Paris deux Ukrainiennes disent avoir t vir es d un restaurant cause de leur nationalit le g rant d ment

Paris deux Ukrainiennes disent avoir t vir es d un restaurant cause de leur nationalit le g rant d ment

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Paris deux Ukrainiennes disent avoir é té viré es d' un restaurant à cause de leur nationalité le gé rant dé ment

19/10/2022 22:20:00

Paris deux Ukrainiennes disent avoir é té viré es d' un restaurant à cause de leur nationalité le gé rant dé ment

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BFMTV

Paris: deux Ukrainiennes disent avoir été virées d'un restaurant à cause de leur nationalité, le gérant dément Les deux réfugiés assurent avoir été mises à la porte d'un établissement par son gérant, lundi à Paris. Ce dernier donne une autre version. Cette vidéo de 15 secondes dans laquelle un homme, gérant de l’établissement, répète à deux reprises"Viva Poutine", Kogutyak Volodymyr, le vice-président de l’Union des Ukrainiens de France, l’a partagée ce jeudi sur Twitter. Depuis, deux versions s’opposent. "C’est arrivé avant-hier (ce lundi, Ndlr). Il pleuvait et nous avions très froid, alors nous avons décidé d’aller dans ce café 'Le Cosy Montparnasse' pour y boire du thé, explique Melisa qui s’exprime en Russe. En ouvrant le menu, nous avons cherché le prix des boissons chaudes, et nous avons appelé la serveuse pour avoir des informations." Lire la suite:
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Les Vingt-Sept franchissent un pas vers le plafonnement des prix du gaz

Réunis à Bruxelles, les Vingt-Sept ont apporté leur soutien à l'ensemble des propositions de la Commission destinées à faire baisser la facture énergétique. Mais le mécanisme pour plafonner le prix du gaz destiné à produire de l'électricité divise toujours. Lire la suite >> Non, le gérant n'est pas dément. On a bien interdit, en France, une sortie scolaire à un enfant d'origine russe. 🧐 Se faire passer pour une victime car Ukrainienne. Check! Qd on fermait le compte de simples russes, je n'ai ps vu d'articles s'en émouvoir ? On a appris avec cette guerre que Zelensky et les ukrainiens étaient un peu mythomanes! Je me méfierais des dires de ces supposées ukrainiennes, si ça se trouve elles ne sont même pas ukrainiennes mais françaises! Les Ukrainiens veulent que du gratuit BrunoLeMaire un p’tit contrôle fiscal au Cosy Montparnasse svp 😁😁 Que de méchant 😢 cela n est pas normal que vous faites cela que des hommes méchants que Dieu vous pardonne 😢🙏 'Je passe mon arme dans la cabine et je tire': une policière témoigne au procès de l'attentat de NiceLes policiers et les urgentistes ont témoigné ce mardi devant la Cour d'assises spéciale de Paris. Soutient aux fdo , total soutient ! Mort de Lola : 'Ne pas laisser les irresponsables forger les récits qui les arrangent'Par respect pour cette enfant massacrée, la décence nous commande de peser tous nos mots et de regarder en face ce qui s’est passé et qui, hélas, n’aurait pas dû arriver. Nous ne connaissons pas, pour l’heure, le mobile du crime, et nous ne le connaîtrons peut-être jamais. Mais le profil de la jeune femme mise en cause n’a rien d’anodin. L'édito de Natacha Polony. C’est le qui la meuf ? Le sosie de Mylene Farmer ? L'heure n'est plus aux questions malheureusement... cela fait des décennies que l'on entend le même refrain, pas d'vague, pas d'amalgame, vous n'aurez pas ma haine, pour quel résultat ? Voir une gamine de 12 ans violée et presque démembrée se retrouver dans une valise ? Vive Marine Crème anti-rides : les 7 soins de pharmacie les plus puissants de tous les tempsLes pharmacies françaises regorgent de pépites cosmétiques et de formules à la pointe, en lesquelles avoir confiance les yeux fermés… Notamment en matière de soins anti-âge, dont voici les formules les plus efficaces à ce jour. Quelles sont les régions les plus touchées par les pénuries d’essence ?Lundi soir, 28,1 % des stations-service en France avaient une rupture sur au moins un produit. Ras le bol de la CGT ce syndicat pourri qui joue sa survie sur le dos des français lacgtcommunique SnjCgt cgtcheminots cgt_spectacle cgt_spectacle SNESFSU SNUEPFSU À Paris, la police municipale doit «monter en puissance» avant les JO 2024Lancée il y a un an par Anne Hidalgo (PS), la police municipale parisienne compte aujourd’hui 555 agents déployés dans la ville. Après un an Espérons-le Mme Hidalgo a du mouron à se faire et dout cesser de faire la belle en tenant par la taille celui qui se trouve auprès d'elle Au boulot M. Hidalgo ,au boulot 2024 c'est Demain Comprenez, passez plus de pvs BOURSE-Les valeurs \u00e0 suivre \u00e0 Paris et en Europe (actualis\u00e9)(Actualis\u00e9 avec Publicis, Rio Tinto, Swiss Re, Roche, Eurofins,\nchangement de recommandation)\n\n\n *\n\n\n Variation des futures sur indice CAC 40\n 0FCE:\n\n\n *\n\n\n Variation des futures sur indice Stoxx 600\n 0FXXP:\n\n\n *\n\n\n Valeurs qui se traitent ex-dividende\n .EX "Il a commencé à crier qu’il soutenait Poutine.Elle s'avance à la barre et cette femme à la carrure athlétique paraît soudain très frêle.Parmi toutes les horreurs que charrie le flot de l’actualité, il en est qui sont plus bouleversantes, plus insurmontables que les autres.Par. " Larissa et Melisa, deux réfugiées ukrainiennes, affirment avoir été exclues par le gérant du restaurant Le Cosy Montparnasse à cause de leur nationalité ce lundi à Paris. Une scène filmée par Melisa. Venue témoigner mardi au procès à Paris , elle fond en larmes, puis s'agrippe à la barre et commence d'une voix grave son récit."Qu’un extrait car ma mère et moi étions sous le choc", précise-t-elle à BFMTV. Mais est-ce la fatalité qui est en cause dans le martyre de cette petite fille de 12 ans ? Les éléments sont là : une jeune femme algérienne, sans domicile fixe, en situation irrégulière sur le territoire français, visiblement fragile psychologiquement, habitant momentanément chez sa sœur, qui, elle, est parfaitement intégrée.com.000 personnes étaient rassemblées pour assister aux festivités de la Fête nationale. Cette vidéo de 15 secondes dans laquelle un homme, gérant de l’établissement, répète à deux reprises"Viva Poutine", Kogutyak Volodymyr, le vice-président de l’Union des Ukrainiens de France, l’a partagée ce jeudi sur Twitter. Depuis, deux versions s’opposent. Ils ne pensent alors pas à un attentat, plutôt à un homme ivre,"qui ne gère plus son véhicule". "C’est arrivé avant-hier (ce lundi, Ndlr). Il pleuvait et nous avions très froid, alors nous avons décidé d’aller dans ce café 'Le Cosy Montparnasse' pour y boire du thé, explique Melisa qui s’exprime en Russe. "On part en courant derrière le camion. En ouvrant le menu, nous avons cherché le prix des boissons chaudes, et nous avons appelé la serveuse pour avoir des informations." "Les Ukrainiens ne sont pas les bienvenus" La mère et la fille, âgées de 50 et 18 ans, comptent chacune de leur dépense depuis leur arrivée en France, il y a trois mois. Moi je me dis 'putain, il faut que ça s'arrête, il faut que ça s'arrête'", raconte la policière, aujourd'hui âgée de 39 ans. "Nous avons expliqué à la serveuse que puisque nous sommes des réfugiés ukrainiennes, nous avons un budget réduit et qu’il est important pour nous de savoir combien cela nous coûte". Une histoire qui semble-t-il n’aurait pas vraiment ému la serveuse. Ses collègues partant sur la gauche, la jeune femme décide de remonter le camion par la droite."En réponse, elle nous a déclaré dans un langage obscène que les Ukrainiens ne sont pas les bienvenus dans leur établissement", poursuit Melisa qui décide d’appeler le gérant. "Je pensais qu’il n’était pas au courant de la façon dont les membres du personnel interagissent avec les clients dans le café", explique-t-elle. Je sais pas qui c'est. Elle lui expose alors la situation,"et il a répondu en criant qu’il soutenait Poutine et qu’il était juste de tuer le peuple ukrainien", assure la jeune fille qui précise avoir échangé en anglais avec le personnel de l’établissement et son gérant. Kogutyak Volodymyr, le vice-président de l’Union des Ukrainiens de France précise de son côté qu'il n'y a eu aucune atteinte physique. Je lui demande de partir", se rappelle-t-elle. Interrogé par BFM Paris Île-de-France, le gérant du Cosy Montparnasse reconnaît avoir dit"vive Poutine" après avoir reçu des menaces des deux clients. Il s’en excuse, dit ne pas le penser et avoir agit sur le coup de l’énervement. Je passe mon arme dans la cabine, la fenêtre était ouverte ou brisée, et je tire à plusieurs reprises", poursuit Magali Cotton, devant la cour d'assises spéciale. Lui donne une autre version. "Je m’en fiche qu’ils soient Ukrainiens, on accepte tout le monde, c’est juste qu’elles n’ont pas voulu consommer et qu’elles ont fait perdre du temps à l’équipe alors que le restaurant était complet. Ses collègues arrivés entre temps continuent à faire feu, jusqu'à ce que l'un d'eux ordonne de cesser les tirs. " D’après lui, Larissa et Mélissa voulaient simplement utiliser ses toilettes. Mais dans l’établissement, il faut passer commande avant d’accéder aux sanitaires, rapporte le gérant, précisant que les deux clientes ont accepté la règle. La policière, qui s'est constituée partie civile au procès, remonte ensuite les victimes au sol pour porter secours, mais"il n'y avait rien à faire. D’après lui, la serveuse est allée les voir à plusieurs reprises après qu'elles soient allées aux toilettes afin de prendre leur commande, mais elles ne voulaient pas consommer et voulaient changer de place car elles avaient trop froid. Elles lui auraient précisé qu’elles étaient Ukrainiennes. "Je suis dans la police depuis 2005. Le gérant assure recevoir des menaces Après une demi-heure, Larissa et Mélissa se sont levées pour quitter les lieux. Rattrapées par le gérant qui leur a demandé une nouvelle fois de consommer, ces dernières auraient alors sorti leur téléphone pour mettre un mauvais avis sur le restaurant. Mais par rapport à ça. Il leur aurait alors demandé de quitter son établissement. Un échange qui s’est fait par l’intermédiaire d’une serveuse polonaise, le gérant ne parlant pas en anglais.. De son côté, il assure que les deux femmes ont échangé en anglais entre elles. Depuis, le gérant affirme recevoir des menaces à cause de la vidéo. Interrogée sur le dispositif en place ce soir-là, côté police nationale, elle assure qu'il était"habituel pour le 14 juillet", mais ajoute"quand on voit le résultat, bien sûr, c'était trop léger". En moins d’une journée, l’établissement a reçu une flopée d’avis négatifs sur sa page Facebook. La mère et la fille assurent que"c’est vraiment la première et unique fois que nous rencontrons ce genre de situation en France"."J'ai dit à mon chef: 'Il y a peut-être mieux à faire ce soir'", se rappelle-t-elle. Kogutyak Volodymyr affirme n’avoir jamais eu vent de faits similaires dans cet établissement parisien. L'association devait se réunir ce mercredi soir pour donner une suite, ou non, à cet événement. "Donc ça aurait pu se terminer avant", estime-t-elle, s'ils avaient su qu'ils avaient à faire à un attentat dès la première fois où ils se sont approchés de la cabine du poids lourd. Garance Amespil et Charlotte Lesage Top Articles .
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