Naval Group pourquoi l exportation reste cruciale pour ce groupe strat gique pour la France Presse conomique Actualit

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Naval Group pourquoi l' exportation reste cruciale pour ce groupe straté gique pour la France

17/10/2022 15:00:00

Naval Group pourquoi l' exportation reste cruciale pour ce groupe straté gique pour la France

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La Tribune

Naval Group : pourquoi l'exportation reste cruciale pour ce groupe stratégique pour la France Naval Group est au cœur du réarmement des marines du monde entier. Le groupe naval doit se relancer à l'exportation pour rester compétitif et innovant en vue d'accompagner les ambitions de la Marine nationale face aux nombreux enjeux de sécurité sur et sous les mers et océans du monde entier. Un fleuron garant de l'indépendance française Ce champion-là doit être Naval Group, capable de vendre ses navires dans le monde entier (bâtiments de surface, sous-marins, systèmes de systèmes) et soutenu par une supply chain tricolore efficace et innovante. C'est à ce prix qu'il demeurera cette tête de gondole dont la France a besoin pour nouer des relations bilatérales très intimes avec certains pays sur une très longue durée (sur le coût de possession d'un navire, qui s'étale au-delà de 20 ans). Des partenariats qu'elle aura choisi sans aucune contrainte politiques, technologiques, en termes d'approvisionnements et de financements bancaires tout en restant résiliente vis-à-vis de la pression médiatique (ONG, critères ESG, commission européenne). Lire la suite:
La Tribune » Les drones sont l'avenir du combat en mer pour le patron de Naval Group Mondial de l’auto : à Renault-Flins, la voiture s’offre une seconde vie Crise de la PJ: les raisons d'un vent de révolte qui arrive à un tournant Carburants, poursuite de la grève chez TotalEnergies

Réforme de la Police des rassemblements dans toute la France comme à Nice Toulon et Marseille

Ce lundi, des rassemblements étaient organisés pour exprimer les inquiétudes persistantes liées à cette réforme, des centaines de policiers mais pas seulement, à leurs côtés, des magistrats qui partagent leurs sentiments.... Lire la suite >> Les drones sont l'avenir du combat en mer pour le patron de Naval GroupPierre-Eric Pommellet explique que le renouvellement de la flotte française assure à l'industriel un plan de charge élevé, en dépit de la perte du contrat australien. La guerre en Ukraine a démontré la nécessité de protéger ses côtes et d'avoir une flotte modernisée. Elle devra être complétée par des drones marins, qui feront l'objet d'un centre de recherches et de production dans le Var. Mondial de l’auto : à Renault-Flins, la voiture s’offre une seconde vieRenault Group déploie depuis 2020, à Flins dans les Yvelines, une activité pionnière d’économie circulaire. Premier bilan deux ans plus tard, alors que s’ouvre ce lundi 17 octobre le Mondial de l’auto. Crise de la PJ: les raisons d'un vent de révolte qui arrive à un tournantCrise de la PJ: les raisons d'un vent de révolte qui arrive à un tournant Les frondeurs de la police judiciaire sont appelés à descendre ce lundi à travers la France pour signifier leur hostilité à une réforme qu'ils rejettent en bloc. Quand c'est la CGT, vous ne parlez jamais de frondeurs, pourquoi ? Carburants, poursuite de la grève chez TotalEnergiesLa grève dans les raffineries françaises de TotalEnergies a été reconduite sur les cinq sites, a indiqué ce samedi le coordinateur CGT pour le groupe, Eric Sellini. Pour donner toute sa pleine puissance à la Marine nationale, Naval Group doit être taillé pour le grand large.Le président de Naval Group Pierre-Eric Pommellet mise sur la dronisation du combat naval.À Flins, Renault donne un coup de jeune à ses véhicules d’occasion Le site de Flins sait qu’il ne devra sa pérennité qu’à sa capacité à faire du neuf avec du vieux : à compter du premier trimestre 2024, aucun véhicule neuf ne sortira de l’usine qui a vu passer 20 fleurons de la firme au losange, dont la Dauphine, la 4L, la Renault 5 ou la Twingo.Pour les héritiers de Clemenceau, l'heure de vérité est arrivée. Car sans l'exportation, le champion naval tricolore, qui ne peut s'appuyer que sur le seul marché national, s'affaiblirait, dépérirait et ne resterait pas au niveau des attentes d'une marine nationale ayant à la fois une vocation et une ambition mondiale, dont l'IndoPacifique où Paris fait beaucoup plus illusion que peur. Cette stratégie, clairement affichée par Emmanuel Macron à la tête d'un pays riche d'une zone économique exclusive (ZEE) de plus de 11 millions de km², s'accompagne forcément par un industriel référent, une tête de gondole solide sur ses fondamentaux (construction navale et armements adéquats) mais également portée par l'innovation technologique (lasers - effecteurs et communications -, dronisation, interconnexions avec le spatial, cyberdéfense, quantique. 2022 à 12:56 Mis à jour le 17 oct.. Approvisionnement bousculé Car l’heure est désormais à promouvoir la seconde vie des voitures, de leurs pièces détachées et autres composants.. Le principal changement réside donc dans la perception des menaces, laquelle se traduit par la hausse globale des budgets militaires .) Un fleuron garant de l'indépendance française Ce champion-là doit être Naval Group, capable de vendre ses navires dans le monde entier (bâtiments de surface, sous-marins, systèmes de systèmes) et soutenu par une supply chain tricolore efficace et innovante. Ainsi, des missions de surveillance et des interpellations auraient été ajournées un peu partout. C'est à ce prix qu'il demeurera cette tête de gondole dont la France a besoin pour nouer des relations bilatérales très intimes avec certains pays sur une très longue durée (sur le coût de possession d'un navire, qui s'étale au-delà de 20 ans). En France, le gouvernement a lancé l'an dernier les programmes pour réaliser la troisième génération de sous-marins nucléaires lanceurs d'engins (SNLE 3G) et pour remplacer le porte-avions Charles de Gaulle, confirmant ainsi la poursuite du renouvellement de la flotte navale française. À lire aussi La voiture devient (de plus en plus) un produit de luxe Où en sont, du côté de Renault, les quatre pôles du site de Renault-Flins, appelé Refactory ? Il y a d’abord Re-trofit, le bateau amiral, qui remet à neuf les véhicules endommagés, envoyés par les concessions. Des partenariats qu'elle aura choisi sans aucune contrainte politiques, technologiques, en termes d'approvisionnements et de financements bancaires tout en restant résiliente vis-à-vis de la pression médiatique (ONG, critères ESG, commission européenne). Récemment Naval Group n'a pas souhaité par exemple déposer une offre en dollars en Colombie pour le projet PES afin de ne pas s'exposer à d'éventuelles poursuites américaines (réglementations extraterritoriales). L'an dernier, la frégate Alsace a été admise au service actif et dans quelques jours, nous livrerons la huitième et dernière frégate multimissions (FREMM), La Lorraine, tandis que la première frégate de défense et d'intervention (FDI) sera mise à flot dans les semaines qui viennent. Le groupe naval est à un moment charnière de son développement même si le site de Lorient (bâtiments de surface) a pour le moment de la charge jusqu'en 2028/2029 : corvettes émiriennes jusqu'en 2023, frégates FDI France (première livrée en 2024) et grecques (2 navires livrés par an à partir de 2025) mais fin du programme FREMM, dont la dernière la Lorraine sera livrée le 3 novembre prochain). 130 remises à neuf Aujourd’hui, 130 voitures sortent « comme neuf » chaque jour. L'arrivée prochaine de Marie-Laure Bourgeois (1er décembre) à la tête des équipes commerciales (France et export) va redynamiser toute la politique commerciale de Naval Group au regard de sa longue expérience à l'international chez Thales. Quelle est la valeur ajoutée des FDI ? L'une des principales évolutions tient dans son système de combat entièrement numérique avec un data center à bord, qui permettra des évolutions incrémentales des fonctions et des logiciels. Soit environ 50% du total… Cet article est réservé aux abonnés. Si le groupe naval doit être soutenu par l'État français à l'export, il a également le devoir de rester compétitif face à des concurrents audacieux mais aussi peu scrupuleux en termes d'éthique (dont la Turquie et Israël) dans un marché naval militaire mondial en pleine ébullition (guerre en Ukraine, montée progressive des tensions avec la Chine, vulnérabilités des communications mondiales sous-marines, tensions énergétiques, halieutiques, terres rares.. Enfin la FDI est plus compacte tout en étant complètement multimissions tant pour la défense antiaérienne, sous-marine ou de surface. Les véhicules sont ensuite remis en vente dans les concessions..). Avec la FDI, on passe à une génération de navires qui évoluera au fur et à mesure des besoins. Cela passe par des campagnes commerciales agressives où l'équipe de France joue collectif (Naval Group, Thales, Safran, MBDA, ECA Group, notamment), par un renforcement des moyens sur l'intelligence économique, par le retour des réseaux dans les pays cibles tout en restant propre, et, enfin, par un État français qui reste décomplexé par les ventes d'armes. Une activité encore en phase de test, comme de nombreux projets lancés au sein de Refactory. Le ministre des Armées et son administration ont un rôle central à jouer dans cette partition. Il rappelle aussi la nécessité absolue de protéger ses côtes, ses détroits. Des coopérations, oui mais programmatiques Enfin, la coopération européenne ne peut plus être l'Alpha et l'Oméga d'une stratégie d'un groupe de la dimension stratégique de Naval Group, clé de voûte de la dissuasion nucléaire française. Pour trois raisons. La guerre navale existe, il faut pouvoir se protéger. Mais pour ne pas se cantonner à l’électrique, Renault Group s’est aussi allié à Plug Power, pionnier de l’hydrogène aux États-Unis. La dissuasion nucléaire, qui ne se partage pas, n'est possible que si Naval Group entretient ses compétences et son savoir-faire au sein d'un groupe complet (sous-marins pour la marine et à l'exportation). En outre, les retours d'expérience des coopérations nouées au début des années 90 avec Navantia (sous-marins) et plus récemment avec Fincantieri (bâtiment de surface) se sont révélés être des échecs. Enfin les accidents sur le gazoduc NordStream montrent la nécessité nouvelle de protéger les infrastructures sous-marines. Ni Navantia, ni Fincantieri ont véritablement joué le jeu de la coopération, ils ont surtout tenté de prendre un avantage concurrentiel, voire technologique dans le cadre des coopérations avec Naval Group pour l'affaiblir. Et d’ici à la fin de l’année, elle fera de même pour des stations de recharge. Troisièmement, le spectre industriel et technologique du champion tricolore est parmi l'un des plus complets dans le paysage européen (TKMS, Navantia, Fincantieri, Lürssen, Damen. Ce conflit rappelle tout simplement l'important d'avoir une flotte navale de combat... Dès qu'un navire est engagé en mer, il doit mettre en oeuvre ses systèmes d'autoprotection (radars, défense antiaérienne, détection sous-marine, etc. Au final, 92 % de la matière collectée est réutilisée pour donner vie à une nouvelle pièce mécanique.) Ce qui veut dire que le 50/50 est une construction politique loin de la réalité industrielle. A la lumière de ces deux constats, une coopération doit être dénuée d'affect (le mal français) et opportuniste. Pour le porte-avions, je laisse les débats aux experts de la Marine, mais je rappelle qu'un porte-avions ne navigue jamais seul mais au sein d'un groupe aéronaval de protection. En ce sens, le programme européen EPC (European patrol corvette) est un excellent laboratoire entre Fincantieri, Naval Group et Navantia. C’est là qu’intervient GAIA, la filiale recyclage de Renault Group, qui valorise les pièces de voitures déjà démantelées ou les fins de série de pièces de rechange. Dans le cadre de Naviris (entreprise commune entre Naval Group et Fincantieri), la France et l'Italie travaillent sur une corvette armée de 3. La France a décidé de lancer les études pour le remplacement à terme du Charles de Gaulle et nos ingénieurs sont mobilisés aux côtés de Technicatome et des Chantiers de l'Atlantique.000 tonnes au moins avec des capacités anti-aériennes et anti-sous-marines. Quels prospects pour Naval Group ? Pour Naval Group, le retour du salon Euronaval, qui ouvre ses portes mardi, est une aubaine. La Chine aurait davantage de bateaux que les Etats-Unis. On y trouve notamment des activités autour du Re-trofit des moyens de production, un centre d’innovation, un centre d’impression 3D et un centre de réalisation de prototypes. Le PDG de Naval Group Pierre Eric Pommellet et ses équipes commerciales vont pouvoir faire le point après la pandémie, qui a paralysé les échanges commerciaux en 2020 et une partie de 2021, sur les enjeux et les besoins des marines avec la venue de plus de 120 délégations venues du monde entier. A commencer par la marine grecque, qui pourrait notifier « dans les mois qui viennent »  la quatrième frégate de défense et d'intervention (FDI) en option pour « être livrée en 2026/2027 »,  explique-t-on au sein du groupe. Le salon Euronaval est l'occasion de se comparer. Elle pourrait se révéler toutefois cauchemardesque pour Naval Group, le prix de ce bâtiment étant fixe car déjà négocié dans le cadre du contrat signé en mars 2022. Aujourd’hui, 800 salariés y sont affectés à Flins, sur les 2 100 titulaires. En revanche, l'achat de quatre corvettes a été reporté dans le cadre d'arbitrages court terme d'Athènes en faveur d'un soutien du pouvoir d'achat des Grecs dans une période inflationniste. L'évolution du combat naval va aller vers des systèmes dronisés, en complément des navires avec des équipages. Dans le domaine des bâtiments de surface, Naval Group a peu de projets en cours à l'exception de la Roumanie et de l'Arabie Saoudite. En dépit de la politique de réassurance de la France dans le cadre de la guerre en Ukraine (déploiement de 750 militaires français), Bucarest continue avec l'aide de Damen de rouler Naval Group dans la farine dans le dossier des quatre corvettes Gowind, sélectionnées. On a déjà développé des drones pour aller chercher et désactiver les mines, ou pour explorer les grands fonds marins. Et Renault croit tellement en son modèle qu’il le déploie à Séville en Espagne et que d’autres sites sont à l’étude à l’international... La flotte française n'est pas très importante mais la flotte européenne pourrait l'être. en 2018. À lire aussi Renault veut faire de Flins la première usine dédiée à l’économie circulaire Pour accroître ses volumes, l’usine préfère ouvrir ses portes aux autres marques et accueille déjà Toyota et Stellantis. Une offre qui peut être renouvelée jusqu'à fin 2023. Elle porte des projets d'innovation important entre nos deux groupes, notamment sur l'architecture numérique des navires, les nouvelles solutions de propulsion, les batteries du futur, etc. Naval Group n'est pas vraiment aidé non plus par son partenaire local SNC, qui joue sa propre partition. Pour sa part, l'Arabie Saoudite, qui regarde de très près ce qui se passe en Grèce, est intéressée par des FDI équipées de missiles anti-aériens Aster 15 et 30 et qui seraient construites dans un chantier naval local. Naviris est aussi chargé du projet de modernisation des quatre frégates Horizon détenues par les deux pays. Pour accélérer sa trajectoire, Renault vient d’annoncer la création d’une filiale. Le Royaume a besoin de frégates avec la fin prochaine des frégates Sawari 1 et doit également décider ou pas de moderniser les Sawari 2 (3 bâtiments). C'est le prospect le plus important pour Naval Group, qui lorgne aussi sur des besoins de la marine norvégienne. La France aura besoin de six navires de ce type pour l'outre-Mer et ensemble, les quatre pays ont besoin de 15 à 20 navires de ce type à partir de la fin de la décennie. Dans le domaine des sous-marins, le groupe naval a plusieurs prospects sur le feu à plus ou moins longue échéance. En juin 2022 , les nouvelles immatriculations de voitures dans l’Union européenne ont chuté de 15 % par rapport à juin 2021, et de 14 % au cours du premier semestre. C'est notamment le cas aux Pays-Bas, où la compétition pour quatre sous-marins (2,5 milliards d'euros) pourrait être relancée avec une nouvelle demande de RFP (Request for proposal, proposition technique et commerciale) au moment du salon NEDS (17 novembre). Pour renforcer la cohésion européenne, nous avons aussi bon espoir d'être désignés pour réaliser les mêmes bateaux pour la guerre des mines, que ceux que nous réalisons pour la Belgique et les Pays-Bas. Le RFP indiquera l'ambition réelle des Pays-Bas en termes de sous-marins. Associé au groupe néerlandais Royal IHC, Naval Group proposera une nouvelle fois le Black Sword Barracuda (3. Lire aussi : La Chine s'arme comme jamais Qu'attendez-vous de la nouvelle loi de programmation militaire ? Nous espérons qu'elle confirmera des programmes déjà lancés et qu'elle nous engage dans des programmes nouveaux comme la guerre des mines et les patrouilleurs océaniques. Seules deux marques se distinguent : Dacia (+ 2,69 %) et Hyundai-Kia (+ 3,72 %).000 tonnes) et retrouvera l'allemand TKMS et le suédois Saab. Le groupe surveille également plusieurs besoins en Asie (Indonésie, Philippines où le Scorpène est en lice dans les deux pays), en Amérique du Sud (Chili, Argentine) mais aussi en Égypte, au Maroc (à plus long terme), voire en Australie. Nous avons prévu d'investir 140 millions d'euros sur nos fonds propres notamment pour réindustrialiser le site de La Londe-les-Maures dans le Var et y créer un centre d'excellence des drones, des systèmes autonomes et des armes sous-marines à l'horizon 2. . (Sources : ACEA et EY).. L'objectif visé est dans un premier temps de réaliser les premiers démonstrateurs de drones marins de combat. Marie-Laure Bourgeois va donc rapidement plonger dans le bain. Michel Cabirol 17 Oct 2022, 13:50 Partager : Rédiger un commentaire . Les principaux enjeux de recherche pour développer des drones marins porteront évidemment sur leur propulsion et leur endurance, sur leur autonomie décisionnelle dans le cadre du combat collaboratif et sur l'emport de charge utile et des armements.
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