Exposition au Mucem utopies et cadavres exquis ruptures et amiti s Marseille Expo

Exposition au Mucem utopies et cadavres exquis ruptures et amiti s Marseille Expo

Exposition au Mucem utopies et cadavres exquis ruptures et amitié s Marseille - Expo HEAD TOPICS

Exposition au Mucem utopies et cadavres exquis ruptures et amitié s

17/10/2022 17:30:00

Au Mucem utopies et cadavres exquis ruptures et amitié s @Mucem #Marseille #expo

Marseille Expo

La source

La Marseillaise

Au Mucem, utopies et cadavres exquis, ruptures et amitiés Mucem Marseille expo La survie dépend d’une mise en commun des ressources ». Depuis l’Album Zutique de Rimbaud-Verlaine jusqu’au Double Quartet de Cornette Coleman, les co... La survie dépend d’une mise en commun des ressources ». Depuis l’Album Zutique de Rimbaud-Verlaine jusqu’au Double Quartet de Cornette Coleman, les commissaires de cette exposition, Jean-Jacques Lebel et Blandine Chavanne expliquent comment et pourquoi 1 + 1=3. Cette exposition livre des preuves et des questions, enchaîne des coups de cœur et des traits de folie. Avec des chassés-croisés et des retours en arrière, c’est une traversée du siècle, une trame pleine de crises, de rires et de trouvailles à l’intérieur de laquelle des artistes - philosophes, musiciens, poètes, cinéastes ou plasticiens - « des humbles ou bien des puissants », plutôt fins et certaines fois borderline, ont préféré, pour créer de nouvelles formes, s’associer plutôt que de rester confinés dans leurs limites. Lire la suite:
La Marseillaise » [Week-end] « L’espèce arménienne est en voie de disparition » Affaire Giraud : Le PCF met en cause le « système Falco » [Quoi de neuf] Manu Reynaud : « Le choc des mobilités est profond » [Sexo] « Quand le phallus s’en mêle, les foules se déchaînent »

L empathie les étranges ressorts d une qualité innée mais sélective

Elle tisse nos relations depuis la nuit des temps, nous aide dans la vie et au travail. L'empathie nous sauve mais peut aussi nous perdre. Dans « Et Moi », un podcast des « Echos », Michèle Warnet recueille le témoignage et l'expertise d'invités sur cette capacité innée qui peut se développer mais aussi se manipuler. Lire la suite >> [Week-end] « L’espèce arménienne est en voie de disparition »[🌈WeekEnd] « L’espèce arménienne est en voie de disparition ». Fer de lance d’une collecte de fonds en faveur de l’Arménie auprès de la diaspora arménienne de France, Robert Guédiguian craint la disparition de ce petit État Arménie Affaire Giraud : Le PCF met en cause le « système Falco »Remontés comme des coucous. Les membres du bureau départemental du PCF varois sont apparus combatifs vendredi matin pour un point presse organisé aprè... [Quoi de neuf] Manu Reynaud : « Le choc des mobilités est profond »La Marseillaise, en partenariat avec radio Divergence FM 93.9, participe à l’émission politique « Quoi de neuf ? ». Cette semaine, notre invité est Manu Reynaud (EELV) 2e adjoint au maire de Montpellier. [Sexo] « Quand le phallus s’en mêle, les foules se déchaînent »[🌈WeekEnd] Depuis la nuit des temps, le phallus est le symbole de la virilité et de la fécondité. Dans de nombreuses civilisations et dès l’Antiquité le pénis était par exemple associé à des divinités comme Osiris ou Bacchus. « Des implantations pérennes à partir de 2025 »La Marseillaise : Quand pourrait-on imaginer une implantation pérenne ? Christine Azevedo : Nous l’envisageons sur un premier patient en 2025. Tous le... Le congrès de la CGT s’ouvre sur fond d’un contexte social « bouillonnant »Temps fort dans la vie d’une organisation syndicale, le congrès départemental de l’Union départementale CGT des Bouches-du-Rhône s’ouvre ce mardi à Ma... Francis Picabia : L’Oeil cacodylate, huile sur toile et collage.: L’aide est prête à être structurée.» et va même jusqu’à la compromission avec l’extrême droite.cliquez-ici. PHOTO Centre Pompidou L a survie dépend d’une mise en commun des ressources   ». Depuis l’Album Zutique de Rimbaud-Verlaine jusqu’au Double Quartet de Cornette Coleman, les commissaires de cette exposition, Jean-Jacques Lebel et Blandine Chavanne expliquent comment et pourquoi 1 + 1=3. Il faut rassurer les Arméniens qui seraient prêts à payer cet impôt. Cette exposition livre des preuves et des questions, enchaîne des coups de cœur et des traits de folie. La corruption, la prévarication, la concussion sont des réalités dont souffrent les Varois. Avec des chassés-croisés et des retours en arrière, c’est une traversée du siècle, une trame pleine de crises, de rires et de trouvailles à l’intérieur de laquelle des artistes - philosophes, musiciens, poètes, cinéastes ou plasticiens - « des humbles ou bien des puissants », plutôt fins et certaines fois borderline, ont préféré, pour créer de nouvelles formes, s’associer plutôt que de rester confinés dans leurs limites. Il est vrai que la corruption a régné massivement dans toutes les anciennes républiques soviétiques. Maximum d’ordre, maximum de désordre Sur ce tracé, surgissent des chemins de crête et des singularités. On n’est pas au pays de Oui Oui mais essayez le vélo et vous changerez votre façon de voir les choses et de voir la ville. À côté des Dadaïstes et des Surréalistes, en liaison étroite avec des événements comme la Commune de Paris, la Guerre d’Algérie et Mai 1968, on redécouvre les marginaux d’autrefois : entre autres, William Burroughs, Brion Gysin, Joseph Beuys, Christian Boltanski, Gilles Deleuze, Félix Guattari, Bernard Heidsieck. Mais depuis quelques années, cela s’arrange pas mal. Mais ils dénoncent aujourd’hui un système qui leur a servi. La thèse centrale des responsables de l’exposition, c’est qu’entre artistes, risquer soudainement de devenir autre est infiniment fécond : pour échapper aux contradictions du marché de l’art, la meilleure consigne, c’est de faire des alliances, passer du « je » au « nous ». Plusieurs des artistes de cette exposition sont restés d’immenses amis comme par exemple les affichistes Raymond Hains et Jacques Villeglé. Dès lors, l’Arménie n’a pu résister que parce que la Russie la vassalisait et la défendait. Il peut arriver qu’ils se brouillent définitivement, Luis Bunuel et Salvador Dali s’écharpèrent pendant le montage du Chien andalou . Au dernier conseil municipal, il s’est même félicité d’avoir plus de subventions qu’ailleurs  ». Dans ce tohu-bohu de circonstances, Marseille n’est pas absente. Surtout que la Turquie fait partie de l’Otan et la Russie n’en est pas. Quand on est arrivé, on a eu des échanges et notre priorité était d’inverser la pyramide des priorités. À côté des dessins collectifs des Surréalistes de la Villa Air Bel et du Brûleur de loups, on appréhende une ratade de l’époque Jean-Claude Gaudin, Jean-Jacques Lebel contraint de retirer sa donation du Grand Tableau Antifasciste Collectif : sur instruction de la Ville, défense fut faite au musée Cantini d’ouvrir les caisses de sa toile, 4 mètres de long sur 5 de large. Conformément à la formule trop peu suivie d’un autre poète, Henri Deluy, le fil conducteur de l’exposition, ce serait «  Un maximum d’ordre dans un maximum de désordre   ». Il n’y a que la diaspora qui peut faire quelque chose. Ce samedi, des performers étaient cooptés dans l’amphi Germaine Tillion par Arnaud Labelle-Rojoux pour donner visage neuf à ces évocations. On devinait sous masques des apparitions comme celle de Julien Blaine en costume noir taché de rouge, Christine Bouvier, Joël Hubaut ou bien Nathalie Quintane. Vous avez aussi lancé un appel au maire de Marseille à hisser le drapeau de l’Arménie sur le fronton de l’Hôtel de Ville. Selon le principe des Cadavres exquis, il s’agissait d’occuper la scène pendant trois minutes et de laisser advenir des paroles et des gestes préparés-improvisés. Vous savez qui nous demande le stationnement payant sur voirie ? Ce sont les riverains parce qu’ils ne veulent pas des afflux de voitures. Cette séquence pouvait faire écho à un moment discret de l’exposition Lebel-Chavanne qui resitue au milieu des années 1960, à Villefranche-sur-Mer, l’atelier-boutique de Robert Filliou et George Brecht, « La Cédille qui sourit ».. Le mot d’ordre de Filliou était parfait : il disait que «  seule la fête est permanente  ». Au Mucem mardi 18 octobre de 16h à 22h Jusqu’au 13 février, tous les jours sauf mardi, 10 h – 18 h.G. Catalogue coédité avec Kuntsmuseum Wolfsburg, 40 euros. . Je n’ai pas pu l’avoir car je suis actuellement au Brésil. Comment voulez-vous que les habitants demandent autre chose que des quartiers où il n’y a pas de bruit, moins de pollution, où les enfants peuvent jouer dans la rue, aller à l’école à pied ? Le maire le dit souvent, il s’agit de faire une ville à hauteur d’enfants, pas d’aller plus vite en voiture.
Share:
0 comments

Comments (0)

Leave a Comment

Minimum 10 characters required

* All fields are required. Comments are moderated before appearing.

No comments yet. Be the first to comment!