Raffineries de TotalEnergies la CGT va d cider de la suite donner au mouvement Presse conomique Actualit

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Raffineries de TotalEnergies la CGT va dé cider de la suite à donner au mouvement

19/10/2022 12:07:00

Raffineries de TotalEnergies la CGT va dé cider de la suite à donner au mouvement Le syndicat n' a pas signé l' accord qui pré voit une hausse gé né rale de 5% des salaires assortie de hausses individuelles et d' une prime exceptionnelle

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La Tribune

Raffineries de TotalEnergies: la CGT va décider de la suite à donner au mouvement Le syndicat n'a pas signé l'accord qui prévoit une hausse générale de 5% des salaires, assortie de hausses individuelles et d'une prime exceptionnelle Les représentants CGT des sites pétroliers de TotalEnergies, en grève depuis trois semaines pour obtenir des hausses de salaire, ont reconduit le mouvement jusqu'à mercredi midi. Le syndicat, qui va consulter ses sections, décidera aujourd'hui si cette nouvelle journée de mobilisation en appelle d'autres. Dans le secteur de l'énergie électrique et du gaz, cette fois, trois syndicats représentatifs du secteur - CGT, FO et CFDT - ont signé un accord portant sur les augmentations salariales dans la branche des industries électriques et gazières (IEG), une première étape avant l'ouverture de négociations salariales dans les entreprises. Un accord signé avec les industries gazières et électriques A Gonfreville en Normandie, la reconduction a été votée massivement, selon Emmanuel Letetu, élu CSE de la CGT, et Pierre Yves Hauguel, délégué CGT. Outre la Normandie, le mouvement concernait encore mercredi matin les sites TotalEnergies de Donges, La Mède, Feyzin et Flandres. Selon Olivier Mateu, secrétaire départemental CGT des Bouches du Rhône, « rien n'est décidé » pour la suite. Dans le reste du secteur de l'énergie, la CGT a signé un accord de branche avec FO et la CFDT portant sur des augmentations dans les industries gazières et électriques (IEG). Ce qui constitue une première étape pour l'ouverture de négociations salariales en bonne et due forme dans les 157 entreprises concernées dont EDF et Engie. Cet accord prévoit une augmentation générale du salaire national de base de 3,3% en deux temps, avec une rétroactivité de 1% au 1er juillet 2022 et le solde de 2,3% au 1er janvier 2023 Lire la suite:
La Tribune » La grève dans les raffineries TotalEnergies reconduite jusqu’à ce mercredi à la mi-journée Le nouveau projet gazier de TotalEnergies en Afrique du sud dénoncé par les écologistes La CGT bloque-t-elle les raffineries malgré un «accord majoritaire» signé par les autres syndicats de TotalEnergies, comme l’affirme le gouvernement ? Grève dans les transports en Île-de-France : les usagers se sont organisés

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Depuis son ouverture en septembre, la libraire Tsundoku est devenue un lieu de référence à Marseille pour le monde du manga. Situé sur le cours Pierre Puge Lire la suite >> Sur quels critères seront décidé ces hausses individuelles? La grève dans les raffineries TotalEnergies reconduite jusqu’à ce mercredi à la mi-journéeLa CGT n’a pas signé l’accord sur les salaires conclu vendredi dernier entre la direction et deux syndicats majoritaires, la CFDT et la CFE-CGC. Le syndicat réclame 10 % d’augmentation pour compenser l’inflation prévue cette année Ça va finir en couille. Le nouveau projet gazier de TotalEnergies en Afrique du sud dénoncé par les écologistesTotalEnergies prévoit d’exploiter des champs gaziers au large de l’Afrique du Sud, selon des ONG. Un projet qui menacerait la faune locale et la pêcherie artisanale. Il n'y a qu'un gâteau à partager équitablement. Il faut taxer les grosses fortunes, donner du boulot aux chômeurs et augmenter les petits salaires... Mais certainement pas les salariés maîtres chanteurs de Total qui gagnent déjà plus qu'un prof ou qu'une infirmière. Risques potentiels de pollution, comme le nucléaire. La CGT bloque-t-elle les raffineries malgré un «accord majoritaire» signé par les autres syndicats de TotalEnergies, comme l’affirme le gouvernement ?L’accord salarial chez l’énergéticien a été paraphé par la CFDT et la CGC, majoritaires ensemble, au sein du périmètre pétrole. Mais la CGT revendique la première place dans le sous-secteur du raffinage, où a lieu actuellement le conflit. CheckNewsfr NON, next question ? CheckNewsfr Intoxication ,une vieille ficelle Grève dans les transports en Île-de-France : les usagers se sont organisésLes prévisions annoncées lundi à la suite de l’appel à la grève dans les transports par la CGT et Sud Rail, ont été respectées. Les perturba Vaccination contre la grippe et le Covid : les patients rechignent, exemple dans les Landes, à AmouLa campagne de vaccination anti-Covid piétine et celle de la grippe qui vient de démarrer ne convainc pas encore. Dans les Landes, à Amou, la maison de santé fait de la pédagogie Ils ont raison Normal il sont patients, pas cobayes Dans les décombres des frappes à Kyiv : «On entendait les cris mais maintenant, c’est le silence»🔴 «Le fait que ce soit des drones kamikazes, c’est très stressant car on ne sait pas quelle sera la prochaine étape dans la guerre» Reportage à Kyiv, visée ce lundi par une série d’attaque de drones : On fait moins les malins Après trois semaines de mobilisation, les grévistes des sites pétroliers de TotalEnergies vont décider ce mercredi de la poursuite ou de l'élargissement de leur mouvement.près d’une sur quatre , selon la Première ministre Elisabeth Borne.Par Le HuffPost avec AFP JULIEN DE ROSA / AFP Rassemblement contre la hausse du coût de la vie et l’inaction climatique, à l’appel de la coalition de gauche française NUPES (Nouvelle Union écologique et sociale du peuple), à Paris, le 16 octobre 2022.ollicité par CheckNews, le coordinateur CGT de TotalEnergies, Eric Sellini, qui réclame une hausse de 10% des salaires, répond que l’accord a été signé à «un niveau intermédiaire» dans l’entreprise, où «la CGC est première organisation syndicale, la CGT deuxième et la CFDT troisième, et où la CGC et la CFDT, dans ce périmètre, font effectivement ensemble un peu plus de 50% des voix». De nombreux élus de la CGT doivent participer mercredi matin en vidéoconférence à une réunion nationale où chaque section doit se prononcer et une décision être prise concernant un appel à une grève générale. Le syndicat n'a pas signé l'accord qui prévoit une hausse générale de 5% des salaires, assortie de hausses individuelles et d'une prime exceptionnelle comprise entre 3. La suite après la publicité Des AG à la mi-journée Mardi soir, à l’issue d’une journée de grèves et de manifestations dans tout le pays, la CGT a proposé la  « reconduction du mouvement »  des raffineries initié le 27 septembre jusqu’à mercredi en mi-journée, moment où se tiendront les nouvelles assemblées générales.000 et 6.) ENVIRONNEMENT - Une « climatique qui va ragaver l’océan » , dénonce Claire Nouvian, la fondatrice de l’association de protection marine Bloom, sur son compte Twitter ce lundi 17 octobre.000 euros. Par ailleurs, à la suite de la journée de mobilisation et de grèves mardi dans toute la France, « il y aura aussi des réunions de toutes les organisations de la CGT qui décideront si cette journée en appelle d’autres » , a-t-il ajouté. La CGT réclame 10% d'augmentation pour compenser l'inflation prévue cette année et profiter des revenus exceptionnels engrangés par le groupe pétrolier en 2021. Or à ce niveau de l’entreprise, la CGC pèse 32,57%, la CGT 28,75%, la CFDT 23,98%, et la CAT (une scission de la CGC) 14,71%. Un accord signé avec les industries gazières et électriques A Gonfreville en Normandie, la reconduction a été votée massivement, selon Emmanuel Letetu, élu CSE de la CGT, et Pierre Yves Hauguel, délégué CGT. » « C’est au niveau national que cette question doit être traitée, car on est dans une situation tout à fait particulière » , a ajouté le responsable. 🚨 DANGER INEDIT : après EACOP, @TotalEnergies prépare une bombe climatique qui va ravager l’océan, les animaux mari… https://t. Outre la Normandie, le mouvement concernait encore mercredi matin les sites TotalEnergies de Donges, La Mède, Feyzin et Flandres. Selon Olivier Mateu, secrétaire départemental CGT des Bouches du Rhône, « rien n'est décidé » pour la suite. La suite après la publicité La CGT n’a pas signé l’accord sur les salaires conclu vendredi dernier entre la direction et deux syndicats majoritaires (CFE-CGC et CFDT), prévoyant une hausse générale de 5 % des salaires, assortie de hausses individuelles et d’une prime exceptionnelle comprise entre 3 000 et 6 000 euros. Dans le reste du secteur de l'énergie, la CGT a signé un accord de branche avec FO et la CFDT portant sur des augmentations dans les industries gazières et électriques (IEG). « Ce sont des forages de grande profondeur, à plus de 1 000 mètres sous la surface, dans une zone de forts courants : ils savent que ce sont des eaux compliquées avec un risque de marée noire » , a assuré Swann Bommier, de chez Bloom, lors d’une conférence de presse à Paris. Ce qui constitue une première étape pour l'ouverture de négociations salariales en bonne et due forme dans les 157 entreprises concernées dont EDF et Engie. Grève chez Total : « Un signe au reste du pays pour que les travailleurs relèvent la tête » Sur le total des infrastructures françaises, quatre raffineries sur sept étaient concernées, pour leurs opérations de raffinage et/ou de dépôt. Mais la CGT se considère première organisation au sein de l’une des composantes du périmètre pétrole, celle liée au raffinage, au cœur du conflit actuel. Cet accord prévoit une augmentation générale du salaire national de base de 3,3% en deux temps, avec une rétroactivité de 1% au 1er juillet 2022 et le solde de 2,3% au 1er janvier 2023 Une mobilisation pour les salaires en demi-teinte « Au-delà des raffineurs et des 14.000 salariés de TotalEnergies, souligne Eric Sellini, coordonnateur CGT au plan national, nous portons aussi la voix de ceux qui souffrent du fait que les salaires ne suivent pas l'inflation et qui voient l'hiver arriver avec des promesses de hausse sur les prix de l'énergie ou de l'alimentation. Des dépôts non liés à des raffineries, comme celui de Grandpuits en cours de transformation en bioraffinerie, étaient également en grève. « Nous, les pêcheurs artisans de ce pays, craignons que ce moyen de subsistance nous soit enlevé » , a dénoncé l’un d’eux, dans une vidéo diffusée à la conférence. » Près de 300.000 personnes ont ainsi manifesté mardi en France pour une augmentation des salaires et pour défendre le droit de grève, dont plus de 70. La société estime à environ 90 salariés le nombre de grévistes présents sur ces sites à l’instant T.000 dans le cortège principal à Paris, selon la CGT. La pression des ONG environnementales augmente de plus en plus contre divers projets de TotalEnergies alors que l’Agence internationale de l’énergie (AIE) s’est prononcée en 2021 pour l’arrêt immédiat de tout investissements nouveaux dans les énergies fossiles, afin d’atteindre la neutralité carbone d’ici à 2050. Une vision secteur par secteur qui hérisse la CFDT. Le ministère de l'Intérieur a, de son côté, dénombré 107. Pour le seul site de Feyzin, la CGT revendique une centaine de grévistes, selon son représentant local, Pedro Afonso, pour qui « la détermination est intacte » .000 participants en France, dont 13.000 à Paris. Si vous souhaitez visionner ce contenu, vous pouvez . La précédente journée de mobilisation interprofessionnelle, le 29 septembre, avait rassemblé 118.500 personnes selon la police et 250. 000 selon les organisateurs. Philippe Martinez, le leader de laCGT, a plaidé pour « un plan Orsec » sur les salaires et promis « des suites» à ce mouvement, jugé « plus fort » que lors de la dernière journée d'action du 29 septembre. Le gouvernement a fait un geste mardi en direction des fonctionnaires, le ministre de la Fonction publique Stanislas Guerini annonçant l'ouverture de négociations début 2023 comme le réclamaient les syndicats.  (Avec AFP) latribune.fr 19 Oct 2022, 7:09 Partager : Rédiger un commentaire .
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