient présents, comme Anouar Kbibech, président du Rassemblement des musulmans de France (proche du Maroc) et Anassi Fassassi, président de la FFAIACA (Fédération des associations islamiques d’Afrique, des Comores et des Antilles). En 2003, la création du Conseil français du culte musulman, enterré depuis deux ans, a donné une image plus diversifiée de l’islam de France. L’événement était aussi porteur d’une dimension interreligieuse, avec la venue du grand rabbin de France, Haïm Korsia, et du président de la Conférence des évêques de France, Mgr Eric de Moulins-Beaufort. À découvrir . De quoi satisfaire le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, avec qui il entretient de très bonnes relations. « Et, aujourd’hui, elle profite de l’échec du CFCM » , estime-t-il.
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