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Les cabinets de conseil dans le viseur du Sé nat
18/10/2022 19:43:00 Les cabinets de conseil dans le viseur du Sé nat
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La source Le Point
Les cabinets de conseil dans le viseur du Sénat Le Sénat va examiner la proposition de loi transpartisane sur l’encadrement du recours aux cabinets de conseil après l’affaire McKinsey. . Ladite déclaration pourrait prendre la forme d'une « attestation sur l'honneur » justifiant l'absence de conflit d'intérêts, une obligation moins contraignante que celles prévues par les sénateurs. « Ces déclarations ne constituent pas une lourdeur administrative, mais une garantie », estiment Éliane Assassi et Arnaud Bazin dans leur tribune. « L'État doit pouvoir connaître les autres clients de ses cabinets de conseil », insistent-ils. Lire la suite:
Le Point » Après l’affaire McKinsey, le Sénat prêt à légiférer sur le recours aux cabinets de conseil Après l’affaire McKinsey, une proposition de loi transpartisane cible les cabinets de conseil au Sénat Le Sénat vote largement le projet de loi de programmation du ministère de l’Intérieur Le Sénat va légiférer pour encadrer le recours aux cabinets de conseil Coaching Gagnant - Épisode 3 Meriem Salmi la psychologue des champions
« Coaching gagnant », c'est le podcast du Crédit Agricole, présenté par Grégory Ascher. Le présentateur de l'Équipe de Greg, vous fait découvrir les petits secrets de coaches sportifs qui, au quotidien, accompagnent d'immenses champions, des stars de cinéma... ou même des astronautes. Lire la suite >> Cela continue, c'est pour cela que rien ne va plus ! Il existe des boules de cristal, le chef de guerre devrait s'en acheter une ! Après l’affaire McKinsey, le Sénat prêt à légiférer sur le recours aux cabinets de conseilSept mois après un rapport explosif sur le recours par l'État aux cabinets de conseil, le Sénat examine ce mardi 18 octobre une proposition de loi destinée à mieux encadrer ces prestations, un texte qui devrait bénéficier d'un large soutien. Après l’affaire McKinsey, une proposition de loi transpartisane cible les cabinets de conseil au SénatIssu des travaux de la commission d’enquête sur l’affaire McKinsey, le texte qui arrive ce mardi en discussion publique au Sénat renforce les obligations des consultants en matière de transparence et de prévention des conflits d’intérêts. En France, c'est la fin de l'abondance, mais nos impôts payent des ministères avec leurs armées de conseillers qui vont payer des boites privés pour leur faire des rapports pour réduire les budgets des services publics car on a plus de sous. Le Sénat vote largement le projet de loi de programmation du ministère de l’IntérieurLe projet de loi de Gérald Darmanin prévoit la création de 8 500 postes de policiers et gendarmes et l’ajout de huit milliards d’euros consacrés au numérique dans le budget. Le texte doit maintenant être discuté devant les députés. Le Sénat va légiférer pour encadrer le recours aux cabinets de conseilL'exécutif a déposé treize amendements au texte adopté en commission ils vont nous pondre une loi pleine de trou, donnant la possibilité de contourner la loi à leurs bons vouloirs ... On connait la chanson par cœur Ah ah ah. J’ai ri. Ils vont demander conseil à un cabinet de conseil du coup ? McKinsey Cybersécurité : faut-il assurer les victimes de ransomware ? Le Sénat dit 'oui'Le Sénat a validé la disposition qui permettra bientôt aux victimes de ransomwares de se faire indemniser pour la rançon payée aux pirates informatiques. Mais quelle débilité de voter ce genre de lois, rien ne va. Plus d'obligation d'investir dans la cybersécurité, on va pouvoir laisser les données fuiter et inciter les hackers à viser la France car ils vont payer les rançons. Préparez-vous ça va faire très mal. Avortement : pourquoi la Guadeloupe a le taux le plus élevé de FranceAlors que le débat sur la constitutionnalisation du droit à l’interruption volontaire de grossesse revient mercredi 19 octobre au Sénat, une récente étude montre que le taux de recours est trois fois plus important sur l’archipel que dans l’Hexagone. En cause, des problématiques socioéconomiques, une défiance vis-à-vis des moyens contraceptifs et une difficulté d’accès aux soins. Il y a des moments où …… Un record dans le meurtre d'enfants à naître. 🥹😱 🧎🏻 France .Éliane Assassi (groupe CRCE à majorité communiste) et Arnaud Bazin (Les Républicains, LR).proposition de loi (PPL) visant à encadrer et surveiller ces pratiques arrive ce mardi en discussion publique au Sénat.Temps de lecture 2 min Le Sénat, dominé par l’opposition de droite, a adopté ce mardi 18 octobre en première lecture, par 307 voix contre 27, le projet de loi d’orientation et de programmation du ministère de l’Intérieur (Lopmi), qui prévoit sur cinq ans un effort financier de 15 milliards d’euros. Ladite déclaration pourrait prendre la forme d'une « attestation sur l'honneur » justifiant l'absence de conflit d'intérêts, une obligation moins contraignante que celles prévues par les sénateurs. « Ces déclarations ne constituent pas une lourdeur administrative, mais une garantie », estiment Éliane Assassi et Arnaud Bazin dans leur tribune. Il propose ainsi au Sénat d'inclure les grandes collectivités territoriales dans le champ de la proposition de loi. « L'État doit pouvoir connaître les autres clients de ses cabinets de conseil », insistent-ils. L’examen par cette instance parlementaire la semaine dernière a validé la PPL sans y apporter des modifications substantielles. Le gouvernement affiche par ailleurs sa sévérité en cas de manquement à la transparence ou à la probité : il prévoit ainsi d'infliger aux prestataires fautifs des sanctions pénales (jusqu'à 45 000 euros d'amende et trois ans de prison), plutôt que les amendes administratives envisagées par les sénateurs. À LIRE AUSSI : Autre nuance de taille : pour le gouvernement, seuls les « dirigeants de prestataires de conseil » doivent être tenus de déclarer leurs intérêts à l'administration, plutôt que les « dizaines de milliers » de personnes travaillant dans le conseil en France. Stanislas Guerini a également réaffirmé sur Public Sénat son opposition aux prestations « pro-bono », c'est-à-dire gratuites, sauf en cas de « crise qui mette en danger la vie ou la santé des Français », comme une pandémie ou une guerre. Ce sont et gendarmes qui doivent être créés, dont « 3 000 dès 2023 » , selon la Première ministre, Elisabeth Borne. Les prestations de conseil privées pour le compte de l'État font l'objet d'une attention accrue depuis que le Sénat a publié un rapport très critique sur le sujet en mars quand deux sénateurs avaient qualifié le recours par l'État aux cabinets de conseil de phénomène « tentaculaire ». « Ces déclarations ne constituent pas une “lourdeur administrative” mais une garantie , estiment Éliane Assassi et Arnaud Bazin dans leur tribune. Ils avaient évalué la facture des prestations de conseil à 893,9 millions d'euros pour les ministères en 2021. Un nouveau cadre pour le conseil en stratégie et organisation a été publié fin juillet et l'État a récemment revendiqué une baisse d'environ 10 % de ses dépenses de conseil au premier semestre 2022, par rapport aux six premiers mois de l'année 2021. » Phénomène « tentaculaire » Le gouvernement affiche par ailleurs sa sévérité en cas de manquement à la transparence ou à la probité : il prévoit ainsi d'infliger aux prestataires fautifs des sanctions pénales (jusqu'à 45 000 euros d'amende et trois ans de prison), plutôt que les amendes administratives envisagées par les sénateurs. Newsletter politique Chaque jeudi, découvrez les informations de notre rédaction politique, et recevez en avant-première les exclusivités du Point. ok . À LIRE AUSSI :. Ajout majeur des sénateurs : les peines encourues pour les refus d’obtempérer, les rodéos urbains et les violences faites aux élus seront aggravées.